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Le Père Docu s'appelle Gérard Coudougnan, il est né en 1962 et a pour qualification « enseignant-documentaliste », vous savez la dame qui râle au C.D.I. (centre de documentation et d'information) : c'est lui. Pour des raisons indépendantes de sa volonté, il est en ce moment éloigné de son lieu de travail habituel mais a toujours un C.D.I. (contrat à durée indéterminée) avec les bouquins pour qui il a une vraie A.L.D. (affection de longue durée).

Au hasard de ses lectures, il a croisé Marc-Jean Filaire puis Môssieur Daniel C. Hall (« The Boss ») qui lui a proposé de regrouper ici quelques « recensions » d'ouvrages à thématique LGBT.

Toute remarque, toute suggestion sera la bienvenue. Les avis, sous forme de commentaires, pour échanger des points de vue encore plus !

La bibliothèque rose est ouverte… vous avez lu Le Club des Cinq d'Enid Blyton ? Claude, le « garçon manqué » est peut-être alors votre première rencontre avec une petite lesbienne ou une future transgenre ? Ah bon, vous n'avez pas connu les Bibliothèques Rose et Verte ? Qu'importe, entrez (couverts !) ici et faites ce que vous voulez entre les rayons, ne soyez pas sages ...

 

en collaboration avec  homo6  

 

crepuscule.jpg

Philippe Gimet, Le Crépuscule des Bourbons,

éditions H&O, 2010, 313 p. – 16 €

 

Suivre l'existence d'un jeune aristocrate français durant le règne de Louis XVI : tel est le programme proposé par Philippe Gimet. Si l'on ajoute que ce charmant et athlétique Louis-Marie de Mondétour-Trémainville a trente ans en 1790 et qu'il aime les hommes, on comprendra l'intérêt de ces confidences biographiques !

En fin historien et humaniste, l'auteur nous fait vivre à hauteur d'homme des événements extraordinaires. Le témoignage de Louis-Marie est un excellent moyen de revivre la Révolution Française sans a priori et dans la richesse d'un homme cultivé et à l'esprit ouvert. Une enfance de courtisan lui a donné certains réflexes que ses orientations personnelles ont contribué à modifier. Ce brillant esprit a connu « les violences injustement faites à qui diverge de la norme, laquelle, éminemment variable, ne pouvait être considérée comme digne de foi » (p. 241).

Dans cette épopée, on va ainsi croiser quelques têtes d'affiche telles que Louis XVI, le marquis de Sade, Mirabeau, Desmoulins, la famille Robespierre ou Olympe de Gouges. Des figures moins illustres mais plus importantes dans l'histoire des bardaches (1) figurent aussi, tels Gustave III de Suède ou le Marquis de Vilette (2), à leur juste place.

Un séjour à la Bastille permet même d'en comparer le confort avec d'autres lieux de détention... le début d'un Petit Futé des geôles françaises de l’Ancien Régime !

Mais le grand bouleversement social n'occupe qu'une cinquantaine de pages à la fin du livre. On va d'abord se laisser mener sous divers cieux européens à cheval, en carrosse et même en aérostat (voir la photo d'Aaron Cobbett en couverture...). Suivre les détails des conflits familiaux et dynastiques n'est pas chose toujours aisée : il est cependant possible de se laisser doucement bercer par le style de Monsieur de Mondétour-Trémainville qui peut devenir subitement plus excitant lorsqu'il narre avec un vocabulaire délicieusement suranné ses aventures sensuelles. Son amour des garçons trouve refuge dans les lieux les plus variés et ses partenaires sont issus de tous les milieux, lui offrant ainsi une ouverture sur des conditions d'existence variées allant de celles du valet de ferme à celles des monarques européens ! Son attirance pour les corps noirs lui donne l'occasion de militer en faveur de l'abolition de l'esclavage et de faire preuve d'un esprit « éclairé » qui place l'humain au cœur de ses préoccupations, malgré quelques attitudes de courtisan éconduit.

Enfin un véritable roman historique avec un point de vue original qui n'est pas perturbé par les analyses des historiens des siècles suivants... mais mené par un véritable historien du quotidien.

 

(1) cf. les précédents livres de Philippe Gimet dans sa saga Mémoires d'un bardache.

(2) http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Villette

 

Pour en savoir plus :

Sur la Révolution des Sodomites : http://culture-et-debats.over-blog.com/article-11943376.html

Sur le Aaron Cobbett, auteur de la photographie de couverture : http://www.amazon.fr/Aaron-Cobbett-bilingue-fran%C3%A7ais-anglais/dp/2845471467/ref=sr_1_2?ie=UTF8&s=books&qid=1290000867&sr=8-2

 

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Photo © D. R.

 

Interview de Philippe Gimet

Par Gérard Coudougnan

 

« Les sources historiques explicites ne sont pas légion et on y trouve rarement la mention “untel est une grosse tapette” ! »

 

Les Toiles Roses : Bonjour Monsieur Gimet et bienvenue sur Les Toiles Roses. C'est pour notre humble site roturier un immense honneur que d'accueillir si érudit chroniqueur de tant de courtisans, aristocrates et autres séduisants gentilshommes. Pourriez-vous présenter à notre aimable lectorat votre auguste personne ?

Philippe Gimet : Mon « auguste personne » est aussi roturière que vous et je sens une pointe d'obséquiosité narquoise dans ce débordement d'adjectifs ! S'il n'y avait par ailleurs que des aristocrates dans ma saga, on s'y ennuierait... ferme. Pour ce qui me concerne à titre personnel, je n'ai pas grand chose à révéler qui fasse saliver : j'exerce le métier de journaliste après une longue carrière dans l'imprimerie et l'édition, je voyage assez souvent en France et à l'étranger, je vis en couple à Paris et je me dirige irrémédiablement vers le demi-siècle. Mes « beaux restes » concernent davantage ce que j'écris que ce que je suis. Il paraît que l'organe sexuel par excellence est le cerveau : disons que je me flatte, à cet égard, d'être correctement pourvu !

 

Merci Philippe ! Quelles étaient vos intentions quand vous avez commencé à rédiger Les Mémoires d'un bardache ?

Aucune : le premier volume, Le Sceau de Kropotkine (1), n'était pas destiné à sortir du cercle amical. Rédigeant quotidiennement des articles sur des thèmes parfois ardus et pas drôles du tout, j'éprouvais le besoin de me « rafraîchir la plume » dans un atelier d'écriture orienté érotisme gaulois et poésie de corps de garde ‒ on a ses échappatoires. Le Sceau de Kropotkine est arrivé après une expérience d'écriture de roman à quatre mains ‒ bien occupées : je vous vois venir ! Cela m'a mis en confiance ; jusque là, je n'avais jamais dépassé la centaine de pages et mes expériences éditoriales se résumaient aux nouvelles. J'ai cherché un inducteur, une première phrase qui me ferait fantasmer, et j'ai trouvé celle-là : « Je venais à peine de fêter mon vingt-cinquième anniversaire lorsque parvint à Paris la nouvelle de la mort de Louis XIV. » Ensuite, j'ai pris mon temps, plus d'un an, sans songer à autre chose qu'à me faire plaisir. J'ai présenté le résultat aux membres de l'atelier, ils ont aimé. Ce sont eux, bien plus que la vanité personnelle, qui m'ont poussé à solliciter des éditeurs. H&O a été le premier, et le plus enthousiaste. C'est du professionnalisme de cette maison d'édition, de la confiance et du soutien de ses fondateurs qu'est née l'idée d'une saga historique. Depuis, les romans s'enchaînent à la fois dans la continuité et le renouvellement des intrigues et des personnages.

 

On peut donc entamer la lecture à n'importe quel tome ?

Absolument, c'est un point sur lequel j'ai beaucoup travaillé. J'ose à peine évoquer Fortune de France de Robert Merle ‒ mes récits, avec poils, muscles et dentelles, se rapprochent davantage d'Angélique marquise des Anges ! ‒ mais disons qu'à l'instar de ces monuments de la littérature, ma saga érotico-historique peut se prendre par n'importe quel... bout. Même s'il est vrai qu'un lecteur connaissant la trame depuis le début s'y sentira davantage en terrain connu, retrouvant tel personnage ou tel décor, un primo-lecteur pénétrera aisément dans l'histoire, quitte à faire ensuite des bonds dans le temps.

 

Je vous imaginais en vieux moine travailleur, recherchant ses sources dans de vieux grimoires scellés au fond de bibliothèques semblables à celle du Nom de la rose, et pourtant j'ai devant moi un quadra fort agréable à regarder... Comment écrivez-vous ?

Bientôt quinqua, hélas... Merci toutefois pour le compliment : c'est le moment de me demander quelque chose, vous l'obtiendrez ! (rires) Je n'en suis pas moins un rat de bibliothèque... virtuelle puisque l'un de mes instruments de prédilection est l'Internet, un outil qui permet de gagner environ un an sur les deux que prend en moyenne la préparation d'un ouvrage vraiment documenté. Comment je travaille ? Eh bien, en gros, je conçois une intrigue assez élastique dont le déroulement et la résolution se font sur un canevas historique aussi précis que possible. Mes personnages se placent ainsi dans leur contexte en toute liberté... et me réservent parfois des surprises ! En matière de documentation, je lis évidemment beaucoup d'autobiographies, de mémoires, mais également les journaux de l'époque, les programmes de théâtre ou d'opéra, et même les archives météorologiques. Rien, en revanche, qui ait été publié après les dates qui m'intéressent car l'objectif est de me libérer le plus possible de mon background d'homme du XXIe siècle et d'adopter la subjectivité propre à la temporalité de mes héros. C'est la partie la plus ardue : les pensées d'un aristocrate d'ancien régime, fût-il le plus "libéral" des bardaches, demeurent celles de leur temps. Idem pour les événements dont il a connaissance... ou pas. Par exemple, il fallait être singulièrement visionnaire pour anticiper, à l'ouverture des États Généraux de 1789, ce qui devait s'ensuivre : nous le savons, nous, hommes du XXIe siècle, mais nos ancêtres ne le savaient pas. Il en va de même pour un certain nombre de découvertes ou d'événements, passés sous silence dans mes récits comme dans les chroniques du temps, tout simplement parce que l'information, comme les gens, circulait lentement. Écrire un roman historique revient à adopter un rythme de pensée qui nous est totalement étranger. C'est de cela, je pense, de cette sorte de voyage immobile, que procède, entre autres, le plaisir du lecteur.

 

Avez-vous utilisé des sources historiques pour tout ce qui concerne le vécu « bardache » ou avez-vous laissé voguer votre imagination dans un contexte dont vous maîtrisiez beaucoup des autres aspects ?

Les sources historiques explicites ne sont pas légion et on y trouve rarement la mention « untel est une grosse tapette » ! Il y a certes des figures emblématiques : Monsieur, frère de Louis XIV, notamment, ou encore Jean-Jacques de Cambacérès, mais il faut apprendre à lire entre les lignes et mener un véritable travail d'investigation et de recoupements pour deviner les réelles inclinations de la plupart des bardaches supposés, en des temps où le terme même de "sexualité" n'existait pas et où le mariage était la règle pour tout le monde. Cela dit, mon travail, aussi rigoureux soit-il, n'est pas celui d'un historien et j'ai pris un immense plaisir à broder une tapisserie luxurieuse sur de simples suppositions, déductions... ou inventions ! Le contexte général, en revanche, est aussi fidèle que possible à la réalité historique.

 

Vous est-il possible de décrire en quelques phrases une évolution de ces mœurs de Louis XIV à la Révolution ?

Jusqu'à la Révolution, je ne crois pas qu'il y ait réellement d'évolution : comme aujourd'hui, les puissants font ce que bon leur semble et, comme aujourd'hui, la piétaille doit veiller à ne pas se faire prendre ! Les bardaches étaient méprisés mais leurs nombreux représentants dans la haute société, et le fait que la plupart des militaires marchent « à voile et à vapeur » selon qu'ils soient en campagne ou en ville, empêchaient une stigmatisation autre que religieuse. On retrouve trace de ce sentiment dans l'idée, répandue de nos jours, que les gens riches et/ou cultivés puissent être gay plus souvent qu'ailleurs, ce qui est un cliché. L'Ancien Régime français est un peu celui du don't ask don't tell, une caractéristique qui le différencie nettement de ses voisins européens, où les homosexuels sont persécutés, parfois mis à mort. Tout change au XIXe siècle, après les courts règnes de Napoléon 1er, qui n'en avait pas grand chose à faire, et de Louis XVIII, qui aimait les garçons. C'est l'émergence, sous Charles X, d'une morale rigoriste et bigote, toute bourgeoise, dont nous subissons encore les effets, notamment en France, où les droits des gays sont désormais en retrait par rapport à d'autres pays européens. Et je ne parle pas des maigres avancées sur les questions de société ou des droits plus généraux, en nette régression depuis quelques années, qui concernent la population tout entière...

 

Voit-on à une époque un rapprochement entre libertins et bardaches ?

Les deux termes ne sont pas synonymes : on peut être bardache et cul-béni, fût-ce à notre époque ! Libertin dans le sens de la liberté des mœurs, sans doute ‒ encore que certains libertins hétérosexuels méprisent les « pêcheurs d'étrons ». Mais pas systématiquement dans l'idée d'un refus du dogmatisme ou de l'ordre établi. En dehors des jeux sexuels et à l'instar d'autres catégories, homos des villes et homos des champs, homos bobos et homo prolos cohabitent rarement, même aujourd'hui... Les héros principaux de ma saga ne font pas exception et sont, à cet égard, représentatifs de leur époque : on punira sévèrement quiconque sort sans permission de la condition dans laquelle il est né. Que l'on croie ou non en Dieu ou au destin n'y change rien. Le système des castes n'a jamais existé en tant que tel dans notre pays - pas dans sa complexité à la mode indienne ‒ mais on peut considérer que les fameux trois états de la société d'ancien régime en sont l'équivalent. Des formes insidieuses de cette ségrégation ont traversé les siècles jusqu'aux barrières sociales actuelles, dont la plus glaçante illustration est le fameux « plafond de verre » qui empêche certaines catégories d'accéder à un statut socioprofessionnel différent de celui défini par l'establishment. Alors oui, hélas, on peut tout à fait être libertin et réac ; l'inclination sexuelle ne rejoint pas l'orientation politique.

 

Les Petites Tuileries, ce lieu où tout n'est que débauches dans un cadre de luxe, calme et volupté pour les hommes qui aiment leurs semblables sont-elles le fruit de votre imagination ou ont-elles vraiment existé ?

Je ne voudrais pas décevoir mes chers lecteurs mais il est, en effet, inutile de rechercher en bordure de forêt de Montmorency... Croyez bien que le regrette ! C'est peut-être pour cela, d'ailleurs, que je les ai créées, ces Petites Tuileries... Plus généralement, les lieux qui apparaissent dans ma saga existent ou ont existé pour le décor d'ensemble, mais sont pure invention ou recréation en ce qui concerne les espaces privés. Disons qu'ils auraient pu/dû exister.

 

Avez-vous l'intention de mener cette saga jusqu'à nos jours ?

S'il plaît à H&O, je conduirai même Les Mémoires d'un bardache jusque dans le futur ! Traverser ainsi les siècles est une volupté que j'espère partager longtemps encore avec mes lecteurs-complices.  

 

Tous nos vœux vous accompagnent ! Et merci pour cette interview. Je sais que notre rédacteur en chef vénéré, Daniel Conrad, vous sera redevable et se courbera devant vous… (rires)

 

(1) Voir la troisième recension dans http://www.lestoilesroses.net/article-30742717.html

 Site de nos amis des éditions H&O (les meilleurs !)

 

Note de Daniel C. Hall : Si les éditeurs ou les auteurs (auto-édités ou non) souhaitent envoyer un service de presse à Gérard en vue d’une critique sur ce blog, merci de prendre contact avec le chef Daniel C. Hall qui vous communiquera ses coordonnées : lestoilesroses@hotmail.fr.


TO BE CONTINUED…

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