Au début de l’été dernier, je fus estomaqué en lisant dans le journal que cela faisait déjà quatre ans que Barry White nous a quittés. Voyons-nous vraiment le temps passer, et comme il
défile ? Quel colosse, quelle voix !
Barry White, je crois que je l’ai découvert dans les années 80, au cours d’une émission de télévision de
variétés comme on en produisait encore à l’époque, Lahaye d’honneur. Rien à voir avec Brigitte (l’ancêtre de Charlène Lopez, en moins belle et moins classe) mais plutôt avec Jean-Luc, pseudo-rocker des années 80 qui s’est voulu animateur
pour TF1 et qui depuis a sombré dans l’oubli comme un certain Michel Qui.
La biographie de Barry White m’apprend qu’il est né à Galveston. C’est une petite ville du Texas qui a donné
le titre d’une ballade romantique en pleine guerre du Vietnam.
Comme pour mon précédent « J’aime les crooners », je vais à présent introduire les chansons de l’artiste en vedette
comme une déclaration d’amour à l’homme de ma vie (ne comptez pas sur moi pour vous dire dès à présent si c’est du lard ou du cochon).
Mais avant toute chose, il faut laisser la musique jouer et nous faire danser toute la nuit…
Tu es mon premier et mon dernier amour, mon tout, et la réponse à tous mes rêves.
[J'ajoute la version Ally McBeal où John Cage est vraiment le jumeau de Zanzi, inversement et réciproquement. Note de Daniel C. Hall]
Certes, l’auteur de la chanson suivante est Billy Joel, mais écoutez l’interprétation qu’en donne Barry dans son costume blanc. Nul doute qu’il doit ravir les anges avec ses sérénades et sa voix
chaude et bienfaisante comme le lait et le miel de Canaan. Tandis que je reprends ces mots à mon compte et que je te dis que je t’aime… tel que tu es.
Mon chéri, je n’en ai jamais assez de ton amour !!! Et je ne sais pas pourquoi…
Une petite touche de tristesse… s’embrasser et se dire adieu. Barry White est parti, mais sa voix est restée. Curieusement, en écoutant tous ces clips, je me suis aperçu que je connais un jeune
homme au Maroc qui lui ressemble vraiment beaucoup. Même sourire, même yeux… mes des dizaines de kilos en moins ! (Ne comptez pas sur moi pour vous montrer sa photo, vous n’avez qu’à me
croire sur parole)
Je chante pour Mika, ou je chante pour toi… mais qui es-tu, au fait ? Et où es-tu ? Depuis longtemps que je te cherche à travers le monde, ne t’ai-je pas encore trouvé ?
Reviens-moi, rejoins-moi, je n’attends que toi…
[Et pour la bonne bouche, je rajoute l'extrait d'une émission où Zanzimel Debout rencontre l'immense Barry White ! Note de Daniel C. Hall]
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