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Fiche technique :
Avec Adam Chubbuck, James Ransome, Tiffany Limos, Stephen Jasso, James Bullard, Shanie Calahan, Eddie Daniels, Bill Fagerbakke et Patricia Place. Réalisé par Larry Clark et Edward Lachman. Scénario de Harmony Korine. Directeurs de la photographie : Larry Clark et Edward Lachman. Compositeur : Matt Clark.
Durée : 95 mn. Disponible en VO, VOST et VF.
Résumé :
Un tableau provocant d'adolescents américains de classe moyenne qui trompent leur ennui avec du sexe, de la violence et de la perversion à Visalia, une petite ville de Californie. Leurs parents sont pour la plupart médiocres, aveugles, méprisants et alcooliques.
L'avis de Matoo :
J’avais beaucoup aimé Kids. Je l’avais découvert quand j’étudiais à Newcastle, dans un petit ciné de quartier. A l’époque, on disait que c’était le film « qui avait choqué Madonna », et en effet il y avait de quoi. Mais surtout, c’était une réflexion pleine de sagacité (en même temps qu’une critique au vitriol) et un constat dérangeant sur le sexe chez les adolescents, ainsi que la manière dont l’âge de l’inconscience rencontrait celui des premières expériences. Et surtout, il présageait la manière dont le sexe se pratique, de plus en plus jeune, sans repère ni raison et sans aucun discernement.
En ce sens, Ken Park est le juste dérivé de Kids. En effet, le film est trivial et largement plus voyeur en terme de scènes de cul. Je n’avais jamais vu de démonstrations aussi explicites, et ce n’est pas tant que j’ai été choqué de cette crudité (pas mal excité même) que je n’ai plutôt pas compris son intérêt, étant donné que ce n’était pas le prétexte à un trait de scénario mais la simple mise en abîme d’une série de faits.
L’histoire tourne autour d’une bande de jeunes de Californie qui se font littéralement chier, sont complètement en inversion de phase avec leurs parents, et cherchent à tout prix à passer le temps. Il y a donc plusieurs portraits qui se succèdent, et le film démarre par le suicide assez spectaculaire et gore de l’un d’entre eux. Cette mort est le prétexte à une présentation des personnages dans leur famille et environnement respectifs. Ils sont tous plus déstructurés et paumés les uns que les autres, les enfants vivant les affres de l’adolescence, et les parents sont engoncés dans leurs vies moroses. L’un des ados se tape la fille et la mère, tandis que le second ne supporte plus ses parents et expérimente le gasping en se branlant (une scène assez space… on le voit se branler et éjaculer tout en s’étranglant pour avoir une meilleure jouissance), il finit par assassiner ses grands-parents parce qu’il ne les supporte plus, une autre a un père catho intégriste complètement taré, etc.
J’ai été un peu déçu par cette manière de montrer un environnement et des situations vraiment extrêmes et rien d’autre, ainsi que par les scènes de sexe qui ne débouchent sur rien de spécial dans le film (même si dans la réalité c’est assez plausible). En fait, je m’attendais à un scénario mieux construit, et j’ai seulement vu un défilement de jeunes gens perdus et écartelés, qui baisent et c’est tout. Du coup, quel est vraiment l’intérêt de cela ? Et la surenchère dans le suicide du début et le crime des grands-parents ?! Vraiment, j’ai eu du mal à suivre.
Je ne peux pas dire que c’était complètement nul ou bien que je n’ai pas été sensible aux personnages, mais je ne vois pas où ils veulent en venir. Et finalement, ce qui m’a plu, c’est que les mecs sont plutôt bien montés, qu’on voit leurs bites, que les scènes de cul (hétéros) sont plutôt bandantes, et que le plan à trois de l’affiche est aussi beau que la photo (une scène vraiment très sensuelle, à la fois tendre et sexuelle…). Est-ce que c’était le but du film ? Non, quand même pas ? Ou alors, j’ai raté le coche. Ouais, ça doit être ça.
Pour plus d’informations :
Bande annonce
Voir la fiche n°1, avis de Jean Yves et G. F.
 
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