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J’ai décidé de laisser mes petits savons de côté pendant un moment. À la place, je vais vous parler de musique et de chanteurs ; en
particulier des chanteurs charmeurs séducteurs qui sont spécialisés dans les chansons d’amour. Il s’agit des crooners. Historiquement, je pourrais vous citer Frank Sinatra et Bing Crosby.
J’en parlerai peut-être un jour mais en attendant, place aux vivants et pour inaugurer la série, je vous présente le « bogoss » de Vancouver, l’étoile montante qui nous vient de
Caribouland et qui va vous faire cha-vi-rer de bonheur : starring Michael Bublé !
Je l’ai découvert en 2005 alors que je visitais mon cher cousin Clode. Mon propos n’est pas de vous raconter sa jeune vie. Si cela vous
intéresse, vous irez lire sa biographie sur son site web. Je veux plutôt vous le faire découvrir à travers quelques chansons qui me font monter et planer au 7e ciel, me remplissent
le cœur de joie et de tristesse et illustrent ma vie. Aussi ce billet comporte-t-il peu de texte, si ce n’est quelques phrases pour introduire chaque titre sélectionné, car les paroles des
chansons sont suffisamment éloquentes et révèlent mes émotions.
Voici, pour commencer la mise en bouche, un classique des chansons d’amûûûûûr, « Quando, Quando, Quando », interprété ici en duo
avec la sublime Nelly Furtado. En prime, messieurs et les filles aussi, dans ce clip, le beau Wentworth Miller (de Prison Break) prête ses traits délicieux à l’homme de ma
vie, à qui je dédie ce premier titre.
La chanson suivante est un tube de Ray Charles, « You don’t know me ». Ses paroles s’appliquent hélas à nombreuses de mes
love stories qui demeureront à jamais à l’état de fœtus victime d’un avortement.
Vous le savez bien, je suis un cœur en voyage, toujours en mouvement. Passent les saisons et tourne la Terre, seul au milieu de la foule,
je n’ai qu’une envie : rentrer à la maison.
Tu le sais parfaitement, toi qui me lis, toi que j’aime : tu ne trouveras jamais quelqu’un qui t’aime comme je t’aime. Mais tu risques de passer à côté. You’re gonna miss my love (and you know that)…
J’ai eu des faiblesses, j’ai eu des manquements, mais j’étais sincère dans tous les moments que nous avons partagés. Et c’est pour toi que
je chante cette chanson…
Je ne veux pas renoncer. À deux, on est toujours plus fort. Toi et moi, ensemble sur la Terre, amoureux, nous pouvons conquérir le
monde…
Admirez la magnifique voix de Michael, si chaude ; ses déhanchements façon Elvis Presley (quand il était jeune) et son incroyable
talent de bête de scène, quand il chante qu’il m’a dans la peau (moi ou quelqu’un d’autre… plutôt quelqu’un d’autre… oooouuuuiiiiinnnnn… snif !).
Michael, je t’adore. Essaye tout de même de ne pas abuser du coca et des frites afin que tes rondeurs naturelles ne subissent aucune
déformation qui porterait préjudice à ton charme. Pitiéééé, pas de syndrome Elvis ! Sur ce, je m’en vais au Canada (sans passer par l’île d’Anticosti, je vous rassure) pour acheter à la
source ton nouvel album : Call Me Irresponsible (encore un titre qui me va bien, tiens).
Pour en savoir plus :
http://www.michaelbuble.com/ et http://www.myspace.com/michaelbuble
Pour lire le précédent épisode de Zanzi and the City, cliquez ici.
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