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HUMEUR : Zanzi and the City



En revenant de ma promenade digestive, hier après-midi, j’ai remarqué sous la façade vitrée d’un abribus l’affiche du dernier film de Gérard Depardieu et de Cécile de France qui, contrairement à ce que son nom indique, est Belge. Il y a deux ou trois semaines, j’ai vu la bande-annonce de ce méli-mélo sentimental. Trop longue, elle ne m’a pas donné envie d’aller le voir. En revanche, le titre du film m’interpelle.

En effet, Quand j’étais chanteur renvoie à la chanson éponyme de Michel Delpech.

— Michel qui ? me demandent les adolescents avec de grands yeux ronds.

Et moi d’expliquer à ces ignares élevés sous les sunlights de la télé-réalité que Michel Delpech est, comme ses copains Gérard Lenorman et Ringo Willycat, une icône de la chanson françâââââise des années 70 qui n’a pas survécu aux années 80. Autant souligner le caractère antédiluvien de cette révélation choquante pour un ado moyen.

Mais oui ! Il y avait déjà des chanteurs bien avant la Star’Ac et le MP3, et leurs chansons passaient sur des disques vinyles qu’on appelait « 45 tours ». Mon jeune auditoire n’en revient pas, et là, j’ai l’impression d’être le professeur Indiana Jones faisant un cours d’archéologie de la chanson française devant une classe éberluée.

La stupéfaction de mes élèves atteint son paroxysme lorsque, après avoir ménagé un suspense insoutenable, je leur apprends que Michel Delpech était aussi un voyant réputé et qu’il a prophétisé le décès du plus grand des Rolling Stones ! Et pour achever de les convaincre, j’ai pris ma voix de crooner pour leur chanter l’extrait incriminé :

« Ma pauvre Cécile, j’ai soixante-treize ans,
J’ai appris que Mick Jagger est mort dernièrement… »

Dès lors, délaissant la théorie pour les travaux pratiques, je me suis mis à calculer le plus exactement possible quand Mick Jagger doit mourir.

Sachant que la chanson Quand j’étais chanteur est sortie en 1975, et que Michel Delpech est né le 26 janvier 1946, sachant que l’on ne sait pas s’il chante cette chanson à Cécile le jour de son 73e anniversaire ou dans les jours et les mois suivants, sachant enfin que Delpech emploie l’adverbe « dernièrement », on peut en déduire, en prenant une fourchette élargie, que Sir Mick Jagger devrait logiquement trépasser en décembre 2018 ou au cours de l’année 2019. Ce qui, grosso modo, lui laisse une espérance de vie de 13 ans…

En tout cas, moi, quand je serai chanteur, je me garderai bien d’annoncer avec 45 ans d’avance la mort de mes petits copains. Pour deux raisons : la première, c’est qu’on ne se fait pas que des amis ; la deuxième, c’est que ça porte malheur. La preuve. Mick Jagger et sa bande sont toujours au top et cartonnent dans des concerts qui drainent des centaines de milliers de fans en délire, tandis que Michel Delpech…

— Michel qui ?


Pour lire le précédent épisode de Zanzi and the City, cliquez ici.



Tandis qu’en République française (ci-devant « l’Hexagone ») un courant royaliste sème le trouble au sein du parti socialiste, le Royaume-Uni se recueille pour commémorer le neuvième anniversaire de la mort tragique de Diana, princesse de Galles.

9 ans déjà ! C’est-à-dire que, l’année prochaine, toute la presse pipole fera ses gros titres avec un « DIANA, 10 ANS DÉJÀ ! ». Comme le temps passe.

Je ne me sens pas le talent d’un Jacques-Bénigne Bossuet pour faire, avec autant d’années de retard, l’éloge funèbre de la plus célèbre princesse du 20e siècle. Mais je me souviens…

Je me souviens du « Mariage du Siècle » commenté par feu Léon Zitrone, le grand-père de Stéphane Bern. Pendant ce temps, Stéphane était au Luxembourg chez sa grand-mère (pas mariée avec Zitrone) et regardait la cérémonie avec la fascination que l’on sait, bouillant déjà d’impatience de prendre la relève du vieux pionnier de l’ORTF.

Je me souviens du premier courrier que j’ai reçu de Buckingham Palace, et qui venait de l’ébouriffante « Fergie », pardon, de Son Altesse Royale la Duchesse d’York. De fait, ai-je conservé une grande tendresse pour cette pétulante rouquine un peu godiche et aux formes généreuses. C’était « Madame Sans-Gêne » modern style, et la première princesse avec qui j’ai correspondu. Une rebelle. C’était un signe. Depuis elle s’est assagie et la presse Murdoch ne parle plus beaucoup d’elle.

Je me souviens de l’Annus Horribilis, locution latine qui ne désigne pas « un trou du cul complètement défoncé » ou « une paire de fesses avachies par les outrages du temps », mais l’année 1992. Divorce d’Andrew et Sarah, « confession » télévisée de Diana, annonce par John Major de sa séparation d’avec Charles (non, ce n’est pas John qui quittait Charles…), et incendie du château de Windsor. Je me souviens que la Reine a pleuré en le voyant brûler. Buckingham est son bureau, mais Windsor est sa maison.

Je me souviens du bel été 97, de mes balades avec mon bébé chien tout jeune encore, et du beau temps qu’il faisait. Que le mois d’août était beau cette année-là ! Je me souviens aussi que le mois de juillet avait été meurtrier. Un certain Andrew Cunanan avait uni dans le sang, et pour l’éternité, son destin à celui de Gianni Versace. Je me souviens de Diana, assistant aux funérailles du grand couturier. Étrange répétition…

Je me souviens du 31 août 1997, de la couverture du journal qui barrait sa une d’un flash de dernière heure, des éditions spéciales qui passaient en boucle sur toutes les chaînes de télévision. Au côté de son amant, la femme la plus photographiée du monde venait de trouver une fin tragique dans la ville la plus romantique. Sous un pont.

L’été est fini.

Et je me souviens d’Elton John, « Queer Mum », le visage baigné de larmes, actualisant pour la « princesse du peuple » une chanson qu’il avait écrite en hommage à Marilyn Monroe. Et je ne peux m’empêcher de songer que toutes deux sont nées un 1er juin, et qu’elles sont mortes l’une comme l’autre l’été de leurs 36 ans. Singulière équation pour deux destins d’exception…

Ce soir, j’irai me promener à Montmartre, j’me vois bien en p’tit Poulbot chanter au pied d’un réverbère, ce refrain de Jean Rodor sur une musique de Vincent Scotto :

Sous les ponts de Paris, lorsque descend la nuit
Viennent dormir là tout près de la Seine
Dans leur sommeil ils oublieront leur peine
Si l'on aidait un peu, tous les vrais miséreux
Plus de suicid's ni de crim's dans la nuit
Sous les ponts de Paris…


Pour lire le précédent épisode de Zanzi and the City, cliquez ici.


Depuis que le cher Daniel C. Hall m’a fait l’immense honneur de m’offrir une rubrique sur Les Toiles Roses, je ne me sens plus de joie. Je dois bien reconnaître que, depuis hier matin, je me sens aussi excité qu’une puce sur le dos d’un chien. Je me sens même rajeunir d’au moins deux ans, ce qui, aux dires de certains, fait que j’ai 23 ans, bien que j’étais déjà un sémillant jeune premier à Hollywood dans les années 30.

En tant que cinéphile, cinéphage, cinévore, et ciné-Cheetah car j’adore la série des « Tarzan » de la MGM avec Johnny Weissmuller, je me suis empressé de consulter l’index alphabétique des films critiqués sur ce blog soi-disant intello. Et là, oh joie divine, je suis tombé sur ça : http://www.lestoilesroses.com/article-1034875.html. Si vous n’avez jamais vu ce téléfilm, c’est que vous ne consultez pas l’index susmentionné, ou ne regardez jamais M6 qui l’a déjà diffusé 3 fois, ou n’êtes ni gay ni gay-friendly et du genre à magasiner dans les rayons de « My Beautiful Megastore » chez Virgin.

Quel est l’intérêt de cette série Z réalisée par le petit frère de Christian « Jacquouille-la-fripouille » Clavier, me direz-vous, que la critique de votre blog préféré a descendu en flammes. La présence à l’écran du charmant Olivier Sitruk, mon voisin de quartier ? (chut) La thématique du mariage homosexuel ? Que nenni mes amis ! L’intérêt c’est qu’en visionnant ce petit bijou en toc, vous pouvez y voir briller un morceau de cristal nommé Zanzi. Eh oui, je l’avoue à genoux, j’ai osé faire de la figuration dans cette daube.

3 garçons, 1 fille, 2 mariages a été tourné en 2003 en Belgique, pour des raisons budgétaires. En effet, de plus en plus de téléfilms français sont tournés chez nos voisins les moules-frites où les coûts de production sont moins élevés qu’en France. À titre d’exemple, le modeste défraiement pour une journée de figuration s’élève à 25 € seulement. Une misère… Autant dire que j’ai participé à cette aventure pour le fun et en aucun cas par appât du gain.

Cela s’est donc passé l’été 2003, qui est entré dans la mémoire collective comme le plus meurtrier de l’histoire, puisque la canicule qui réchauffa l’Europe eut pour funeste conséquence de tuer le Lundi de Pentecôte l’année suivante. Nous étions fin août début septembre, il faisait bon, il faisait chaud, et je flânais de par les rues de cette charmante ville de province autoproclamée « capitale de l’Europe », lorsque sur la devanture d’un glacier italien je lus une annonce pour un casting qui avait lieu le jour même, dans un café à quelques pas de là. Dicho, hecho, je me suis présenté au lieu dit et, après avoir charmé les rabatteuses recruteuses, je fus engagé pour deux journées et une soirée.

C’est ici que je vous livre l’indice qui vous permettra de saisir mon image à l’écran. J’apparais en effet dans les scènes de mariages (car il y en a deux, comme le titre l’indique). Celles-ci furent tournées à l’hôtel de ville de Saint-Gilles, commune de Bruxelles-capitale. Le premier étage avait été mis à disposition de l’équipe de tournage. On y trouvait, pêle-mêle, Julie Gayet essayant sa robe de mariée et ajustant son maquillage, Jean-Claude Dreyfus répétant son texte comme Monsieur Marie fait la promo d’une bonne tourte aux poireaux, et des dizaines de figurants attendant patiemment qu’on veuille bien les appeler. Car le temps est long pour les figurants. On peut se tourner les pouces et regarder les mouches voler pendant des heures, mais quand le réalisateur vous appelle, il faut être prêt dans l’instant !

La première scène de mariage fut tournée dans une ambiance folklo. Cette séquence improbable est censée se dérouler en France (dans un futur proche ?), et le maire porte donc l’écharpe tricolore. Pour donner un semblant de réalité virtuelle à cette savoureuse science-fiction, il a été décidé que l’édile porterait l’écharpe selon le protocole municipal en vigueur dans toutes les mairies de France. Problème : doit-il la porter à partir de l’épaule gauche ou de l’épaule droite ? Stéphane Clavier n’en savait rien, l’acteur non plus, tout semblait perdu et c’est alors que j’intervins pour sauver la situation. En un coup de téléphone, j’ai apporté la solution en appelant ma Maman qui, elle-même, porte la dite écharpe lorsqu’elle marie les gens… Alors : épaule gauche ou épaule droite ? Regardez le dvd, vous aurez la réponse, non mais !

Dans cette même scène du mariage Sitruk-Gayet, troublée par l’irruption intempestive d’Arnaud Giovanetti (vu récemment dans le téléfilm Dalida où il campe un étonnant Orlando), Laurent, son personnage, déclare maladroitement sa flamme à Dan (Olivier Sitruk), et lui murmure un bouleversant « je t’aime » qui a été coupé au montage. Je me demande encore pourquoi… Au final, ce téléfilm fait l’éloge de la polygamie « plurielle », posant le postulat selon lequel chacun devrait être libre d’épouser qui il veut, homme et/ou femme. C’est une idée que je trouve séduisante et sur laquelle je reviendrai peut-être un jour sur ces pages.

Enfin, pour l’anecdote, sachez qu’au départ ce chef-d’œuvre du genre devait s’intituler Coup de Soleil. Tiens, cela me rappelle que je dois aller porter des oranges à Richard Cocciante…

Il est où, le Zanzi ? (Note de DCH)

Pour commander le film, cliquez ici ou sur les illustrations.

Pour lire le précédent épisode de Zanzi and the City, cliquez ici.


Longtemps, mon côté « vieille France » et mes références familiales et religieuses m’ont fait considérer qu’il était à l’opposé du romantisme de s’abandonner, dès le premier soir, à des plaisirs coupables avec quelqu’un fraîchement rencontré. Il me semblait même qu’une histoire d’amour n’avait aucune chance de voir le jour, si l’on ne se faisait pas quelque peu désirer. Même Ally McBeal ne couchait pas le premier soir, et j’ai le souvenir de chastes baisers qu’elle donnait à ses soupirants devant sa porte d’entrée, et bien sûr sous la fenêtre de sa copine Renée…

Hier, en fin d’après-midi, j’avais rendez-vous avec un jeune homme d’une trentaine d’années, typé italien, que par commodité j’appellerai « Célio ». Célio fait partie de l’éventail des soupirants qui me courent après sur certains sites de rencontres qu’il convient de ne point nommer pour ne pas leur faire de publicité gratuite sur ces pages, et qui a pris l’initiative de me fixer un rendez-vous « pour boire un verre ». C’est ainsi qu’à l’heure de l’éclaircie sous un ciel d’août désespérément gris, je l’ai retrouvé à la station de métro qui porte le nom du roi de la pomme de terre.

Il m’a fait découvrir un café sympathique du quartier, et sans prétention, où l’on est bien et surtout où l’on peut consommer à des tarifs bruxellois. Par exemple : 2 € le verre de Kronenbourg ou de Coca. Si vous souhaitez découvrir cette adresse, écrivez à la rédaction ou sollicitez un rendez-vous avec Zanzi. Mais je m’égare… Je n’ai pas tardé à m’apercevoir que je plaisais à Célio, car j’avais réussi à allumer dans son regard une flamme bien particulière qui signifie : « j’ai envie de toi ».

Après lui avoir montré en direct-live un aperçu de mes talents (deux poèmes écrits devant lui en un temps record sur les pages en papier recyclé d’une revue gratuite), nous sommes allés nous promener le long du Canal Saint-Martin et, au retour, il m’a invité à « prendre un dernier verre » chez lui. La littérature et le cinéma foisonnent de ce genre de scène qui généralement ouvre la voie à une plus grande intimité entre les protagonistes. Aussi, après quelques tergiversations, s’est-il jeté sur moi avec la ferme intention de me manquer de respect.

Contrevenant à mes habitudes en la matière, je me suis laissé entraîner sur son lit où, effectivement, j’ai pu vérifier la fermeté de ses intentions à mon égard… Une heure plus tard, je venais donc de coucher le premier soir avec un garçon rencontré à peine quatre heures plus tôt. La bonne question est de savoir pourquoi je l’ai fait.

Au hasard des rencontres avec des gens aussi farfelus que doués d’un certain bon sens, il m’est apparu comme une évidence que le premier soir peut aussi être le dernier. Comme on ne sait jamais s’il y aura un lendemain, un après, il faut saisir l’opportunité au moment où elle se présente et tant pis pour la morale de grand-maman ! Jadis, j’ai laissé passer des occasions à cause de vieux schémas mentaux que je tends à renverser. Hier soir, j’ai donc abattu un pan de mur. Cela dit, le partenaire en valait la peine. Il ne faut tout de même pas se livrer à ce petit jeu avec toute la City.

Voici ce qu’il faut retenir de ce premier billet. Carpe diem, et carpe noctem.

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