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Veni Vidi Vincy - Photo © D. R.

 

 

RAFAEL, ENRIQUE, LLUIS,
TAMAR... ESPIGNOLADES

 

 

C’est toujours mystérieux. Des idées ici et là, des images qui se baladent dans nos têtes… et à la fin cela devient un ensemble à peu près cohérent. Il y a d’abord eu cette manie de Rafael Nadal, puis les révélations de Enrique Iglesias, pour enfin, à Barcelone, dans une salle de cinéma, le Renoir, admirer un plan d’Almodovar sur le paquet énorme de Lluis Homar.

 

 

C’est à Barcelone, entre une virée au Métro – la boîte avec des urinoirs surmontés d’écrans diffusant des pornos : pisser ou bander, il faut choisir – et une balade en bord de mer, que j’ai eu l’idée de mélanger tout cela. Les slips de Nadal, la petite bite d’Enrique, les mâles d’Almodovar.

 

Star en son pays (il est l’égérie de trois ou quatre marques), Rafael Nadal est le meilleur joueur de tennis depuis un an. Quasiment invincible sur la terre battue où seul Djokovic peut lui faire un peu peur, il gagne désormais sur toutes les surfaces et a réduit Federer au rang d’observateur impuissant. Mais Nadal a un petit souci, situé entre la cuisse et la fesse : son slip.

 

 

Il a ce fâcheux tic (toc ?) de remettre son élastique en place, entre deux points. Systématiquement. On ne saurait trop lui conseiller de changer de sous-vêtements : opter pour des caleçons en lycra ou dans une matière dédiée aux grands compétiteurs. Mais on sait que le slip est une valeur sûre chez les méditerranéens et chez les sportifs. Symbole d’une forme de virilité ? En tout cas sur ventes-privées.com, les slips sont souvent disponibles à la vente quand les boxers et shortys sont déjà épuisés depuis longtemps…

Mais je m’égare. Car sa manie a créé un phénomène il y a quelques mois. L’élastique qui remonte entre les fesses et attire les doigts dans le cul, ça inspire les fans. Lors de la Coupe Davis, à l’automne dernier, en Argentine, les supporteurs ont « fait tourner les slips ». Des bleus pour les Argentins, des rouges pour les Espagnols. Un site internet (LoscalzonesdeNadal.com, les caleçons de Nadal) permettait d'envoyer des slips virtuels à vos amis et de prendre parti pour l'une ou l'autre des deux équipes. Le n°1 argentin, Juan Martín del Potro, avait même annoncé un jour qu’il allait « sortir le slip de Nadal de son cul ».

 

 

Avec les dents ?

 

Quelques semaines plus tard, on apprenait qu’un autre espagnol, Enrique Iglesias, avait, lui, plutôt du mal à les remplir, ses slips.

 

 

À 33 ans, celui qui va envahir Bercy et fait mouiller les jeunes filles en mal de mâles, avoue que lorsqu’il se regarde dans le miroir, il ne voit pas un sex symbol. Dans The Mirror, il y va franco.

À la question, « Pensez-vous faire des pubs comme celles avec David Beckham pour des sous vêtements ? », il répond : « Je ne pense pas avoir le paquet pour ça ! S’ils peuvent utiliser Photoshop pour les photos, et rendre mon engin plus gros, alors peut-être que j’accepterai. » Et perfidement, il balance « Mais c’est peut-être ce qu’ils ont fait avec celles de Beckham, non ? » (J’y reviendrai dans un texte ultérieur).

 

 

Iglesias a donc des complexes : il a des jambes de poulet, un petit ventre et pas de tablettes de chocolat,  une petite bite (encore que ça ne veut rien dire : on a connu des asticots muer en gros boas quand le désir est là), et… des couilles pendantes. Et oui, rien ne nous est épargné. En général, on dit que ce sont les caleçons (les amples) qui produisent cet effet de boules tombantes. « J'ai entendu dire qu'elles descendaient encore plus et qu'elles devenaient encore plus molles quand on vieillissait, et ça craint, parce que ça veut dire qu'il faudra que je plie les miennes dans mes chaussettes. »

Une queue rikiki et des grosses bourses défiant l’apesanteur, voilà un drôle de « paquet ». Au moins, il deviendra le symbole sexuel de tous ces hommes honteux parce que leur membre mesure moins de 15 centimètres. Il devrait faire une campagne où assumant son mini-pénis (mais qui fait le maximum) il incite les mecs à arrêter de se la comparer, ou pire, de se la faire grandir (ça réduirait nos spams…).

 

 

Heureusement Almodovar est là pour montrer que les Ibères en ont. Au début de son nouveau film, bientôt présenté à Cannes, Les Éreintes brisées, son acteur principal, Lluis Homar, 52 ans, s’offre un plan cul avec une jolie blonde (et là, bécote le cinéaste sur la photo). La caméra se fixe sur l’entrejambe du comédien, une grosse bosse oppressée par son jean.  Almodovar bande encore avec vigueur. Il sait toujours choisir ses minets : les trois grâces de son nouveau film ont des gueules très différentes. Alejo Sauras (un peu exhib tant il y a de photos de lui à poil sur le web), 29 ans, est sans doute le DJ le plus sexy du cinéma ; Rubén Ochandiano, 28 ans, joue la folle perverse de service, et Tamar Novas, 22 ans, en couverture de Zero, le Têtu espagnol, ce mois-ci, préfèrent jouer les « bogosses » en costume. Novas est un nouveau Banderas, en fils idéal et bien sous tous rapports.

 

 

Aucun ne semble rougir de son braquemard ou avoir des soucis d’élastique rampant. En tout cas de quoi faire de l’Espagne, la destination idéale pour mater les beaux mecs….

***

Pré-orgasmique : je file à Cannes pour mater des beaux films et croiser la jet set décadente. Je vous promets de revenir avec de l’inspiration.

 

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TO BE CONTINUED...

 

Vincy (5 mai 2009)
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