Vendredi 30 septembre
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[En parlant des homophobes] « On les emmerde avec un grand "A" ! » David de Loft story 1 sur M6
Par Daniel C. Hall
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Vendredi 30 septembre
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« Si un de mes fils était homosexuel, je n'aurais aucun problème avec ça. La seule chose qui m'inquièterait est de savoir s'il est heureux ou non. » Diana Ross
Par Daniel C. Hall
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Vendredi 30 septembre
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« J'ai commencé à regarder les garçons pour savoir comment il fallait m'y prendre pour séduire les filles. Et à force de les observer, je me suis surpris à les aimer ; je cherchais en eux la beauté que je ne trouvais pas en moi. Car je dois l'avouer, la beauté, c’est mon premier critère, c'est dingue, j'ai honte ! » Laurent Ruquier
Par Daniel C. Hall
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Jeudi 29 septembre
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Fiche technique :
Avec Takeshi Kitano, Shinji Takeda, Tadanobu Asano, Koji Matoba, Ryuhei Matsuda et Tommy’s Masa. Réalisé par Nagisa Oshima.
Durée : 100 mn. Disponible en VO et VOST.
Résumé :
Kyoto, printemps 1865. Au temple Nishi-Honganji, la milice du Shinsengumi sélectionne de nouvelles recrues en présence du commandant Isami Kondo et du capitaine Toshizo Hijikata. Les candidats doivent affronter le meilleur guerrier de la milice, Soji Okita. Ce jour-là, deux hommes se détachent du lot et intègrent la milice: Hyozo Tashiro, samouraï de rang inférieur originaire du clan Kurume, et Sozaburo Kano, jeune homme dont la beauté envoûtante attire tous les regards. Tashiro s'éprend immédiatement de Kano.
L'avis de Steph (Cinéasie) :
Tabou est un film étonnant qui traite de l'homosexualité sur fond de samouraï. C'est dans une école de samouraïs que l'on retrouve en Kimono le grand Takeshi Kitano dans un second rôle exemplaire. En maître d'oeuvre et en guerrier accompli, l'homme remarque le conflit dans le regard de certains élèves. Un nouvel arrivant dans l'école, Nishi-Honganji doué dans l'art du sabre, va se faire remarquer d'une part pour ses qualités de samouraï et d'autre part pour son physique attirant. À partir de là, Sozaburo Kano, personnage innocent cherchant aussi sa tendance sera la proie d'autres personnages expérimentés et jaloux. Toute l'histoire va alors se dérouler autour des comportements de certains samouraïs qui vont tomber successivement amoureux de ce jeune homme. L'auteur a voulu montrer une des facettes de la vie de ces guerriers d'autrefois.
Une des très grandes qualités de ce film est la retranscription, le réalisme et le rendu de l'atmosphère et de l'ambiance de l'époque. Pour ceux qui connaissent KENGO, l'esprit ZEN et guerrier des samouraïs, est bien présent. Précisons que même si ce film traite de l'homosexualité, il n'en reste pas moins un film sur la vie des samouraïs. On pourra apprécier plusieurs séquences où les combats incisifs montrent bien la violence et la maîtrise de ces guerriers.
De ce côté-là, il n'y a rien à dire. Les chorégraphies sont vraiment très réalistes.
Pendant 1h40, nous sommes plongés dans les jours et les nuits des ces guerriers japonais.
Ce film, nous vous le conseillons pour son réalisme et son histoire atypique. Il fallait en effet oser traiter le sujet de l'homosexualité au sein d'une école de samouraïs, la représentation même de la virilité des guerriers.
Pour plus d’informations :
Par Steph (Cinéasie)
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Jeudi 29 septembre
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Par Daniel C. Hall
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Jeudi 29 septembre
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Notre grand jeu : Trouvez une légende à cette étrange affiche...
Copyright D.R.
Par Daniel C. Hall
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« Personne au monde n'a le droit de dire à qui que ce soit que son amour pour un autre être humain est moralement prohibé. » Barbara Streisand
Par Daniel C. Hall
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« Je sais que je suis gay depuis l'âge de deux ans. Mais j'ai eu l'impression que mes camarades de classe s'en doutaient, peut-être même qu'ils en étaient convaincus avant que je ne le sois moi-même. Il y a des rappeurs homos, mais ils ne le disent pas. » Q boy, rappeur anglais.
Par Daniel C. Hall
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« Je ne me suis jamais caché, sans dire pour autant : Bonjour, je m’appelle Jean-Paul Gaultier, je suis homosexuel. Personne ne se présente en disant : Bonjour, je m’appelle Arnaud, j’adore le cunnilingus. Ce genre de chose ne me correspond pas. » Jean-Paul Gaultier
Par Daniel C. Hall
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Mercredi 28 septembre
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Par Daniel C. Hall
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Par Daniel C. Hall
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Notre grand jeu : Trouvez une légende à ce badge (rose)...
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Par Daniel C. Hall
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« Mon père l'a dit en de nombreuses occasions. L'injustice où qu'elle soit est une menace pour la justice de tout le monde. Si nous excluons un groupe de personnes, ça affecte tout le monde. C'est aussi simple que ça. Le mouvement civique en quoi je crois lutte pour la globalité et l'unité... et c'est pour ça, absolument, que le mouvement des droits des homosexuels cadre très bien dans la conception et la réflexion que le "Rêve" est. » Yolanda King, fille de Martin Luther King.
Par Daniel C. Hall
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« Nous sommes prêts à grandir le cercle de la dignité humaine encore une fois, pour dire qu'il ne sera plus permis de discriminer quelqu'un à cause de la personne qu'il aime ou à cause de son orientation sexuelle. » Al Gore
Par Daniel C. Hall
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« Tu peux avoir des expériences surtout quand tu es jeune, te poser la question. Tu peux tenter l'expérience sans être bi. Moi je suis vraiment bi. Dans la rue, je peux aussi bien me retourner sur un mec que sur une fille. Ce qui est chiant, c'est que les homos sont moins réceptifs aux mecs bi : soit t'es pédé, soit t'es hétéro. » Titof, acteur porno.
Par Daniel C. Hall
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L’auteur :David Leavitt est né en 1961 à Pittsburgh et a grandi à Palo Alto, en Californie. Après avoir suivi les cours de Composition Créative à l’Université de Yale, il publie à l’âge de vingt ans sa première nouvelle dans le New Yorker. Tout jeune encore, il publie également le recueil de nouvelles qui lui a valu sa célébrité : Quelques pas de danse en famille, devenu désormais un classique de la nouvelle littérature américaine. Les attentes créées par ses débuts n’ont pas été déçues par la suite : doté d’une écriture raffinée et précise dans la description de l’originalité et de la normalité, il est considéré comme l’un des représentants les plus importants du minimalisme des années 1980. En 1987, il publie Le langage perdu des grues, son premier roman, suivi d’une dizaine d’autres livres. Ses premières oeuvres présentent déjà les thèmes que l’on retrouvera dans les livres suivants : la dissolution de la famille traditionnelle, le cancer comme métaphore d’un monde en déliquescence, l’homosexualité et l’univers gay des jeunes progressistes américains. En polémique avec le monde littéraire américain, que Leavitt accuse d’être superficiel et opportuniste, l’écrivain a décidé de quitter les États-Unis et a vécu pendant quelques années en Italie, dans un petit village des côtes toscanes. Il vit actuellement à Gainesville et tient des cours de Littérature Créative à l’université de Floride.L'avis de Jean Yves :Étonnant, remarquable roman que Le langage perdu des grues de David Leavitt, en tout point accompli. David Leavitt choisit délibérément des personnages homosexuels et situe son intrigue dans la société américaine d'aujourd'hui. Ses personnages vivent un quotidien ordinaire et ne posent pas leur homosexualité comme une tragédie ou une marginalité qui par son intensité de blocage ferait question importante : comment vivre aujourd'hui son homosexualité dans le contexte social, comment la vivre pour être heureux ou du moins en accord avec soi-même, sachant qu'hétéro ou homo, les problèmes de travail, de vieillissement, l'amitié, la passion, les aventures et le refuge positif d'une affection respectueuse de chacun mesurent une existence commune à chaque individu quel qu'il soit. Modestie qui permet à David Leavitt d'entourer Philip, son héros homosexuel, de sa mère Rose, de son père Owen (qui à plus de cinquante ans ose reconnaître son homosexualité, s'en ouvre à son fils, à sa femme, comme Philip a su « communiquer » avec ses parents), de Jerene, une lesbienne, d'Eliot l'amant du bonheur exalté mais aussi de Brad qu'il découvre lentement. Je dis mon enthousiasme pour ce roman parfaitement construit, où le face-à-face des parents de Philip, dans son intense désespoir (comment vivre avec une femme qu'on aime et qu'on respecte quand on rêve des bras d'un homme ?) est le contrepoint de l'initiation homosexuelle du fils. Les valeurs établies depuis si longtemps vacillent face à ses doutes, ces désirs, ces bonheurs ou ces misères et ici l'histoire de Philip (qui n'occupe pas toute la place) sert de révélateur à une société en mutation. Le lecteur est pris dans l'abondance romanesque du récit et en même temps est attiré de l'intérieur vers chaque personnage. Reste cet appel éternel de l'homme, sa quête d'amour, comme cet enfant privé de sa mère qui s'attache à la grue qui monte et descend, la grue qu'il fixe de ses yeux d'enfant abandonné, debout dans le berceau où il est oublié. Un superbe roman que je conseille sans restrictions. Pour plus d'informations :Publié aux éditions Denoël (2004)
Voir l'avis de Matoo
Par Jean Yves
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Mardi 27 septembre
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Par Daniel C. Hall
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Notre grand jeu : Trouvez une légende à ce petit film...
Coquecigrue/Lord FiddleBubble/Copyright D.R.
Par Daniel C. Hall
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C'est une première. Le scénario d'un film à gros budget évoquant l'homosexualité d'une manière positive a passé le comité de censure égyptien. Le film, intitulé The Yacoubian Building, raconte la vie des habitants d'une résidence du Caire. L'un des résidents est homo et entretient une relation avec un policier marié. « Cela pourrait nous valoir quand même des ennuis, tempère Marwan Hamid, le réalisateur. Nous présentons Hatim [le personnage gay] comme quelqu'un de normal. Les attaques seront sans doute violentes lorsque le film sortira. » La sortie du film est prévue pour début 2006. L'homosexualité reste un délit en Égypte. (Xavier Héraud/Têtu)
Par Daniel C. Hall
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« Etre icône gay comme Chantal Goya ou Casimir, ce n'est pas être icône mais conne. » Marianne James
Par Daniel C. Hall
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