C'est un pédé qui rentre dans une boucherie et qui demande au boucher :
— Bonjour, je voudrais un saucisson bien long, bien sec et bien dur.
— Très bien monsieur, vous voulez que je le coupe en fines rondelles ?
— Vous êtes fou ou quoi ? Vous prenez mon cul pour une tirelire ?!
Toto se pose des questions existentielles et c'est maman qui s'y colle :
— Dis maman, est-ce que Dieu est un homme ou une femme ?
— Et bien, euh, Dieu est à la fois un homme et à la fois une femme...
Toto n'est pas convaincu par cette réponse alors il continue :
— Dis maman, est-ce que Dieu est noir ou est-ce que Dieu est blanc ?
— Et bien... Dieu est à la fois noir et à la fois blanc (la mère pense s'en tirer comme ça à chaque fois).
Toto n'est cependant pas plus convaincu :
— Dis maman, est-ce que Dieu est comme toi et papa, ou bien est-ce qu'il est homosexuel ?
— Et bien (la mère commence à se demander où Toto veut en venir) Dieu est à la fois comme papa et moi, et à la fois homosexuel...
Alors le visage de Toto s'illumine et il demande :
— Maman, je sais maintenant ! Est-ce que Dieu ne serait pas Michael Jackson ?
Un chauffeur de car homosexuel vient d'être chargé d'emmener un groupe de paraplégiques gays en
excursion. Il prépare donc son car. Il enlève les sièges et prépare les fixations pour emmener les fauteuils roulants en toute sécurité. Le jour dit, il fait monter les passagers et les installe.
Il démarre et roule doucement pour ne pas prendre de risques. Mais très vite, ses passagers se mettent à chanter :
— Chauffeur, si t'es pédé, appuie, appuie... Chauffeur, si t'es pédé, appuie sur l'champignon !
Le chauffeur (qui est pédé) appuie sur le champignon (un peu). Quelques minutes plus tard, les paraplégiques gays se mettent à chanter :
— Chauffeur, si t'es pédé, appuie, appuie... Chauffeur, si t'es pédé, appuie sur l'champignon
!
Le chauffeur accélère encore un peu. Quelques minutes plus tard, les
passagers se remettent à chanter :
— Chauffeur, si t'es pédé, appuie,
appuie... Chauffeur, si t'es pédé, appuie sur l'champignon !
Cette fois, pour bien montrer qu'il est fier d'être pédé, il accélère bien plus fort, et au virage
suivant, se prend de plein fouet un platane. Alors ses passagers se mettent à chanter en chœur :
— Il eeessstttt des nôôôôôôtres...
Deux perroquets pédés s'enculaient toute la nuit et toutes les nuits.
Un jour l'un d'eux meurt, et l'autre pleure, pleure, pleure...
Le propriétaire vient trouver son perroquet et lui demande :
— Pourquoi pleures-tu toute la journée ?
— Parce que mon ami est mort, et si ce soir un autre oiseau ne m'encule pas, je vais me tuer aussi.
Alors le maître part acheter un autre oiseau pédé...
Il ne trouve pas de perroquet mais pour ne pas décevoir son oiseau, il achète un hibou.
Le lendemain matin, le perroquet pleure encore toutes les larmes de son petit corps emplumé.
— Mais pourquoi pleures-tu encore ? lui demande l'homme. Ce hibou n'est pas pédé ?
— Si, il est pédé ! répond le perroquet. Mais toute la nuit il n'a pas arrêté de crier : hou hou hou hou hou hou... Et moi je lui répondais : là, là, là, là, là, là...
Un homme se présente au domicile de Jean Cocteau. Il sonne à la porte. Un maître d’hôtel lui ouvre
et lui demande :
— C’est pour le Maître ?
— Non, répond le visiteur, c’est juste pour le voir…
Deux lesbiennes discutent ensemble. L’une se tourne vers l’autre et dit : « Il paraît qu’on est ce
qu’on mange. Ça veut donc dire que je serai toi demain matin ? »
Deux homos se baladent dans une deudeuche. Tout à coup, une guêpe rentre par la fenêtre ouverte. Le
gay qui conduit essaye vainement de la tuer, mais il arrive dans un virage serré et il le loupe bien sûr ! Alors ils font ensemble des tonneaux (la guêpe et les deux homos). Et quand la voiture
s'immobilise, le conducteur réussit enfin à tuer la guêpe. Il s'adresse à son copain :
— Ça y est, je l'ai niquée cette salope !
Et celui-ci lui répond :
— BBZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ !!!!!!!
C'est un gay qui est en manque et décide de se taper un clochard complètement bourré...
Le lendemain, pris de remords, il lui laisse 50 euros et le remet à sa place sans que le malheureux s'en rende compte... À son réveil, le clochard court s'acheter un pack d'Heineken avec les 50
euros, se soûle et s'endort bourré...
Le soir, le gay retourne voir le clochard, et à nouveau lui casse le cul toute la nuit...
Le lendemain, il lui laisse encore 50 euros pour la peine...
Le clochard, qui se réveille encore avec 50 euros, court à l'épicerie du coin, et le vendeur lui demande :
— Alors, l'ami... Un pack d'Heineken comme d'habitude ?
— Nan... Donne-moi plutôt de la Kronenbourg ! La Heineken ça me donne trop mal au cul...
Un homosexuel s'adresse à un magnifique jeune hétérosexuel :
— Si tu étais allé faire du camping, et qu'en te réveillant tu te retrouvais couvert de vaseline avec l'anus endolori, tu en parlerais à quelqu'un ?
Le jeune homme (rougissant) :
— Euh, non, je ne pense pas...
L'homosexuel :
— Bien ! Bon, ça te dirait d'aller camper ?
Un gars meurt et se retrouve en enfer. Vraiment il ne comprend pas pourquoi et ça l'attriste. Alors
qu'il est en face du gardien des portes de l'enfer, il se dit : Je sais que je ne me suis pas toujours bien conduit, mais je n'aurais jamais pensé que ça me ferait aboutir ici.
À ce moment, le gardien lui demande :
— Il y a un problème ? Vous avez vraiment l'air triste. Vous êtes déçu peut-être ?
Le gars :
— Qu'est-ce que vous croyez ? Me voilà en enfer ! Si j'avais su...
— L'enfer n'est pas si mal
que vous le pensez. Vous y prendrez beaucoup de plaisir. Par exemple, vous aimez boire ?
— Bien sûr que j'aime
l'alcool !
— Alors vous adorerez les lundis. Le lundi, on boit toute une mer d'alcool. Vous aurez du whisky, du rhum, de la téquila, de la bière, du gin,
ou autre chose encore. Et tout ça à volonté. La fête dure toute la nuit. Oui vraiment, vous serez fou des lundis. Vous fumez ?
— Oui je fume la cigarette.
— Eh bien vous adorerez les mardis. Le mardi est le jour où l'on fume. Des cigares les plus raffinés aux
cigarettes les plus fines. Vous fumez autant que vous voulez sans vous soucier d'attraper le cancer parce que vous êtes DÉJÀ mort ! Si c'est pas bath ça ? Vraiment, le mardi sera un jour que vous
aimerez.
— Vous vous droguez ?
— Ben, j'ai un peu essayé quand j'étais plus jeune.
— Ah vous aimerez aussi les mercredis. C'est le jour des drogues. Vous pourrez essayer toutes les drogues qui existent, et sans vous soucier
d'enfreindre la loi ou de l'overdose parce que vous êtes déjà mort. Oui, vous aimerez les mercredis. Vous aimez jouer ?
— Oui j'aime jouer
!
— Ah que vous aimerez les jeudis, car ce jour-là, l'enfer est un vrai casino : Black jack, craps, poker, mais aussi les paris, les courses de
chevaux... Tout ce qui se joue ! Vous aimerez réellement les jeudis. Une dernière question : vous êtes gay ?
— Ben, non alors
!!!
— Oups ! Hé bien désolé mais vous allez VRAIMENT détester les vendredis...
C'est un transsexuel qui vient de changer de sexe. D'homme, il est devenu femme. Elle se fait
interviewer pour le journal de 20 heures. Le journaliste demande à la transsexuelle si le changement de sexe est une expérience douloureuse. Elle répond :
— Ben, quand ils m'ont coupé le pénis et qu'ils m'ont fabriqué un vagin, ça allait encore. Même quand ils m'ont implanté du silicone dans la poitrine, ça allait aussi....
— Alors on ne peut pas dire que vous ayez vraiment souffert physiquement pour devenir femme ?
— Ah si ! J'ai eu mal à en mourir quand ils m'ont enfoncé cette aiguille dans la tête et qu'ils m'ont aspiré toute la cervelle !
Un vieux cow-boy, en grande tenue complète comprenant chemise de cow-boy, chapeau, jeans et éperons
entre dans un saloon, s’installe au bar et commande à boire. Alors qu’il est assis à siroter son tord-boyaux, une jeune femme s'installe près de lui. Après avoir commandé du punch, elle se tourne
vers le cow-boy et lui demande sans préambule :
— Vous êtes un vrai cow-boy ?
— Ben, j'ai passé toute ma vie dans les ranchs, à conduire les troupeaux, dresser les jeunes poulains, réparer les clôtures... alors oui, j'crois bien que j'suis un cow-boy, mamzelle.
Après un petit moment, le cow-boy demande à la fille ce qu'elle fait, et celle-ci répond :
— Oh, moi, je m'appelle Sandra et je n'ai jamais mis les pieds dans un ranch. Je ne suis pas cow-boy, mais je suis lesbienne. Je passe la journée à penser aux femmes. Les mecs... ça ne me tente
pas. Dès que je me lève, le matin, je pense aux nanas. Que je mange, prenne ma douche, regarde la télé, tout ramène ma pensée vers les filles. Je suis un peu obsédée, quoi !
Quelques heures passent et la jeune femme s'en va. Le vieux cow-boy commande un autre verre et un couple de touristes s'installe près de lui. Le mari lui demande alors :
— Vous êtes un vrai cow-boy ?
Et l'autre de répondre, après avoir marqué une pause :
— Ben... je l'avais toujours cru, mais je viens de découvrir qu'en réalité je suis une lesbienne...
Nous sommes sur un vol long courrier d'Air France au dessus du Pacifique. Tout le monde dort, tous
sauf deux homosexuels qui n'arrivent pas à trouver le sommeil... L'un des deux, le moins timide, propose à son ami de faire l'amour, là dans l'avion !
— Allez va... On le fait, on en avait déjà parlé, tu étais d'accord !
— Non mais tu te rends compte du monde qu'il y a ! Non merci, je n'ai pas envie de prendre la honte si on nous surprend !
— Mais on ne risque rien, tout le monde dort, allez viens !
— Comment peux-tu en être aussi sûr ?
— Mais j'en suis sûr, regarde !
Il se lève et demande à voix haute :
— Est-ce quelqu'un aurait un stylo s'il vous plaît ?
Aucune réaction des passagers...
— Tu vois... Tout le monde dort, personne ne peut nous surprendre. Prends-moi, j'ai vraiment trop envie !
Le second, rassuré, se met à l'ouvrage ; ils font l'amour sans être dérangés et s'endorment peu de temps après.
Au petit jour, l’hôtesse passe dans les couloirs et demande si tout s'est bien passé... et là, non loin des places de nos deux amoureux une petite vieille grelotte :
— Madame, tout va bien ? lui demande l’hôtesse.
— Ooohhh ! J'ai eu un peu froid cette nuit mais si non ça va.
— Mais vous auriez dû demander une couverture...
— Ah ça non alors ! Un monsieur a demandé un stylo et il s'est fait enculer !!!
Un homosexuel est pris en stop par un routier. L'homo se met à draguer le routier, lequel se dit
qu'après tout... pourquoi pas.
Il arrête le camion et ils s'installent tous les deux sur la couchette à l'arrière. Le gay se déshabille,et se passe de l'huile partout sur le corps. Le routier médusé demande :
— Qu'est-ce que tu fais ?
— Oh moi je mets toujours de l'huile comme ça, tu vas voir c'est très excitant !
Sur ce, le routier, imperturbable, prend sa gourmette et se l'enroule autour du sexe. Le gay, médusé, demande à son tour :
— Qu'est-ce que tu fais ?
— Et bien chez nous les routiers, quand ça glisse, on met les chaînes...
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