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Le Père Docu s'appelle Gérard Coudougnan, il est né en 1962 et a pour qualification « enseignant-documentaliste », vous savez la dame qui râle au C.D.I. (centre de documentation et d'information) : c'est lui. Pour des raisons indépendantes de sa volonté, il est en ce moment éloigné de son lieu de travail habituel mais a toujours un C.D.I. (contrat à durée indéterminée) avec les bouquins pour qui il a une vraie A.L.D. (affection de longue durée).

Au hasard de ses lectures, il a croisé Marc-Jean Filaire puis Môssieur Daniel C. Hall (« The Boss ») qui lui a proposé de regrouper ici quelques « recensions » d'ouvrages à thématique LGBT.

Ces critiques ont déjà été publiées ça et là. Elles sont ici rassemblées, parfois réaménagées en fonction d'un public spécifique mais le mot d'ordre reste identique, L'ART DE FAIRE ÉVOLUER LES MENTALITÉS. Les critiques seront donc « militantes », honnêtes, jamais objectives. Les livres sont lus, souvent relus et on ne trouvera pas ici de communiqué de presse ni de quatrième de couverture. Puisque nous utilisons un média ouvert, des liens seront souvent proposés pour élargir le sujet ou enrichir la présentation : avant d'investir de l'argent en librairie ou du temps en bibliothèque, ce « matériel » devrait fournir un maximum d'informations à celui ou celle qui est tenté(e) par la lecture, et guider vers des auteurs qui nous ont touchés (au sens figuré, esprits coquins !). Les livres présentés seront de divers genres : fiction, essais, érotisme, histoire, biographies, littérature jeunesse… On essaiera de faire partager des joies, c'est plus difficile que de tirer tout seul sur un auteur dont la prose ne nous a pas séduit. S'il est trop opposé au principe d'évolution sus-indiqué, il sera traité sans concessions… toute AAH (attitude anti homo) sera poursuivie !!!

Toute remarque, toute suggestion sera la bienvenue.

La bibliothèque rose est ouverte… vous avez lu Le Club des Cinq d'Enid Blyton ? Claude, le « garçon manqué » est peut-être alors votre première rencontre avec une petite lesbienne ou une future transgenre ? Ah bon, vous n'avez pas connu les Bibliothèques Rose et Verte ? Qu'importe, entrez (couverts !) ici et faites ce que vous voulez entre les rayons, ne soyez pas sages ...

 

Fernandez Dominique, L'Étoile rose, Grasset, 1978, 430 p. (réédité au Livre de Poche)

Était-il possible d'éviter ce livre pour commencer cette rubrique sur ce blog ?

Trente ans après sa publication, ce roman de Fernandez, devenu membre de l'Académie Française, a-t-il toujours un intérêt ?

David, le narrateur, est adolescent au moment de la Libération et ne sait comment gérer son attraction pour les hommes. Devenu enseignant, muté en Lorraine, il tente de « survivre » au fil de ses rencontres furtives avec des amants et/ou des « militants », croit trouver une solution grâce à la psychanalyse… avant de rencontrer le bel Alain, de quinze ans son cadet avec qui il vit mai 1968.

Ainsi résumée, l'histoire paraît banale, insipide.

Pourtant, sous la plume de Fernandez, avec sa culture et sa fougue, c'est dans une traversée de l'histoire de l'homosexualité et de l'homophobie que l'on est emporté. Les plus anciens verront passer des mouvements ou des figures connues : Arcadie, le FHAR (1), le pasteur Doucé, avec des références essentielles – sans être pesantes – à l'antiquité grecque ou à… Sigmund Freud. Les pseudo-solutions de la psychanalyse sont l'un des intérêts de ce livre : on doit bien constater que les dégâts de ces théories sont encore présents dans de bons esprits qui ont trouvé là matière à une « tolérance » envers ces pauvres hères attardés sur la deuxième marche de leur évolution sexuelle. Mêlées à un esprit « lutte des classes », ces idées offrent un cocktail à la saveur assez dépassée mais qui aide à comprendre une époque et à situer le débat actuel dans un contexte historique finement décrit.

Ce livre a bouleversé ma vie, orienté mon coming out. Le reprendre en mains trente ans plus tard ne m'a donné ni nostalgie, ni ennui, ni émotions insurmontables. Le seul constat est que je n'ai encore rien lu de meilleur pour comprendre « notre » histoire, « notre » culture. J'y ai retrouvé références à des faits culturels, des arguments que j'utilise depuis trente ans sans connaître leur source : c'était donc dans L'Étoile rose que j'avais appris tout cela !!!!

« Un gay, mon cher, c'est quelqu'un qui s'amuse là où les autres s'emmerdent » (p. 329)

(1) dont Ma saison Super 8 avait donné une vision

http://www.lestoilesroses.net/article-13567665.html

 

Sulzer Alain-Claude Un Garçon parfait, Jacqueline Chambon, 2008, 235 p. (PRIX MÉDICIS ÉTRANGER 2008)

Ernest est l'employé modèle d'un palace suisse d'altitude, îlot de calme et de luxe face à un lac alpin. La transparence de sa vie n'est qu'une apparence. Avec une maîtrise parfaite de ses effets stylistiques et romanesques, une remarquable économie de moyens, Alain Claude Sulzer parcourt près de soixante ans d'histoire d'un monde dont les convulsions ont, depuis ce point de vue helvétique "neutre", une dimension différente et singulière. En dehors des amours d'Ernest et Jacob, décrits avec simplicité et crudité, apparaît un troisième personnage, Julius Klinger, écrivain allemand en exil vers les États-Unis : il y a du Thomas Mann dans cet homme à qui Sulzer offre une vraie relation sentimentale et sexuelle avec le beau Jacob, en s'inspirant de celles que l'auteur de Mort à Venise (1) n'a pu réaliser malgré toutes les attentes qu'il a confiées à son journal intime, publié après sa disparition.

Justement distingué par le prix Médicis étranger 2008, ce roman est un vrai moment de plaisir littéraire et de réflexion, une construction narrative originale avec une étonnante tension dramatique.

C'est un moyen de s'introduire dans l'intimité de personnages célèbres et anonymes, de confronter leurs vécus dans un cadre géographique et sociologique singulier au travers d'un contexte historique connu auquel l'auteur donne un relief étonnant.

(1) cf : http://www.lestoilesroses.net/article-1090955.html

 

Tammet Daniel, Je suis né un jour bleu, J'ai lu « Témoignage », 2009, 283 p.

S'il est un thème tabou, c'est bien celui de la sexualité des handicapés mentaux. Après une publication très médiatisée en 2007, l'autobiographie sans tabous d'un autiste gay surdoué sort enfin en poche.

Daniel Tammet nous ouvre les portes de ce monde étrange : un esprit d'autiste avec une époustouflante capacité à manier et mémoriser chiffres, langues auxquels il associe couleurs et formes.

Il nous fait aussi partager ses doutes et ses difficultés à entrer en relation avec les autres. Son écriture est limpide et claire, "mathématique", ce qui peut la rendre étonnante mais jamais froide et on suit avec émotion ses efforts, entouré de précieux soutiens familiaux, pour sortir de sa carapace. La description de ses premiers émois amoureux, la découverte absolument limpide de son évidente attirance pour les garçons, sa rencontre avec Neil et l'apparente simplicité de leur vie de couple ajoutent une note plus "sentimentale" au récit de ce parcours si étonnant... qui ne fait sans doute que commencer. Même si l'on est réfractaire aux mathématiques et étranger au monde du handicap mental, on ne peut être insensible à ce témoignage direct, pudique et optimiste, à cette description sans fioritures d'un univers dans lequel sont enfermées tant d'autres personnes, sans possibilité de communication.

Ce livre "brut" est un OVNI dans la littérature : pas si difficile à lire pour peu que l'on veuille se mettre en empathie avec son auteur qui nous offre la possibilité rarissime de nous mettre en phase avec un handicap : on ne peut pas, même en montant sur un fauteuil roulant savoir ce que vivent les paras ou tétraplégiques : Daniel Tammet nous offre la possibilité d'entrouvrir la porte d'un esprit autiste, sans fausse pudeur ni voyeurisme.

Pour en savoir plus :

Sur l'auteur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Tammet

Interview de D. Tammet par Laurent Ruquier

1e partie : http://www.youtube.com/watch?v=hKZoDHTTvmg

2e partie : http://www.youtube.com/watch?v=6NKZcQClsxE&NR=1

 

Tapie Jean-Paul, Le Goûter d'anniversaire, Stanké, 2000, 208 p.

« Il y a deux catégories de racistes : ceux qui se consolent d'être des hommes ordinaires en croyant à une race de sous-hommes ; et ceux qui déplorent de n'être pas des dieux en se considérant comme des surhommes. » (p. 74).

Jérôme Peyral est un élève de seconde qui se sait différent des autres lycéens qui l'appellent « Peyral la pédale ». Le professeur de français dont il était amoureux a été remplacé par un homophobe frustré qui va jouer des stratagèmes les plus pernicieux pour tenter de remettre son élève dans le "droit" chemin en utilisant comme levier de sa cruauté l'hostilité ambiante de la classe. Dans un contexte familial plus que pesant (parents au bord de la rupture, sœur anorexique), Jérôme traverse des moments de joies, d'espoir et de détresse décrits avec une finesse d'anthropologue par un narrateur dont la psychologie est à a hauteur de la puissance romanesque.

Cette plongée au cœur d'un individu en formation dans un monde hostile est d'une force telle que l'on souhaiterait la faire partager à ceux qui ont un pouvoir sur les adolescents, que ce soit à titre familial ou professionnel (enseignants).

Au moment où l'homosexualité semble ne plus être un critère de discrimination ou de racisme, au lendemain du coming out d'un ministre de droite du gouvernement Sarkozy, alors que les nouvelles technologies de la communication permettent de réduire l'isolement de ceux qui se sentent différents du modèle dominant, il est plus que pertinent de s'immerger dans le vécu d'un ado qui doit, même en 2009 en Europe occidentale, assumer une vie de paria.

On saura, une fois de plus, gré à Jean-Paul Tapie d'avoir su si bien emporter ses lecteurs dans des mondes où la littérature peut encore jouer le rôle de point de repère quand la pensée dominante est régie par un ostracisme toujours vivant ou une classification dans des cases formatées où gay rime seulement avec bling-bling, sexe facile et jet-set urbaine.

Pour en savoir plus :

Le blog de l'auteur : http://jeanpaul-tapie.com/

 

Duffy Léa , Féminin féminin, Fixot, 1996, 193 p.

Avec ses talents d'éclairagiste, Léa Duffy braque ses projecteurs sur son amour évident des femmes, la bêtise de ceux qui l'ont violée, ses errances et des joies dans le monde de la nuit, son épanouissement aux côtés de malades du sida.

Dans un récit mené avec l'enthousiasme d'une ado qui doit se battre pour affirmer sa différence intervient la bêtise de deux hommes, deux mâles qui la violent pour lui faire découvrir la véritable supériorité du sexe masculin. Ces abrutis vont la toucher sans la détruire : de cette épreuve elle tirera la force de devenir une porte-parole de celles qui refusent les voies tracées d'avance par les parents, la société, les religions.

Après diverses expériences parisiennes et romaines dans divers milieux nocturnes et fêtards, après un bref passage par la drogue, Léa se met au service de ceux que la maladie frappe et devient auxiliaire de vie. Avec la force et l'audace de la Malika Cherfi du roman d'Olivier Delorme, L'Or d'Alexandre (H&O, 2008) elle soutient ceux qui ont perdu une partie de leur autonomie mais pas la rage de vivre.

Ce récit contient aussi ses zones d'ombres : la virtuose de la lumière sait les insérer avec talent.

Quand on a trente ans et que l'on veut publier un livre de témoignage d'une telle force, il est normal d'avoir recours à un co-auteur. Gageons à la lecture des textes publiés postérieurement par Léa Duffy que ce travail a dû être assez reposant et plutôt lucratif puisque le livre est épuisé. Quand on choisit (ou que l'éditeur impose ?) une personne branchée sur les thèmes religieux (recueils de neuvaines, les saints qui soulagent), le traitement de certains sujets doit être le fruit d'âpres négociations : que vient faire le bon Dieu à « l'heure du bilan »(pp.185-194) ? Dans des propos assez hasardeux sur la fidélité et le mariage on reconnaît quand même l'esprit qui a conduit le récit, un esprit d'ouverture, d'amour et de respect. C'est cet esprit qui conduit Léa à la rédaction d'un superbe billet-message à l'attention des familles qui découvrent l'orientation sexuelle d'un enfant (p.154).

Il suffit de lire les lettres des femmes de tous âges impressionnées par le passage de Léa Duffy à l'émission de télévision de Mireille Dumas, Bas les masques, pour se rendre compte que son témoignage, oral ou écrit est, même plus de dix années après sa publication d'un intérêt et d'une force incroyables face à la bêtise, à la violence et aux préjugés.

 

 

Steelcock Andrew-Stephen, Larry Poppers et le secret de l'arôme interdit, H&O, 2008, 224 p.

Votre fils, votre nièce a « kiffé grave » Harry Potter et vous, père, mère ou tante inquiet(e), n'avez pas eu le temps ni l'envie de vous plonger dans les aventures du petit sorcier ? Voici LA solution !

Si vous êtes vous-même fan du petit binoclard, vous savez depuis la parution du tome 7 (Harry Potter et les reliques de la mort), que Dumbledore, le directeur du collège Poudlard, est gay. Même si vous ne lisez pas le journal de l'établissement (La Gazette du sorcier) et que vous ignorez que l'instrument qui a « marqué » le héros mesure 33,75 cm (tome 1, p.87 de l'édition Folio junior), vous allez entrer dans un autre monde... beaucoup plus dévergondé.

Aucun risque d'ennui ni de gamineries : Larry est un grand garçon, majeur, déluré et vacciné et vous allez en voir de toutes les couleurs. L'éditeur a même précisé « Réservé aux adultes » !

Le père de cet ouvrage est un Gallois savant qui a confié son manuscrit à un érudit traducteur doué pour tous les jeux de langues (Patrick Denfer, lui même auteur d'œuvres moins scientifiques : Plaisirs en mer et Les Dieux du vestiaire).

Vivant traité de vulgarisation sur les effets cli-niques des philtres d'amour, aphrodisiaques et autres piments de la vie sexuelle masculine, ce roman est aussi l'œuvre d'un sujet de Sa Gracieuse Majesté très au fait de la politique française : Miss Thanatcher et le Président Krapozy sont au générique, sans oublier le dangereux ministre transfuge Bertrand Couchtard !

Une intrigue à rebondissements tour à tour musclés, politiques, juteux, drôles et lubriques provoquant autant d'intérêt que de turgescences emmène le lecteur depuis un couple princier (William & Harry) pour s'achever (cela peut se signaler sans déflorer la curiosité !) sur le yacht du souverain de Monte Braco.

Bourré d'humour et de gaieté, avec effet immédiat sur les corps spongieux et caverneux des lecteurs sensibles aux charmes de la virilité, ce livre sollicite également leurs cellules grises. Après le très mauvais Harry Peloteur et la braguette magique, voici un bon vrai pastiche bien frais que je bois (bandé) sans modération et fais partager à tous mes amis, tant que cet arôme-là n'est pas encore interdit par Edvige !!!!

Pour en savoir plus :

Savoureuse interview de l'auteur par « Le concombre godifié »… :

http://www.polychromes.fr/spip.php?article242

 

Note de Daniel C. Hall : Si les éditeurs ou les auteurs (auto-édités ou non) souhaitent envoyer un service de presse à Gérard en vue d’une critique sur ce blog, merci de prendre contact avec le chef Daniel C. Hall qui vous communiquera ses coordonnées : lestoilesroses@hotmail.fr.

TO BE CONTINUED…

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