« Après avoir réclamé et obtenu le mariage et l'adoption, les minorités agissantes homosexuelles réclament l'abaissement de la majorité sexuelle, à quand les pédophiles prides ? » Site du Front National de la Jeunesse
« Pourquoi les gays veulent-ils à ce point être les égaux des hétéros ? Ce serait du nivellement par le bas ! » Anonyme
« Les homosexuels ont des problèmes médicaux de type génétique ou des problèmes de pulsions. Il faut donc mettre des parapets, des limites, ou alors on devient une société décadente avec des zoophiles et des pédophiles. (…) Ils [Les protestants] ont des pasteurs homosexuels, c'est pour ça qu'ils n'ont pas signé [une condamnation du mariage homosexuel co-signée par les responsables catholiques, juifs et musulmans de Lyon]. Ils ne voulaient pas créer des mouvements à l'intérieur de leur communauté. » Richard Wertenschlag, grand rabbin de Lyon (février 2007).
Extrait d’une interview de Macaire Ouédraogo, ancien banquier et homme politique du BurKina Faso pour lefaso.net
« S. : En Afrique du Sud, la situation des homosexuels a été légalisée. Peut-on mettre cela au compte de l’évolution ?
M.O. : Alors là, mes mots vont être durs. (rires !). J’ai appris douloureusement la légalisation de l’homosexualité dans ce pays. C’est la conséquence logique d’une longue colonisation qui a fait perdre à l’Afrique du Sud ses repères, ses valeurs Africaines. Il y a quelques années, on ne parlait jamais d’homosexualité en Afrique noire. Cette légalisation est même désapprouvée par les Noirs. Je peux dire que l’homosexualité rendue à grande échelle à ce niveau, est quelque chose d’inadmissible. Elle est même rentrée chez nous. Une journaliste (NDLR : notre consœur Ramata Soré de l’Evénement), a eu, je crois, un prix dans l’analyse de ce phénomène.
Je pense également à la force de la clandestinité. L’homosexualité entre comme un clandestin, j’allais dire comme le cancer qui ronge. Quand on s’aperçoit, c’est trop tard. Elle est en train de faire son chemin chez nous. Je me demande comme beaucoup d’autres, s’il n’y a pas lieu d’arrêter ce processus. Il faut que tous ceux qui croient encore en nos valeurs morales s’unissent pour qu’on arrive à réclamer au besoin une loi interdisant la légalisation de l’homosexualité au Burkina.
Il semble qu’il y a des homosexuels de naissance, il s’agit là d’un dérèglement physique et psychique, je le concède. C’est donc une maladie qui les déséquilibre, si on peut les soigner, il faut le faire. Autrement, je dis non. Voyez-vous, ça me fait penser à la Rome décadente (NDLR : Parlant de la Rome antique) avec cette orgie où les gens passaient le temps à manger quitte à aller vomir au vomitorium pour revenir se mettre de nouveau à table. L’homosexualité est au monde contemporain ce qu’a été l’orgie pour la Rome antique.
Par conséquent, je trouve qu’elle est regrettable. Elle est l’expression de la dépravation des mœurs. Or, nous savons qu’ici des lois répriment le vagabondage sexuel, la pédophilie. Il faudrait ranger l’homosexualité dans cette dynamique répressive.
S. : Pensez-vous qu’une loi seule suffirait pour enrayer l’homosexualité, vu l’expérience au Cameroun ?
M.O. : Je suis d’accord avec vous. C’est pourquoi, je dis que l’homosexualité est à l’image d’un cancer. Il faudrait envisager le phénomène sur le plan de la répression. Il faut arriver à déterminer si les homosexuels sont des malades, alors, il faut les soigner. Mais, s’ils ne sont pas malades, alors, je suis pour la répression. Par effet de mimétisme, on risque de faire comme d’autres pays au détriment de la perte de nos valeurs. »
« Les gays doivent rester des gays avec des droits réduits, sommes-nous les colonisés du peuple hétéro ? » Fouad Zeraoui, revue Baby Boy.
« L'homosexualité est une tare de la société blanche, qui ne s'applique pas aux Africains ! » Robert Mugabe, président du Zimbabwe.
« L'homosexualité n'est pas non africaine. La pratique homosexuelle a cours en Afrique depuis une éternité. Ce qui est réellement non africain, c'est l'homophobie, pas l'homosexualité. C'est malheureux que le débat sur les droits des homosexuels soit marqué par beaucoup d'ignorance, de préjugés, de haine sainte, de dogme et de fanatisme religieux. » Leo Igwe, secrétaire exécutif du Mouvement Humaniste Nigérian (NHM)
« Les gens sont libres d'avoir la vie sexuelle qu'ils souhaitent en privé, dès lors qu'elle préserve les enfants. »
« Les choix personnels de chacun ne doivent pas être affichés comme une bannière. »
« La liberté de vivre sa sexualité est assurée en France pour tous les citoyens majeurs. Je ne pense pas que l'on puisse dire que les homosexuels rencontrent des difficultés particulières à cet égard. »
Les homosexuels « refusent de faire des choix et d'en assumer les conséquences ».
Fabienne Keller, maire UMP de Strasbourg.
Nicolas Sarkozy reconnaît « la sincérité de l'amour homosexuel, les aspirations qui en découlent et la force du lien qui peut s'établir entre un couple homosexuel et l'enfant ou les enfants qu'il élève », mais il maintient le credo "Un père, une mère, un enfant" de son parti en rappelant la nécessité de « sauvegarder les équilibres sur lesquels repose en partie notre société, au premier rang desquels se trouvent la cellule hétérosexuelle reconnue et protégée par le mariage et la recherche de l'intérêt de l'enfant. » (Juin 2006)
« Si les chiens et les porcs savent avec qui s'accoupler, les êtres humains restent-ils des êtres humains s'ils font pire que les porcs ? » Robert Mugabe, président du Zimbabwe
« L'activisme homosexuel fait peser une menace mortelle sur notre civilisation » et fait partie d'une « atmosphère de désagrégation des disciplines sociales et humaines [...] Il faut sanctionner le prosélytisme homosexuel ». Il ajoute : « le plus grave péril qui menace la terre, c'est la dénatalité du monde occidental affrontée à la surnatalité du tiers-monde. De ce fait, j'estime que l'homosexualité nous conduit, si elle se développe, à la disparition du monde. »
« L'homosexualité n'est pas un délit, mais [...] elle constitue une anomalie biologique et sociale », déclare Jean-Marie Le Pen à L'Heure de vérité, le 13 février 1984.
« On devrait extirper ces gens de la société aussi vite que l'on peut et tous les interner, car c'est ici que gît la contagion de l'immoralité et la destruction de l'éthique. Les seules réponses semblent être la quarantaine permanente de ces gens, afin d'éviter la contagion de leur folie. » L. Ron Hubbard, père de la Scientologie
« J'ai toujours été proche des gens qui contestent, qui défendent leur cause. Naturellement, j'ai envie de côtoyer les minorités. Il y a du mérite à se battre. Parrainer le Paris Foot Gay m'est apparu comme une évidence. Cela n'a pas nécessité une grosse réflexion. »
« Le racisme, l'antisémitisme, l'homophobie, tout cela relève du même processus. Mais ce qui se passe autour de l'homosexualité est étrange. C'est presque une maladie. (…) Pour être footballeur, il faut être un vrai mec et, pour certains, quand on est homosexuel, on n'est pas un vrai mec, viril et fort. Je trouve que le Paris Foot Gay prouve qu'on peut être homosexuel et viril. »
« Est-ce que, pour un footballeur, cela vaut le coup de faire son coming-out pour se mettre à l'écart et perdre tout ce qu'il a ? Je ne sais pas, je ne suis pas dans cette situation. Il y a des milieux où il est difficile d'assumer ce qu'on est. (…) L'idéal serait qu'un joueur intouchable le fasse. Ce serait un signe très fort. Dans tous les milieux, ce sont les gens qui ont des positions fortes qui servent de guides, qui ouvrent des portes et entraînent tout le monde. »
Vikash Dhorasoo, parrain du Paris Foot Gay, février 2006.
« Étant donné les statistiques sur l'homosexualité, il serait étonnant qu'il n'y en ait pas un ou deux… par division. Comme il n'est pas étonnant que l'environnement et la culture du football ne leur donne pas vraiment de quoi s'épanouir. » Tony Cascarino, Times, 2006.
« Non, je vais même dire mieux, je n'ai jamais en 18 ans de carrière vu ou assisté ou personnellement vu un homosexuel dans un vestiaire ou sous la douche. (…) Dans les attitudes, je n'ai jamais vu quelqu'un qui ressemblait de près ou de loin avec des manières de quelqu'un du coté obscur de la force...» David Ginola, Canal+, 2005.
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