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MOTS : Citations philes et phobes

« Accepter que des couples puissent se constituer autrement que dans la relation conjugale d'un homme et d'une femme, c'est aller contre l'équilibre naturel établi par Dieu. Sous couvert de démocratie, notre société tend à légiférer selon l'évolution des mœurs. [...] Lorsque l'homme porte atteinte à la nature, il porte atteinte à Dieu et à lui-même. » Joseph Sitruk, Grand Rabbin de France, Le Figaro, 2/07/1996

« Est-ce que quiconque choisirait d’être homosexuel, je me le demande ? Je n’ai rien contre les homosexuels, c’est seulement de la compassion. Quel malheur de ne pas trouver attirant le corps des femmes, les courbes, leur con et toutes les autres différences fascinantes d’avec les hommes… Désirer en permanence des corps tout pareils au sien, ça paraît tellement… morne… Et puis, regardons les choses en face, le trou du cul d’un homme adulte n’a rien de beau… » David Lodge, Pensées secrètes, éditions Rivage

« Non, je ne suis pas gay. Je sais que des rumeurs circulent à ce sujet et leur existence ne me gêne pas. Tout ça, c'est du fantasme. Si certaines personnes veulent m'imaginer avec une femme, ou un homme, ou les deux à la fois, cela ne me pose pas de problème, tant qu'elles continuent à regarder la série. » Wentworth Miller, acteur de la série Prison Break, janvier 2007.

« Je n’avoue pas que je suis homosexuel, parce que je n’en ai pas honte. Je ne proclame pas que je suis homosexuel, parce que je n’en suis pas fier. Je dis que je suis homosexuel, parce que cela est ».

Jean-Louis Bory, dans Les Dossiers de l’écran, 1975.

« Je crois que les actes homosexuels entre deux personnes sont immoraux et que l'on ne doit pas (les) pardonner. Je ne crois pas qu'une politique où il est possible d'être immoral serve les États-Unis de quelque façon que se soit. » Général Peter Pace, chef d’état-major interarmées américain.

E-deo relaie le courrier d'un ex-homosexuel publié dans La Croix :
« Mon histoire personnelle et des personnes autour de moi m’indiquent qu’il n’y a aucun déterminisme dans l’homosexualité, au moins pour plusieurs des personnes concernées. Et que oui, il y a une part de choix, fût-elle construite par une histoire, une éducation, une psychologie, des blessures.
Non, cette préférence n’est pas une identité, elle n’est pas irréversible et ne définit pas la personne. Ma conversion lors d’une retraite d’une part puis une psychothérapie, la prière et des recherches pour comprendre m’ont aidée à m’ouvrir au différent et à sortir d’un enfermement qui m’attirait vers d’autres moi-même [...].

C’est tromper le monde que de dire aux homosexuels qui en souffrent qu’ils ne peuvent pas changer. Et il est sûr que le passage à l’acte rend les choses beaucoup plus difficiles, tout autant que le refoulement où la personne ne regarde pas en face sa réalité. Mais des associations, des propositions d’Église, etc. peuvent les aider si elles le souhaitent (et beaucoup, dans le fond, le souhaitent). »

« Les femmes sont complètement dingues. Je n'arrête pas d'être poursuivi par des filles qui veulent que je sois leur meilleur ami gay, que je choisisse des habits et que je dise du mal des hommes avec elles. Je ne jouerai plus jamais un gay. » L'acteur Willie Garson, qui interprète Standford Blatch, ami gay de Carrie Bradshaw dans Sex and the City.

« La loi scélérate du 30/12/2004 protégeant les propos homophobes est une loi anti-constitutionnelle.
Les pédés sont les seuls protégés par la loi, alors que les propos contre les vieux, les bossus, les nains.... ne sont pas protégés par la loi !
Il est vrai que le lobbying des pédés exercé par les médias où ils sont en grand nombre a porté ses fruits : vous pouvez "insulter" Jésus ou Mahomet... mais pas les pédés !!!
Aucune loi ne peut m'interdire ma liberté de pensée et l'exprimer. »


Roumila, à propos de Vanneste, sur le site
Blogonaute (qui a conservé à titre d'exemple ce commentaire pour illustrer l'homophobie actuelle).

« Face à l’obstacle social qui empêche tout épanouissement des homosexuels au Cameroun, écrit Charles Guebegou, ceux-ci ont développé une stratégie de camouflage de leurs activités sexuelles réelles. C‘est ainsi que, bien que s’identifiant et s’acceptant comme homosexuels, certains d’entre eux, pour faire bonne figure sociale, ont également choisi d'entretenir des rapports factices avec des partenaires de l’autre sexe. D’autres sont même allés jusqu’à établir des unions officielles avec ces partenaires de circonstance, tout en ayant une activité sexuelle intense avec leur partenaire habituel ou autres. Dans les villes de Yaoundé et de Douala, notre échantillon était de 81 enquêtés, et parmi eux, 47 soit 58 % se sont reconnus comme homosexuels exclusifs. Mais, fait remarquant, parmi ces 47 homosexuels exclusifs, 20 ont en même temps affirmé avoir des partenaires de l’autre sexe, soit 42,6% de l’effectif des 47 homosexuels exclusifs. 34 des 81 enquêtés ont dit être bisexuels, soit 43,2 %. A Yaoundé, les homosexuels désignent ce type de partenaire de façade sous le terme de “nfinga”. C’est la désignation dans l’une des langues locales de la couverture et cette expression révèle bien qu’il s’agit d’une mascarade pour se couvrir et assurer ses arrières. » Charles Guebegou, Université de Yaoundé (Cameroun).

« Je parlais plus haut de la compréhension de l’autre, du différent. Cette démarche de l’esprit s’est imposée à moi dans les questions, comme on dit, sociétales. Plus particulièrement sur celles liées à l’homosexualité. Tout le monde sait d’où je viens. j’avais sur les questions de société la sensibilité traditionnelle. Pas de vulgarité, mais pas beaucoup d’ouverture. Je m’en tirais en affirmant que tout cela appartenait à la vie privée de chacun et que l’Etat n’avait pas à s’en saisir. (…)

Et puis j’ai essayé de comprendre. Ce que disaient mes amis, amis d’enfance, amis de l’âge adulte, qui vivaient l’homosexualité. Mon ami Philippe Meynard a raconté dans un très beau texte comment il avait vécu la révélation à sa mère de la réalité de sa vie. Plusieurs autres m’ont rapporté comment on élève ses enfants lorsque, marié, on découvre ou qu’on révèle son homosexualité. je les ai écoutés avec intensité, et je crois les avoir entendus. Je n’ai pas approuvé la pétition de plusieurs centaines de parlementaires affirmant qu’un enfant avait besoin “d’un père et d’une mère”. (…)

Je me suis exprimé sur l’homoparentalité. Dans le bouche de certains, c’est un gros mot. On me demande, sous forme d’accusation, si je suis “pour” l’homoparentalité. Mais mes interlocuteurs ont-ils conscience que l’homoparentalité ne nous a pas attendus pour exister ? Il y a en France, estime-t-on, environ 300 000 enfants élevés par des parents homosexuels, issus d’unions classiques, dont les membres se sont séparés pour vivre une autre vie. je n’ai pas voulu en laisser dire du mal. Je suis persuadé depuis très longtemps qu’on ne choisit pas de devenir homosexuel. C’est une structure profonde de la personnalité, qu’on accepte ou qu’on refoule, mais dont on n’est ni l’auteur ni le responsable. Et je sais ce que représente de doutes et de lourds combats intérieurs la découverte de cette identité. Un de mes jeunes amis s’est suicidé récemment pour n’être pas parvenu à assumer cette part de lui-même. Le taux de suicide chez les jeunes homosexuels est cinq fois plus élevé que chez les autres jeunes ! En leur direction, je veux une politique de prévention, eux qui sont si fragiles. »

François Bayrou, dans son livre Projet d’espoir.

« Si les gays ont vis-à-vis d’eux-mêmes la dent si dure, c’est qu’ils ont depuis longtemps acquis du métier à cet exercice. La plupart des homosexuels passent, ne seraient-ce que quelques années, par ce bouleversement profond qui leur fait intérioriser la honte de soi et cultiver des sentiments négatifs. Soumis à une attente interminable, leur désir n’a aucune possibilité de se dire ou de s’épanouir au contact d’autrui. Il devient un élément encombrant, un corps mort, abject dont on aimerait bien se débarrasser. C’est ce que l’on appelle communément “l’homophobie intériorisée”. » Le psychiatre Serge Hefez, sur son blog

« Ma deuxième remarque irritera sans doute ceux qui sont hostiles au mariage homosexuel, mais je crois néanmoins qu’il faut l’avoir présente à l’esprit pour cerner toutes les dimensions du problème. Quoi qu’on en pense, son autorisation est pour ainsi dire inscrite dans le “sens de l’histoire” et ce pour une raison de fond (…) les motifs traditionnels du mariage - le lignage, la religion - se sont progressivement estompés au profit (…) du sentiment. »

Luc Ferry, en introduction de la note “L’homoparentalité. Réflexions sur le mariage et l’adoption”, réalisée par le Conseil d’analyse de la société, dont il est le président.

« Les homosexuels ont rencontré un blocage dans leur développement psychologique normal, ce qui les rend anormaux. »

« C'est un stade [l’homosexualité] imparfaitement développé de la sexualité humaine qui contredit sa logique intérieure. »

«  La promotion de l'homosexualité au travers des gay pride signe le retour à l'Antiquité gréco-romaine. Glorifier l'homosexualité, c'est une récession de vingt siècles. »

« Un pics, un pacs, un pucs... tout ce que vous voulez mais pas mariage. »

Florilège de Monseigneur Léonard, évêque de Namur.


« Jamais je ne me suis vanté ni n'ai eu honte de mes penchants homosexuels. Certains m'ont questionné sur ma discrétion concernant ma sexualité, avec un peu de reproche dans la voix pour mon manque d'engagement militant. En fait, si je suis discret sur ce sujet, c'est qu'il relève de la vie intime, qu'il ne regarde que moi et surtout qu'il n'y a pas grand chose à en dire ! »
Jean-Claude Brialy

« Mon homosexualité n'est pas un problème pour moi, par contre le regard de l'extérieur sur l'homosexualité en est un. » Jean-Yves, blogueur et collaborateur de Les Toiles Roses.

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