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Fiche technique :

Avec Sean Galuszka, Richard Alan Brown, Natalie Avital, Dan Glenn, Linda Pine et Susan Spano. Réalisation : Thomas Jason Lewis. Scénario : Thomas Jason Davis. Musique : Adam Gubman. Image : Jeff Gatesman. Montage : Jeff Gatesman.
Durée : 101 mn. Disponible en VO et VOST.



Résumé
 :
Ajay (Sean Galuszka) ramène chez lui un body-buildé un peu flapi mais très entreprenant. Les deux hommes commencent à s'embrasser mais rapidement leur étreinte vire à la bagarre. Ajay est assommé et violé par le costaud. Le lendemain, Ajay se réveille et découvre qu'il a été infecté par une maladie sexuellement transmissible qu'il n'aurait pas pu prévoir : le vampirisme.
Persuadés qu'il sou
ffre de dépression, deux amis, Teague (Richard Alan Brown) et Floor (Dan Glenn) l'embarquent pour un week-end à Las Vegas afin de lui changer les idées. Ils trouvent une chambre dans un motel du désert des Mojaves, à proximité de la ville du jeu où Ajay trouvera à se repaître...

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L’avis de Bernard Alapetite :
Premières images : deux mecs, pas terribles, la trentaine fatiguée, sont aux prémices du coït. Le visiteur, genre culturiste avachi, veut baiser son hôte. Ce dernier, déjà en position, n’attend que ça et propose au malabar une capote. Le gros la refuse. Le propriétaire s’énerve, n’a plus envie du mastard et veut le virer. Ce dernier le prend très mal et assomme son partenaire d’un direct. L’écran devient noir, puis vire au rouge, générique. Après l’intermède, on retrouve notre victime très déprimée par son agression. Histoire de se remettre, il passe d’adorables souris blanches au mixer pour en boire le jus en guise de fortifiant... Si vous aimez le cinéma, il est probable que vous n’êtes pas arrivé jusque là. Je vous déconseille d’aller plus loin dans cette daube. Le pire est à venir.

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Après ce départ sur les chapeaux de roue comme on disait du temps de la manivelle et des rosengarts, le scénariste
qui est aussi le cinéaste ne sait pas quoi faire de son vampire ; n’ayant pas les moyens financiers de le faire évoluer en ville, il le parque dans un motel de seconde zone. Il lui autorise tout de même quelques excursions à Las Vegas, que l’on ne verra jamais, mis à part quelques images récurrentes du strip en accéléré, pour... se nourrir. L’action si l’on peut dire se traîne ainsi plus de 90 mn meublées par la ridicule histoire d’amour entre le monstre et Teague, un jeune homme poupin amoureux transi d’Ajay avant sa transformation.

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Cette love story est aussi ratée que le reste. Seule distraction au énième degré
: les vêtements du jeune homme que l’on croirait sortis d’un « chic parisien » d’une sous-préfecture dans les années soixante. Cette série Z glauque est aussi mal jouée qu’elle est mal dirigée. Les scènes de vampirisme sont grotesques. L’image est granuleuse et le point évanescent. Il n’y a guère que le cadrage à sauver de ce premier film dont on espère pour l’amour du cinéma que ce sera le dernier de son réalisateur.

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Mis à part le blond de la quincaillerie, joué par un acteur habitué au porno, pas mal du tout, qui sera le dernière steak humain d’Ajay, les mecs en plus sont assez moches.

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Pour aggraver son cas
, le metteur en scène n’a pas une once de second dégré ni d’humour. C’est glauque, ça ne fait même pas peur, avec pour « agrémenter » le tout un soupçon de scatologie et de cruauté envers les animaux.

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Conseillons à ceux qui aiment mélanger film d’horreu
r et film gay d’aller voir du côté de la pléthorique filmographie de David de Coteau. Les acteurs y jouent aussi mal que dans Scab mais ils sont très mignons et au moins, c’est un cinéaste qui ne se prend pas au sérieux.
Vous avez compris
 : Scab est une horreur de film et pas un film d’horreur.
Pour plus d’informations :

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