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Blog LGBT du rédac' chef :
Daniel Conrad

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Daniel Hall


secondé par :

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L'équipe des "piliers" en exclusivité
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Matoo, Mérovingien02, Juju, Chori,
Shangols, Boris Bastide, Stéphane Riethauser,
 
Niklas,
Robert Wagner,
 Jag1366, Hari3669, Maykel Stone,
Marc-Jean Filaire,
Isabelle B. Price, Psykokwak,
Rémi Lange
, Henry Victoire, Didier Roth-Bettoni
et
BBJane Hudson...

Mais aussi, depuis, Cyril Legann,
Gérard Coudougnan (Livres), Voisin Blogueur,
Nicolas Maille, Sullivan Le Postec, Vincy Thomas,
Jann Halexander, Tom Peeping
, Lucian Durden,
Papy Potter, Nico Bally, Marie Fritsch,
Sir Francisco, Laurent Fialaix
et Hugo Rozenberg.

Special Guest Star : Philippe Arino.

Un grand merci à Francis Moury,
Olivier Nicklaus et à
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Et en special guest star gay-friendly... Dr Orlof !


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Mardi 18 octobre 2 18 /10 /Oct 00:00

Fiche technique :
Avec Julie Andrews, Robert Preston, James Garner, Lesley Ann Warren, Alex Karras et John Rhys-Davies. Réalisé par Blake Edwards. Directeur de la photographie : Di
ck Bush. Compositeur : Henry Mancini et Leslie Bricusse.
Durée : 135 mn. Disponible en VO, VOST et VF.

Résumé :
Victoria, à la superbe voix d'opéra, ne trouve pas d'emploi. Jusqu'au jour où elle se transforme en Victor, comte polonais.
L'avis de Jean Yves :
Paris, 1934 : Bien qu'elle soit dotée d'une superbe voix, Victoria court les cabarets pour se faire embaucher. Tenaillée par la faim, elle entre dans un restaurant et commande un repas gargantuesque. Toddy, un artiste homosexuel au chômage, qui l'a déjà entendue chanter se joint à elle.
Une fois repue, Victoria tente d'échapper à l'addition en affirmant avoir trouvé un cafard dans sa salade. Toddy et Victoria profitent de la panique semée par la bestiole dans l'établissement pour s'éclipser. Toddy a une idée : puisque personne ne s'intéresse à Victoria et à sa belle voix d'opéra, elle n'a qu'à devenir Victor, comte polonais renié par sa famille pour avoir voulu devenir artiste et être homosexuel. Grâce à Toddy, la métamorphose et la supercherie marchent parfaitement…
C'est l'hiver. Il neige. Un jeune homme un peu fragile quitte le grand lit où un homme plus âgé se prélasse encore. C'est Toddy (Robert Preston dans un rôle de composition réussi), chanteur dans une boîte gay, caricature fripée car plus vraiment jeune mais impeccablement pomponnée, au masque pathétique et digne de vieille femme qui ne fait pas son âge.

Victor-Victoria est entièrement construit comme un spectacle, autour de l'enchaînement de situations créé par le double jeu de Julie Andrews.
L'inventaire des clichés que traîne l'homosexualité a fourni à Blake Edwards ses flèches empoisonnées contre les censeurs : « La honte est un sentiment sans joie inventé par les bigots » et surtout la perfide remarque du garde du corps à son patron "mafioso macho hétéro troublé" « Vous savez, patron, ce type, c'est le champion de France des poids moyens... mais vous n'avez rien à craindre, c'est une tapette ! ».
Cette comédie parvient à ridiculiser l'un des derniers remparts de l'ordre hétérosexuel : non seulement l'image du pédé incapable d'assurer une fonction sociale virile est remise en question, mais que ce pédé soit en outre une femme travestie ajoute à la confusion, brouillant délicieusement un jeu de cartes que la femme et le pédé n'ont jamais été invités à distribuer.
Pourtant je crains que le côté spectacle (auquel j'ai eu du mal à adhérer) de Victor-Victoria n'empêche d'en lire la satire.

Pour plus d’informations :

Par Jean Yves - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Mardi 18 octobre 2 18 /10 /Oct 00:00
Par Kriss Madroc - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Mardi 18 octobre 2 18 /10 /Oct 00:00
    
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Mardi 18 octobre 2 18 /10 /Oct 00:00

«  Cela m'a beaucoup perturbé. Devais-je le cacher ou le dire ? Non pas le clamer mais ne pas l'occulter. Pour moi, occulter aurait signifié avoir honte. Et je n'avais aucune honte à être ce que j'étais. J'ai su alors que le monde serait divisé en deux : ceux qui ne l'accepteraient pas et avec qui je n'aurais plus rien à faire et ceux qui accepteraient ma sensibilité. (…) Je l'ai annoncé à ma mère alors que je conduisais une décapotable sur une route à lacets, en Corse. Elle m'a regardé et m'a dit : "Ma pauvre fille. Tu as un gène en plus ou en trop. Il faut te faire une psychanalyse." J'avais deux solutions : nous jeter toutes les deux dans le ravin ou comprendre qu'à partir de ce moment-là, je n'aurai plus rien à lui dire. » Josée Dayan, réalisatrice.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Vendredi 14 octobre 5 14 /10 /Oct 00:00

Fiche technique :
Avec Victor Lanoux, Anny Duperey, Valérie Mairesse, Xavier Deluc, Michel Galabru, Roland Blanche et Jacques Noblot. Réalisé par Yanni
ck Bellon. Scénario de Rémy Waterhouse et Yannick Bellon. Directeur de la photographie : Dominique Le Rigoleur et Houshang Baherlou.
Durée : 100 mn. Disponible en VF.

Résumé :
À la suite d'un crime, les hasards de l'enquête amènent le commissaire principal Michel Varta à faire la connaissance d'un jeune musicien, Bernard. L'attrait qu'ils éprouvent l'un pour l'autre et la liaison qui s'ensuit, seront compromis le jour où Bernard sera directement impliqué dans un meurtre.
L'avis de Jean Yves :
Le commissaire principal Michel Verta (Victor Lanoux) est un notable respecté, autant en raison de l'image conventionnelle et calme donnée par sa vie de famille qu'en raison de sa compétence professionnelle. C'est un chef obéi de ses subalternes et un fonctionnaire bien noté par ses supérieurs. Verta, on le sait dès la première scène du film, a pu cependant préserver un jardin secret : derrière la façade du bon époux et père de famille, derrière l'hétérosexuel bien calé dans son fauteuil d'honorabilité, il y a l'homme qui vit, comme il le peut, sa véritable nature, refoulée par les exigences de l'ordre social. Pour tout dire, ce cher commissaire ne peut résister de temps à autre à la tentation de s'envoyer en l'air avec un garçon.
À la suite du meurtre d'un vieux pédé trafiquant de drogue (Michel Galabru), le commissaire principal Verta mène une enquête au cours de laquelle Bernard (Xavier Deluc), jeune sportif et musicien dont le témoignage est peut-être important, lui tape dans l'œil et le séduit.
Cette soudaine passion de Verta, qui se contentait jusqu'ici de simples aventures charnelles, va effectivement bouleverser le cours des événements... Mais au bout du compte, la morale bourgeoise, qui n'est fondée que sur l'apparence, sera sauve. Le commissaire restera un notable respecté, et c'est bien entendu le jeune homme qui fera les frais de l'histoire.
Yanni
ck Bellon a réussi dans l'ensemble un film très juste et très sensible. J'ai pourtant eu « peur » au cours du premier quart d'heure : Michel Galabru y véhicule des relents de Cage aux folles, un travesti fait un play-back sur une chanson de Dalida… Mais en nous montrant ces clichés caricaturaux (donc rassurants), Yannick Bellon donne plus de force à ses deux personnages principaux, dont l'un exerce un « métier d'homme » et l'autre pratique un sport « viril » (soit dit en passant, Xavier Deluc est ici un excellent comédien mais manque un peu d'étoffe pour jouer les rugbymen) : jamais ils ne sont ridicules, jamais ils n'entrent dans le schéma réducteur qui permet à la majorité des bien-pensants de se sentir en sécurité dans leur « normalité ».
La cinéaste a également bien évoqué la façon dont la société, avec la meilleure conscience du monde, renvoie au fond du même panier toutes les marginalités : pédés, petits truands, proxénètes et dealers.
J'ai beaucoup aimé le jeu de Victor Lanoux qui fait une étonnante composition, et la scène de séduction réciproque avec Xavier Deluc, où les jeux de regards sont filmés avec une subtile intelligence, est un grand moment d'émotion.

Pour plus d’informations :

Par Jean Yves - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Vendredi 14 octobre 5 14 /10 /Oct 00:00
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Vendredi 14 octobre 5 14 /10 /Oct 00:00

« Je suis homosexuel. (…) Je n'ai pas fait de coming-out mais mon orientation sexuelle est connue au sein de ma famille et de mon Parti. Je n'ai pas fait l'objet de rejet ou de remarques désobligeantes. (…) L'orientation sexuelle reste du domaine de la vie privée et porter cette information dans le domaine public relève de la démarche personnelle et d'une réflexion intime. Aussi, je dénonce et condamne les outing forcés. Toutefois, il apparaît important que les élus homosexuels – ou pas – n'oublient pas les discriminations qui persistent dans la société et dont sont parfois victimes les homosexuels. Tel est le sens de ma démarche. L'élection de Bertrand Delanoë à Paris montre que les mentalités évoluent. Mais beaucoup de travail reste encore à faire. » Eddie Ait, Conseiller régional de l’Ile-de-France, Parti Radical de Gauche.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Jeudi 13 octobre 4 13 /10 /Oct 00:00
Notre grand jeu : Trouvez une légende à ce message subliminal...




Copyright D.R.
Par Daniel C. Hall - Publié dans : LES NEWS ROSES
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
    

Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00

Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Notre grand jeu : Trouvez une légende à ce T-shirt (qui n'est pas virtuel)...


Traduction : "Je suis un gros pédé et je vote"

Copyright D.R.
Par Daniel C. Hall - Publié dans : LES NEWS ROSES
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00

« L'oppression basée sur l'orientation ou sur son identité sexuelle peut-être caractérisée par plusieurs noms, qui impliquent un nombre déterminé de subdivisions et définitions.
Je nomme "hétérosexisme" tout un système d'avantages attribués aux hétérosexuels. "Hétérosexisme", qui a pour racine "sexisme", est l'institution d'une norme ou dominance hétérosexuelle, qui établit et perpétue la notion que toutes les personnes sont ou doivent être hétérosexuelles et privilégiées. Les hétérosexuels et l'hétérosexualité, dans cette acception, excluent les nécessités, les préoccupations, les cultures et l'expérience de la vie des gays, lesbiennes, bisexuels et transgenres (GLBT). Quelques fois de façon subtile, "hétérosexisme" est une oppression faite à travers la négligence, l’omission, la suppression et la distorsion.
"Homophobie", une composante plus active et quelques fois plus visible, est une pression intentionnelle et préméditée. Dérivé des termes grecs "homos" qui signifie "le même" et "phobikos" qui signifie "avoir peur de", le mot "homophobie" a été utilisé pour la première fois de façon officielle par George Weinberg en 1972 dans son livre La Société et l'homosexuel sain. Les autres termes inclus ont été : "homo-sexophobie", "homonégativisme", "haine pour des gays et lesbiennes", entre autres. Je le définis comme la peur et la haine contre ceux qui aiment et désirent sexuellement les membres du même sexe. L'homophobie inclue préjugé, discrimination, abus verbal et actes de violence occasionnés par cette peur et haine. (Note: quelques personnes préfèrent ne pas utiliser le mot "homophobie", mais 'hétérosexisme" comme un terme plus inclusif, agrandissant sa définition d'origine de façon à inclure "homophobie").

Un concept lié est "biphobie" qui est l'oppression contre les personnes qui aiment et désirent sexuellement tant les membres du sexe masculin, tant ceux du sexe féminin. Et "transphobie" est l'oppression subie par ceux qui défient les concepts de genres et son expression. » Professeur et Docteur Warren J. Blumenfeld.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00

L'homosexualité est « contre-nature. Ce qui est naturel, c'est la famille, et l'État doit la protéger ».
Désigné au poste de Premier ministre par le parti conservateur Droit et justice (PiS) vainqueur des dernières législatives, Kazimierz Marcinkiewicz, 46 ans, s'est confié à l'édition polonaise de Newsweek parue lundi.
Et il s'est livré à une longue diatribe contre les homosexuels. « Si les homosexuels ne respectent pas la liberté des autres, nous ne pouvons être d'accord », clame ce père de quatre enfants, catholique affiché. La Gay Pride « est une promotion » de l'homosexualité et « c'est inadmissible », poursuit-il.

« Si une personne tente de "contaminer" les autres avec son homosexualité, l'État doit intervenir contre une telle entrave à la liberté. »

[...] Interrogée hier à Bruxelles sur les propos de Marcinkiewciz, Françoise Le Bail, porte-parole de la Commission européenne, a déclaré prudemment : « L'Europe est fondée sur la non-discrimination. » [...] Libération (Extrait), Maja ZOLTOWSKA, mercredi 5 octobre 2005.

Par Jean Yves - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 00:00
    
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 00:00

Faites la connaissance de James. Il a 32 ans, célibataire et beau comme un cœur. Il est à la recherche de l'homme de sa vie. James doit choisir entre 15 âmes sœurs potentielles qui feront presque tout pour attirer son attention. Regardez chacun des épisodes alors que James élimine les prétendants jusqu'à son préféré. Mais ce que James ignore c'est que certains d'entre eux sont des hétéros qui prétendent être gays ! Si James choisit un gay, les deux gagneront alors des vacances de rêve toutes dépenses payées mais si James tombe amoureux de l'hétéro, celui-ci empoche 25 000 dollars et James s'en retourne seul à la maison ! Revivez cette provocante émission télé de réalité-gay !
Pour plus d’informations :
Voir le dvd

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Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 00:00
Notre grand jeu : Trouvez une légende à cette (fausse) pub...



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Par Daniel C. Hall - Publié dans : LES NEWS ROSES
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Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 00:00

« Pendant la première partie de ma carrière, tout le monde pensait que j'étais gay. Or j'ai vécu ma première relation avec un homme à 27 ans. Les chansons d'avant s'adressent à des filles. Celles d'après, à des hommes. » George Michael.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 00:00

« Il est puéril de s'imaginer que les individus qui pratiquent une sexualité perverse sont parfaitement normaux et normalement intégrables dans la société. »

« L'homosexualité n'est ni une simple fantaisie, ni seulement un vice répugnant, c'est une maladie mentale qui met en péril nos sociétés. » Jeune nation, octobre 1995, journal d’extrême-droite.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 10 octobre 1 10 /10 /Oct 00:00
On a appris, dimanche 9 octobre, la disparition de l'écrivain Guillaume Dustan, mort lundi 3 octobre d'une intoxication médicamenteuse involontaire à son domicile parisien. Le corps de l'écrivain, âgé de 40 ans, a été retrouvé jeudi par sa famille dans l'appartement qu'il occupait depuis un mois. La date et les causes de sa mort ont été révélées par une autopsie.
De son vrai nom William Baranès, Guillaume Dustan, né en 1965, était passé par l'ENA avant de devenir juge administratif. À son retour d'un poste à Tahiti, il avait écrit son premier roman, Dans ma chambre (POL, 1996), qui avait fait sensation puisqu'il parlait pour la première fois de relations sexuelles non protégées entre homosexuels, à Paris, à la fin des années 90. En 1999, il avait reçu le prix de Flore pour Nicolas Pages, paru chez Balland, maison d'édition où il avait créé une éphémère collection de littérature gay et lesbienne, « Le Rayon gay ». Il était l'auteur de six livres, dont le dernier, Dernier roman, a été publié en 2004 aux éditions Flammarion. (Source : Quotidien/Têtu)
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Samedi 8 octobre 6 08 /10 /Oct 00:00
    
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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