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Fiche technique :
Avec Ken Robertson, Tony Westrope, Rachel Nicholas James, Maureen Dolan, Stuart Craig Turton, Clive Peters, Robert Merri
ck, Frank Dilbert et Peter Radmall. Réalisé par Ron Peck et Paul Hallam. Scénario : Ron Peck et Paul Hallam.
Durée : 113 mn. Disponible en VO et VOST.

L'avis de Jean Yves :
Ce film présente la césure douloureuse dans l'identité de Jim : celle d'être professeur de géographie et « oiseau de nuit », tout le temps à la recherche d'une véritable communication.
La scène où il en parle avec ses élèves est le moment qui, comme dirait le guide Michelin, « vaut le déplacement ». Le reste est plus contrasté.
Ce film de Ron Pe
ck est une interrogation sur le devenir homosexuel du pédé.
De quoi parle Nighthawks ? Un jeune prof gay, une fois la nuit venue, assume entre minuit et le petit matin sa malédiction : être homosexuel. Les boîtes ou les bars ne lui proposent que des rencontres fortuites qui ne correspondent pas tout à fait à ses aspirations.
Le malaise dans ce film vient que le cinéaste traite le cas de Jim comme celui de l'homosexualité toute entière. Ron Pe
ck a filmé comme s'il était le détenteur de la vérité et par-là même comme s'il avait le pouvoir de juger ses contemporains dans leur aliénation notamment avec les boîtes ou autres endroits de nuit. Ce film présuppose continuellement que l'homosexualité est un état problématique, qu'elle fait problème. Et par-là même, le cinéaste tente alors de la justifier comme étant une chose comme une autre : mais il ne s'agit là que de psychologie à bon marché, sans aucune analyse…
Le problème c'est toujours celui qui est en manque d'affection, de tendresse, de chaleur humaine. C'est toujours celui qui doit se cacher, ce perpétuel inquiet, cet enfant esseulé, apeuré, mal dans sa peau. Celui qui se forge sa prison, son cachot en tant qu'il est maudit. Il doit subir sa propre malédiction laquelle entraîne un désarroi, un manque à vivre évident.
L'affection pour les homosexuels se concrétise seulement dans ce film par l'amitié naissante avec une jeune collègue enseignante. Mais le spectateur ne connaît pas sa situation conjugale et sent qu'elle apparaît comme un modèle : idée que semble défendre le cinéaste.

Dès lors que penser de ce film si ce n'est qu'il a un propos plutôt contraignant en récupérant la seule critique des boîtes et du ghetto homo ?
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