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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

L’auteur :
Né à Dublin en 1965, Colum McCann est l'auteur de plusieurs romans – dont Le Chant du coyote, Les Saisons de la nuit – et de deux recueils de nouvelles, La Rivière de l'exil et Ailleurs, en ce pays. Avec Danseur il a acquis une véritable reconnaissance internationale.
Colum McCann vit aujourd'hui à New York.

L'avis de Matoo :
Dans ce Train qui court à Grande Vitesse dans la campagne, je viens de refermer ce livre de Colum McCann et je n’en reviens pas. Comment ce bouquin n’a-t-il pas gagné de prix ? Pourquoi ai-je du attendre sa sortie en poche pour le connaître ? Dire que je l’ai acheté complètement au hasard ! Rhalalalala ! Et à présent que me reviennent en écho les dernières impressions, ces dernières pages enfin tournées, je me dis : « Quel putain de bon roman ! ».
Ce roman si prenant raconte l’histoire du danseur Rudolf Noureïev. Plutôt que de produire une biographie de plus avec son lot de lacunes, interprétations, longueurs et polémiques, Colum McCann a plutôt décidé d’écrire un roman, et il a bien fait. Il a ainsi bâti sur la passion qu’il avait de ce danseur d’exception un livre qui n’est pas forcément une peinture exacte de la réalité mais un mélange de fiction et de faits avérés. Il a pu ainsi véritablement mettre en scène Rudolf Noureïev comme il l’entendait ou l’imaginait. Sa famille, son éducation, ses amis, ses conquêtes et ses folies passent ainsi par la plume de ce brillant auteur qui nous fait vivre avec fougue l’existence d’un être aussi passionné qu’il est possible d’être.
Et à la base, la biographie de ce danseur est une trame idéale de roman. Un jeune prodige russe aux origines modestes qui enflamme le Kirov, puis s’enfuit à l’ouest lors d’une tournée. Un danseur qui vit ensuite une existence de star et de diva des opéras du monde entier. Il fréquente Warhol, Jagger et la clique new-yorkaise underground dans les années 60. Il rencontre les chefs de gouvernements de tous les pays du monde, il fraye avec la jet-set de New York, Paris et Londres, il copine avec des acteurs et des artistes renommés. Il gagne surtout un pognon fou qu’il claque en appartements, fringues, œuvres d’art et autres extravagances. Il fait étalage de son caractère impossible, de ses caprices insupportables, de son obsession sexuelle et de son homosexualité en multipliant les amants, les virées en ba
ckrooms et les interdits de tout genre. Il meurt du sida dans les années 90, mais toujours aussi flamboyant et mythique.
Comme Colum McCann écrit un roman, il raconte ce qu’il veut, commence et finit comme il le désire, et cela donne un roman d’une force stupéfiante. En effet, on sait que la base est réelle et on est donc encore plus emporté par les éléments romanesques (véritables, inventés, fusionnés, altérés mais on s’en balance) qui viennent étayer les faits. Ainsi le roman débute par une description extraordinaire des conditions de vie des soldats russes pendant la Seconde guerre mondiale, et celle de son père qui est un de ses vétérans. Il ne se termine pas par la mort du danseur…
Ce commencement est terrible. On vit avec un réalisme troublant les sensations de ces soldats qui sont amenés à une déchéance sans nom. Il pose ainsi le décor de l’enfance de Rudik qui dansait à 6 ans dans les hôpitaux pour les soldats qui rentraient du front. Il passe alors de la danse folklorique à la danse classique en rencontrant une ancienne danseuse étoile et son mari qui le prennent alors sous son aile. Ils remarquent déjà le talent, la passion et aussi les travers de ce tout jeune homme (son caractère monstrueux et aussi ses tendances inverties). Ce jeune homme qui se fait frapper tous les jours par son père qui veut en faire un homme, et qui n’accepte pas la passion de son entêté de fils. Ainsi toute la vie du danseur est marquée par cette attitude double de ses proches. Ils l’admirent et le détestent en même temps.
Toute cette partie du roman, celle de l’initiation en quelque sorte, fait penser au film Billy Elliot. On y retrouve la même innocente passion du gamin, ses difficultés avec sa famille et cet orgueil du danseur étoile qu’on voit déjà poindre. Chaque réussite de Rudik, chaque étape de cette lente évolution et maturation de danseur donnent lieu à de superbes passages.
D’ailleurs ce qui ressort principalement de l’écriture du bouquin est la passion communicative avec laquelle l’auteur raconte son histoire. Le style et la violence des descriptions, la manière dont il virevolte avec ses phrases sont autant de facteurs qui contribuent à nous faire connaître mais aussi vivre et sentir les différents moments de la vie de Noureïev. Le tout avec une acuité que je ne soupçonnais même pas avant de l’expérimenter par moi-même.
L’auteur alterne pendant tout le roman entre une dizaine de narrateurs. Ils se succèdent sans repères précis (russe, français, américain…), parfois reviennent à plusieurs années d’écart, et ils sont simplement séparés d’un saut de ligne supplémentaire. Mais en quelques phrases et indications, on sait que c’est un autre protagoniste qui s’exprime. En effet, le style se modifie immédiatement et l’auteur instille subtilement les nouvelles relations entre les personnages, et nous fait comprendre qui est celui qui « parle ». Le procédé est terriblement efficace et, curieusement, je n’ai jamais perdu le fil.
J’ai adoré ce roman. Tout m’a plu. La vie de Noureïev que je ne connaissais que par bribes, et surtout racontée de cette manière m’a fasciné. Je me fous de savoir que tout n’est peut-être pas vrai, ce n’est vraiment pas très important. Et plus globalement, le talent de l’auteur m’a conquis, j’avais rarement lu un roman dont le style et la forme portaient et servaient autant le fond. Le roman est certes hagiographique, et je suppose qu’il a fallu que l’auteur ait une certaine passion pour Noureïev pour l’écrire, mais il n’est pas lèche-botte (ou encomiastique) ni complaisant. Il s’arrête exactement où il faut pour que la légende reste intacte, et que le danseur, même malade, en fin de course et blessé, s’arrête immortalisé dans un saut, au firmament.

Pour plus d'informations :
Publié chez Belfond (2003) puis aux éditions 10/18 (2004)

Par Matoo
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00
Nous sommes désolés pour le rendez-vous manqué, raté, foiré, catastrophique de ce soir. Tout a buggé. Bien avant 20 heures. Trop de contacts... et MSN n'assure pas. Nous avons été obligés de tout stopper voire même d'effacer des post. Nous allons réfléchir à une autre idée. Nous sommes profondément désolés de n'avoir même pas pu envoyer un message d'excuses (préparé à la hâte) à tous ceux qui nous ont demandé une connection. Désolés, nous sommes désolés... Merci de ne pas nous en vouloir. Bises à tous.

Par Daniel et Soussi - Publié dans : LES NEWS ROSES
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« Ah ! L’homo, même non-vulgaris, est vraiment une espèce fragile, qui ne sait pas résister aux intempéries. » Benoîte Groult (Le Féminin pluriel)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« Les homosexuels peuvent être aussi mauvais que les hommes dits normaux. Certains homosexuels haïssent plus les femmes que les autres. » Marilyn French (Toilettes pour Dames)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« Ici, Becky pouvait comprendre pourquoi des femmes tombaient amoureuses entre elles : la plupart des prisonnières avaient un homme à la base de leurs ennuis avec la justice. » Marge Piercy (The Longings of Women)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« De tous temps on a regardé avec plus d’indulgence une femme "masculinisée" qu’un homme "efféminé". » Poulain de la Barre, cité par Maïté Albistur et Daniel Armogathe (Histoire du Féminisme Français)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« Je n'ai rien à dire sur l'homosexualité. Je n'en pense rien. Je m'en fous. Entre nous, je n'ai jamais eu pour ambition ultime de devenir une figure de proue de la cause lesbienne. » Jean Yanne (J'me marre)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« En l’absence de partenaires femelles appropriées, on observe souvent que les mâles paradent devant d’autres mâles de leur propre espèce ou d’une espèce parente, ou devant des objets encore moins appropriés. » Darwin, cité par Evelyne Sullerot

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

Barbey d’Aurevilly à F. Coppée : « Dites donc, on raconte partout que je suis pédéraste ! Pédéraste ! Tout m’y porte, ma nature, mes goûts, le plaisir de la chose, et ma religion ne me l’interdit pas !.. » Pour conclure au bout d’une minute : « Mais la laideur de mes contemporains m’a depuis longtemps dégoûté de ce plaisir ! »

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« Je trouve ça très bien, moi, le mariage de Pierre Palmade et de Véronique Samson. Ça ne fera que deux malheureux, alors que ça aurait pu en faire quatre. » Jean Yanne (J'me marre)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« J’aimerais bien faire l’amour à certains homos. Ils ont l’air plus doux. » Nancy Friday (Women on Top)

« Si un homme n’arrive pas à chaque fois à être en érection au bon moment, il s’imagine tout de suite qu’il devient impuissant, faible, ou pire, qu’il devient homosexuel. » Nancy Friday (Women on Top)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« Avoir un fils pédé, c’est ce qui peut arriver de pire à un homme... Mais attention ! J’ai rien contre les pédés... » Jean-Marie Gourio (Brèves de Comptoir)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« L'avantage de la masturbation, c'est qu'en principe ça évite les préliminaires. » Jean Yanne (J'me marre)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« Il n'y avait pas d'anormaux quand l'homosexualité était la norme. » Marcel Proust (À la recherche du temps perdu)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00
« De ceux qui se disent homosexuels ou lesbiennes, il y en a 5 à 10 % qui le sont. Les autres ne sont que des pervers sexuels. »  Gustav Joos, chanoine, promu cardinal par le pape Benoît XVI.
Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

Guy Carlier qui sévit sur France Inter, « s'est payé » Le Pen en ironisant sur une homosexualité refoulée qui expliquerait le comportement haineux du leader du FN. Guy Carlier revient sur les huées qu'a essuyées Le Pen dans les allées du Salon de l'Agriculture. « Comme à chaque fois, le vernis a commencé à craquer, on a commencé à voir vos maxillaires se durcir et votre bouche dessiner ce rictus de haine violente que nous connaissons depuis ces images terribles où vous éructiez au visage d'un officier de police » , a dit Guy Carlier. «  Soudain, j'ai eu l'illumination. Mais c'est bien sûr, cette tenue jaune vif, c'est celle de Zaza Napoli dans La Cage aux folles ! Ce prénom ambigu, Jean-Marie, homme devant, femme derrière, cet éclat de rire stupide en permanence, pour faire semblant d'être gai, c'est ça ! Vous êtes gay, Jean-Marie ! Et vous ne voulez pas vous l'avouer ! (…) Et là, tout devient évident. On vous imagine, chaque nuit, vêtu d'un simple porte-jarretelles, chanter "Je, je suis libertine, je suis une..." Mais ce n'est pas grave, Jean-Marie, il n'y a plus que madame Boutin pour fustiger l'homosexualité. Alors faites votre coming-out, reconnaissez enfin que le sigle FN signifie Folle nationale, que Yannick Noah et Harlem Désir troublent votre sommeil, et vous découvrirez enfin l'harmonie et la sérénité (…) Dans votre visite agricole hier, une seule femme vous accompagnait, madame Le Hideux. Un homme suivi en permanence par une femme qui s'appelle Le Hideux ne peut être qu'un gay refoulé. Alors, cher Jean-Marie, je suis sûr que vous allez être soulagé par cette révélation. Et surtout, maintenant que la France entière connaît votre homosexualité, on va pouvoir apprendre à vous aimer. Vous allez voir, c'est merveilleux d'être aimé ! »

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« Les hommes savent-ils se reproduirent entre eux ? Non, mais les expériences se poursuivent. » Coluche

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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00

« Le pape ? Ah, oui, ce monsieur très propre qui préfère des enfants sidéens ? » Anonyme

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Dimanche 25 septembre 7 25 /09 /Sep 00:00

« C’est simplement logique ! Vous êtes en train, pour lutter contre la discrimination, de défendre une séparation entre les sexes ! C’est complètement absurde ! L’idée même d’homophobie tend à accréditer l’idée que le comportement homosexuel a la même valeur que d’autres comportements, alors qu’il est évidemment une menace pour la survie de l’humanité (Interruptions sur les bancs du groupe socialiste). Vous devriez écouter la vérité dans un silence respectueux. Ce texte de loi est donc un contresens, illustré par le terme même d’homophobie : “détester le même”. Qu’est-ce que cela veut dire ? Voulez-vous créer un troisième genre, qui aurait une égalité d’existence et de droits avec les deux autres, qui contribuent eux à la perpétuité de l’humanité ? » Christian Vanneste, député UMP du Nord.

Sur TF1.fr, le même se déchaîne :

« On n’arrête pas de mettre au même niveau le comportement homosexuel et hétérosexuel, comme si l’homosexualité était une sorte de troisième sexe. C’est à l’évidence faux : si on universalisait le comportement homosexuel, l’Humanité serait condamnée à mort. »

« L’homosexualité ne peut être qu’un comportement toléré, marginal et qui ne peut en aucun cas être promu ou protégé au-delà de la protection normale auquel a droit tout citoyen. »

« L’homosexuel est quelqu’un qui se replie sur son sexe et refuse l’échange avec l’autre sexe. D’une certaine manière, il a une peur, voire une détestation, de l’autre. C’est un refus de l’altérité. Une sorte de racisme, en somme. Or, dans le projet de loi, au nom de l’anti-racisme, on protège une sorte de racisme, ça n’a aucun sens. »

« Écoutez, je suis philosophe de formation, c’est une question que je connais par cœur. L’homosexualité est un comportement culturel, acquis, de l’ordre du réflexe, sans doute acquis dans un âge précoce, mais comme tous les comportements réflexes plutôt négatifs, on peut parfaitement l’innhiber ou le rééduquer. Très rarement cela peut s’expliquer par la génétique ou la programmation naturelle. À partir de là, si on l’encourage, cela risque d’être très nocif pour la société.
Ce qui m’agace, c’est le militantisme. Si les homosexuels ont envie d’exister, qu’ils s’aident eux-mêmes. Les pouvoirs publics, l’argent public ou la loi n’ont rien à voir avec eux. C’est un comportement privé qui ne présente aucun intérêt pour la collectivité. Cela dit, bien évidemment, ils ont le droit à la même défense que n’importe quel autre citoyen. »

« Je ne critique pas un groupe, une race, une religion, je critique un comportement. Un terrorisme politique et culturel est en train de s’installer insidieusement pour nous empêcher d’exprimer des opinions – qui sont en plus partagées par la majorité silencieuse. C’est choquant. »


Par Soussi - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Dimanche 25 septembre 7 25 /09 /Sep 00:00

« À chaque fois qu’un homme devient un homosexuel, cela fait un minimum de deux mâles perdus pour les femmes. » Philippe Bouvard (Un Oursin dans le caviar)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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