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Fiche technique :
Avec Bernard Bloch, Christiane Cohendy, Madeleine Marie, Albert Delpy, Jean Dautremay, Bernard Freyd, Hans-Rudolf Twerenbold et Jacques Bonnafé. Réalisé par Richard Dindo. Scénario : Richard Dindo. Directeur de la photographie : Pio Corradi.
Durée : 141 mn. Disponible en VF.

Résumé :
Film documentaire de fiction qui retrace la vie d' Arthur Rimbaud en faisant parler les gens qui l'ont le mieux connu : sa sœur Isabelle sa mère Vitalie son ami d'enfance Delahaye son professeur Izanbard Paul Verlaine et l'employeur à Aden, M. Bardey.
Les personnages (joués par des acteurs) racontent la vie de Rimbaud dans les lieux même où celle - ci s'est passée dès l'enfance, jusqu'à la mort en passant par Charleville, Paris, Londres, Bruxelles, Aden et Harrar.
Tout le film se comprend comme une enquête qui a eu lieu quelques années après la mort du poète et qui reconstitue les moments cruciaux de sa vie, avec cette question qui revient toujours : pourquoi a-t-il abandonné la littérature ?
La voix de Rimbaud est reconstituée comme un monologue intérieur qui traverse le film à travers des extraits de poèmes et de lettres.
Bref, un film sur la parole et la mémoire, à partir de la vie du poète rebelle, du plus illustre des poètes.

L'avis de Jean Yves :

Ni évocation documentaire, ni analyse de texte, ni exégèse biographique, le film se contente de faire dire le poète (par la voix de Pascal Bonnaffé) et parler les témoins, à la manière d'une enquête fictive qu'on viendrait mener à Charleville, quelques années après la mort du poète.
L'écrivain Alain Borer a grandement contribué à démythifier l'image double du voyant maudit, changé en sombre mercenaire. Il est probable que le film de Richard Dindo doit beaucoup à ses ouvrages : déjà, ils restituaient Rimbaud, non dans la séparation, mais au contraire dans la profonde et tragique unité de son existence : l'archange adolescent du Bateau Ivre est bien le même que le grabataire gangrené d'Aden.
Il n'y a qu'un seul Arthur Rimbaud, de Charleville en Abyssinie, c'est ce que nous montrent ces témoins rétrospectifs, tous admirablement crédibles, avec la distance qu'il faut pour que le film ne soit précisément pas une reconstitution.
Sur ce que fut exactement sa liaison avec Verlaine, sur son importance biographique et sa dimension sexuelle, le film de Dindo a le mérite de ne pas faire l'impasse d'usage. Même si aucun poème de l'album zutique n'est cité...
Un Rimbaud en son temps, en somme, très scrupuleux et très élaboré.

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