LES TOILES ROSES

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« L'atelier sémantique gay a inventé la prise de judo conceptuelle la plus efficace : la pédophilie est un crime. L’homosexualité une vertu (…) Première victime, l'Église catholique coupable deux fois pour avoir pratiqué la première et condamné la seconde. Victime au carré : le cardinal Bertone pour avoir dit tout haut qu'il y avait des rapports entre l'une et l'autre : complice et maladroit, dit-on (…) Un peu de sérieux donc, l'éphébophilie, ce que l'on appelait naguère la pédérastie, c'est-à-dire l'attirance des hommes pour les adolescents pubères mais ambigus de traits, ne commence ni ne s'arrête à 15 ans. C'est à la fois le comportement le plus répandu chez les prêtres réputés pédophiles et un comportement toléré dans certaines sociétés et à certaines époques. C'est aussi, de loin, celui qui est le plus présent dans l'art et la littérature. Autrement dit le lien et même la confusion qui règnent entre l'homosexualité et l'éphébophilie est patent. C'est ce qu'a dit justement Bertone. (…) L'opposition outrancière entre pédophilie et homosexualité [est] une coupure sémantique à la fois grossière et hypocrite (…) Une société lucide sur son avenir devrait avant tout ne porter d'intérêt qu'à l'hétérosexualité tendant à la création de familles les plus stables possibles. Le reste appartient à la psychologie voire à la psychiatrie (pour la pédophilie) non à la politique, ni au droit. » Christian Vanneste, billet sur son blog, 30 avril 2010.

Jeu 13 mai 2010 Aucun commentaire