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Fiche technique :
Avec Daniel Brühl, August Diehl, Anna Maria Mühe, Jana Pallaske et Thure Lindhardt. Réalisé par Achim von Borries. Scénario : Achim von Borries.
Durée : 89 mn. Disponible en VO et VOST.


Résumé :
Allemagne 1927, une Garden party entre jeunes aristocrates. C'est l'été. Amour, désir, ivresse les envahissent pour le meilleur comme pour le pire.
Ni limite, ni compromis : guidé par la seule quête d'absolu, Günther est entré dans la spirale de la perte des valeurs. Hilde, sa sœur, a épousé la même conduite, allant jusqu'à entretenir une liaison avec Hans, l'amant de Günther.
Attisant les jalousies, cette relation va devenir le centre d'un drame orchestré par un Club du suicide. Paul, l'écrivain, en sera le témoin actif précipitant ainsi la tragédie.

L'avis de Eloah Moon (La Lucarne) :
Deux jeunes hommes, Paul Krantz (Daniel Brühl) et Günther Scheller (August Diehl), décident de fonder un club romantique, le Club du Suicide, qui prône la seule véritable raison de choisir sa mort : la perte du grand amour. Günther est amoureux de Hans (Thure Lindhardt), qui couche avec lui, mais est épris de la sœur de Günther, Hilde (Anna Maria Mühe). Cet amour pour Hilde est réciproque, mais la jeune fille, qui ne veut encore appartenir à quiconque, est volage ; elle séduit et couche avec Paul qui, lui, n’a d’yeux que pour elle. Lors d’un week-end dans la maison de campagne des parents Scheller, alors absents, Hilde et Günther organisent une grande fête, où tous les protagonistes de ce kaléidoscope amoureux s’entrecroisent parmi d’autres amis. Une grande fête, arrosée d’alcool, d’absinthe et fatalement de drame, s’annonce…
Dans la lignée romantique des Souffrances du jeune Werther, ce film, fondé sur des faits réels que vécut l’écrivain Paul Krantz (accusé dans un premier temps d’être l’instigateur de ce drame), évoque de manière profonde et épurée le mal-être d’une certaine époque à l’adolescence, en quête d’exploration et de grand amour, désireuse de briser les chaînes et tabous d’une éducation parentale qui semble ne pas les comprendre. C’est tout le désir ardent de cette jeunesse allemande de l’entre-deux-guerres, qui ne s’est pas encore détachée de ses liens romantiques, tout en tendant déjà vers la liberté qu’annonce la proximité des années folles, qui s’exprime dans cette œuvre à la réalisation consciencieuse et profondément juste.
Daniel Brühl (Good Bye Lenine) est égal à lui-même : magistral en jeune poète débutant, énamouré et rêveur. Les autres acteurs brillent également par leur excellence, et ajoutent à cette œuvre un accent d’incontournable. À noter également, la ravissante chanson, thème du film, Die Liebe in Gedanken (du titre du film en allemand) et chantée délicatement par Daniel Brühl et August Diehl, mettant en lumière une nouvelle facette de leurs nombreux talents respectifs ; ainsi que la parfaite harmonie de leur première rencontre cinématographique. Il faut bien sûr aimer le genre, et on est bien loin des gros burgers plein de « graisse-stories » made in « Hollybush » mais, même si les raisons ont quelque peu changé aujourd’hui, le sujet reste (malheureusement) intemporel. Alors, quand on nous sert un film, dont l’histoire des protagonistes donne à réfléchir (et ce de manière intelligente, ce qui est un trait non négligeable en soi), là je dis bravo !
Si après ça vous n’êtes pas convaincus… on vous aura quand même prévenus !

Citation : « Paul Krantz et Günther Scheller en sont les membres.
Primo : le nom de ce club est « Fehou ».
Secundo : l’amour est la seule cause pour laquelle nous sommes prêts à mourir.
Tertio : l’amour est la seule raison pour laquelle nous tuerions.
Nous mettrons un terme à nos vies quand nous n’aurons plus d’amour, et nous emmènerons avec nous ceux qui nous l’ont volé. »

Pour plus d’informations :

Merci à Antiprod pour les photos.
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