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Fiche technique :
Avec Rebekah Kochan, Scott Lunsford, Jim Verraros, Jillian Nusbaum, Ryan Carnes, Natalie Burge, Adrienne Pearson, Jillian Nusbaum, Christopher Michaels, Emily Brooke Hands, Billy Shepard et Maurice Grossman. Réalisation : O. Allan Brocka. Images : Keith J. Duggan. Montage : Phillip J. Bartell. Musique originale: Dominik Hauser.
Durée : 85 mn. Disponible en VO et VOST.



Résumé :

Gwen (Emily Brooke Hands) n'aime que les garçons homos, et surtout tenter de les convertir en hétéros. Caleb (Scott Lunsford) a flashé sur elle, mais elle ne l'a pas remarqué. Son colocataire, l’astucieux et gay Kyle (Jim Verraros), échafaude un plan pour que Gwen tombe dans les bras de Caleb ; pour cela il doit prétendre être gay.

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Mais Caleb est si convainquant dans son rôle d'homo que Gwen abandonne toute idée de conversion et décide que Caleb serait le compagnon parfait pour son propre colocataire gay, Marc (Ryan Carnes), l'objet des désirs de Kyle...

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L’avis de Bernard Alapetite :
Eating out est le film idéal pour une fin de week-end, de quoi vous mettre du baume au cœur pour affronter la reprise du lundi matin, alimenter vos rêves nocturnes, ne pas trop solliciter vos neurones et vous procurer un endormissement paisible.

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Nous sommes en présence de la réactualisation américaine et gay du marivaudage. Tant sur le fond que sur la forme car le scénario pourrait facilement être transposé sur une scène, à condition que les acteurs acceptent quelques prouesses sexuelles en live, qui ici restent malheureusement hors champ.

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Nous apercevons néanmoins l’anatomie complète coté face des deux héros mais malheureusement rien côté pile ! Il faut louer la sobriété du jeu des acteurs, mis à part celui de Rebekah Kochan, Tiffany, la pouffe de service qui semble échappée d’un opus de John Waters et que l’on retrouve avec Emily Brooke Hands dans Eating out 2 contrairement à leurs autres petits camarades, chose rare dans les comédies gays américaines qui s’imposent de plus en plus comme un genre à part entière.

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Il y a du Wilde, mais un Wilde très cru, dans les dialogues bien écrits et souvent drôles. La scène la plus hilarante du film relève pourtant du comique de situation, quand Gwen, par l'intermédiaire du téléphone, guide Caleb dans sa première expérience sexuelle gay.

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L’un des principaux intérêts du film est la présence dans l’un des rôles principaux de l’affolant Ryan Carnes que l’on avait déjà remarqué dans l’éphémère emploi de Justin, ami de cœur et de lit du fils Van de Kamp dans Desperate Housewives. Il est dommage que son compère brun ne soit pas tout à fait à la hauteur de sa perfection plastique.

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Eating out, en français « manger dehors », a commencé comme sorte d'une plaisanterie. À l'Institut de Californie des arts, l’élève Brocka, dans sa classe de screenwriting, devait écrire un scénario chaque semestre ; son précédent exercice, très personnel ayant connu peu de succès, il décide d’en écrire un plus léger et plus sexe. À sa grande surprise, c’est celui-ci qui lui apporte la reconnaissance.

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Quand Michael J. Shoel d'Ariztical l’approche, recherchant un scénario alliant humour et sexe, Eating out lui revient à l'esprit... Le film a été tourné avec un budget minuscule en dix jours !

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Depuis ce premier film, O. Allan Brocka a donné une fausse suite à Eating out, Eating out Sloppy Seconds, qu’il a scénarisé mais la réalisation est due à Phillip J. Bartell, par ailleurs monteur d’Eating out 2 et de Boy culture.

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Mais surtout, il a réalisé le réussi Boy culture dans lequel on retrouve en bonne copine Emily Brooke Hands. Ses deux films cumulent déjà plus d’une trentaine de prix, alors qu’Eating out 2 s’est également vu récompensé.

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Un OVNI de la comédie américaine qui ne répond heureusement pas aux codes hollywoodiens, ni aux bonnes mœurs américaines.

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Pour plus d’informations :

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Extraits

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