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, Henry Victoire, Didier Roth-Bettoni
et
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Mais aussi, depuis, Cyril Legann,
Gérard Coudougnan (Livres), Voisin Blogueur,
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Jann Halexander, Tom Peeping
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Un grand merci à Francis Moury,
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Mardi 22 novembre 2 22 /11 /Nov 14:02

« Nous ignorions la déportation des homosexuels. C'est aux homosexuels d'aujourd'hui de restituer cet oubli de l'Histoire. » Jean-Paul Sartre

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 08:55

« Je souhaite que d'autres déportés homosexuels comme moi témoignent pour que le crime nazi ne soit plus ignoré ni accepté par l'effet de l'oubli. »

« Je tremble en pensant à tous les homosexuels disparus et à tous ceux qui, dans le monde, sont hélas encore torturés ou exterminés avec tant d'autres minorités. » Pierre Seel

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 08:52

« L'homosexualité a détruit la Grèce antique. » Propos attribués à Hitler, rapportés par Rudolf Diels, l'un des fondateurs de la Gestapo.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 08:49

« Les pédés, au bûcher ! » Slogan entendu pendant la manifestation contre le PACS, à Paris (1999)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 08:47

« La discrimination est toujours odieuse, toujours. Elle est l'expression de préjugés. Au-delà, vous retrouvez des tensions, des volontés persécutrices inavouées. La chasse à l'homosexuel a existé. Je ne suis pas sûr que dans certains cas cela ne perdure pas. » Robert Badinter, Garde des sceaux (15 mai 1995)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 08:45

« Quand un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ce qu'ils font tous deux est une abomination ; ils seront mis à mort, leur sang retombe sur eux. » Lévitique, XX, 13

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Dimanche 20 novembre 7 20 /11 /Nov 00:00


Fiche technique :
Avec Adam Chubbuck, James Ransome, Tiffany Limos, Stephen Jasso, James Bullard, Shanie Calahan, Eddie Daniels, Bill Fagerbakke et Patricia Place. Réalisé par Larry Clark et Edward Lachman. Scénario de Harmony Korine. Directeurs de la photographie : Larry Clark et Edward Lachman. Compositeur : Matt Clark.
Durée : 95 mn. Disponible en VO, VOST et VF.
Résumé :
Un tableau provocant d'adolescents américains de classe moyenne qui trompent leur ennui avec du sexe, de la violence et de la perversion à Visalia, une petite ville de Californie. Leurs parents sont pour la plupart médiocres, aveugles, méprisants et alcooliques.
L'avis de Matoo :
J’avais beaucoup aimé Kids. Je l’avais découvert quand j’étudiais à Newcastle, dans un petit ciné de quartier. A l’époque, on disait que c’était le film « qui avait choqué Madonna », et en effet il y avait de quoi. Mais surtout, c’était une réflexion pleine de sagacité (en même temps qu’une critique au vitriol) et un constat dérangeant sur le sexe chez les adolescents, ainsi que la manière dont l’âge de l’inconscience rencontrait celui des premières expériences. Et surtout, il présageait la manière dont le sexe se pratique, de plus en plus jeune, sans repère ni raison et sans aucun discernement.
En ce sens, Ken Park est le juste dérivé de Kids. En effet, le film est trivial et largement plus voyeur en terme de scènes de cul. Je n’avais jamais vu de démonstrations aussi explicites, et ce n’est pas tant que j’ai été choqué de cette crudité (pas mal excité même) que je n’ai plutôt pas compris son intérêt, étant donné que ce n’était pas le prétexte à un trait de scénario mais la simple mise en abîme d’une série de faits.
L’histoire tourne autour d’une bande de jeunes de Californie qui se font littéralement chier, sont complètement en inversion de phase avec leurs parents, et cherchent à tout prix à passer le temps. Il y a donc plusieurs portraits qui se succèdent, et le film démarre par le suicide assez spectaculaire et gore de l’un d’entre eux. Cette mort est le prétexte à une présentation des personnages dans leur famille et environnement respectifs. Ils sont tous plus déstructurés et paumés les uns que les autres, les enfants vivant les affres de l’adolescence, et les parents sont engoncés dans leurs vies moroses. L’un des ados se tape la fille et la mère, tandis que le second ne supporte plus ses parents et expérimente le gasping en se branlant (une scène assez space… on le voit se branler et éjaculer tout en s’étranglant pour avoir une meilleure jouissance), il finit par assassiner ses grands-parents parce qu’il ne les supporte plus, une autre a un père catho intégriste complètement taré, etc.
J’ai été un peu déçu par cette manière de montrer un environnement et des situations vraiment extrêmes et rien d’autre, ainsi que par les scènes de sexe qui ne débouchent sur rien de spécial dans le film (même si dans la réalité c’est assez plausible). En fait, je m’attendais à un scénario mieux construit, et j’ai seulement vu un défilement de jeunes gens perdus et écartelés, qui baisent et c’est tout. Du coup, quel est vraiment l’intérêt de cela ? Et la surenchère dans le suicide du début et le crime des grands-parents ?! Vraiment, j’ai eu du mal à suivre.
Je ne peux pas dire que c’était complètement nul ou bien que je n’ai pas été sensible aux personnages, mais je ne vois pas où ils veulent en venir. Et finalement, ce qui m’a plu, c’est que les mecs sont plutôt bien montés, qu’on voit leurs bites, que les scènes de cul (hétéros) sont plutôt bandantes, et que le plan à trois de l’affiche est aussi beau que la photo (une scène vraiment très sensuelle, à la fois tendre et sexuelle…). Est-ce que c’était le but du film ? Non, quand même pas ? Ou alors, j’ai raté le coche. Ouais, ça doit être ça.
Pour plus d’informations :
Bande annonce
Voir la fiche n°1, avis de Jean Yves et G. F.
 
Par Matoo - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Dimanche 20 novembre 7 20 /11 /Nov 00:00

Fiche technique :
Avec Colin Farrell, Angelina Jolie, Val Kilmer, Jared Leto, Anthony Hopkins, Jonathan Rhys-Meyers, Rosario Dawson, Christopher Plummer et Gary Stretch. Réalisé par Oliver Stone. Scénario de Oliver Stone, Christopher Kyle et Laeta Kalogridis. Directeur de la photographie : Rodrigo Prieto. Musiques de Vangelis.
Durée : 170 mn. Disponible en VO, VOST et VF.

Résumé :
La vie d'Alexandre le Grand, narrée par Ptolémée : de son enfance à sa mort, des cours d'Aristote aux conquêtes qui firent sa légende, de l'intimité aux champs de bataille. Fils du roi Philippe II, il soumit la Grèce révoltée, fonda Alexandrie, défit les Perses, s'empara de Babylone et atteint l'Indus pour établir à 32 ans l'un des plus grands empires ayant jamais existé.
L'avis de Samuel M. :
Superproduction destinée à engranger les bénéfices, fresque historique emplie de bruit et de fureur, le dernier film d’Oliver Stone déçoit par ses partis pris esthétiques : réalisation, musique, décors, jeu des acteurs ne brillent pas par leur originalité, et le souffle épique peine à soutenir la longueur du film. Alexandre éveille surtout l’intérêt par son portrait de l’empereur. Celui dont l’histoire a traversé les siècles et qui a inspiré de nombreux romans est présenté comme un homme complexe, rappelant quelque part les héros de John Huston, depuis son enfance instruite par Aristote jusqu’à sa mort à l’âge de 33 ans. On y voit un jeune homme peu assuré se changer en chef de guerre assoiffé de conquêtes. La narration, dévolue à Ptolémée, fait la part belle à la théorie du complot chère à Stone, et prête à Alexandre des aspirations universalistes et un discours de rapprochement des peuples qui sonnent comme anachroniques, et d’ailleurs montrés comme incompris. L’Alexandre d’Oliver Stone tente ainsi de restituer la fascination exercée par un homme empli de contradictions, au destin grandiose, mais tragique par sa brièveté. Comme l’écrit Ménandre, ceux qui sont aimés des dieux ont une vie courte... 
Le fils de Philippe de Macédoine, animé par sa mère d’une ambition dévorante, manifeste très tôt son attirance pour les garçons, en particulier pour Héphaestion. Sa mère lui reproche même de ne pas surmonter son indifférence devant les femmes pour épouser une future reine, dans un but uniquement politique, bien sûr. Par-delà les conquêtes, les trahisons et les menaces de mutinerie, jamais son affection pour Héphaestion ou son attirance pour Gaboas ne sont remises en cause par ses hommes (qui l’encouragent même à embrasser ce dernier lors d’une fête). S’il s’éprend de Roxane au point de l’épouser, et si leur nuit de noces est à peu près la seule scène érotique du film, son attachement pour Héphaestion demeure indéfectible, alors qu’il délaisse progressivement Roxane. Le gage d’amour que lui offre son amant, une bague, en est le signe très clair. Enfin, lorsque Héphaestion meurt, malade ou empoisonné, on voit Alexandre tremper ses doigts dans sa coupe et les lécher fugitivement, suggérant la volonté du héros de suivre son compagnon dans la mort. Il succombera en effet trois jours après. Le film s’ouvrait sur l’agonie d’Alexandre faisant tomber une bague sur le sol. L’image de la bague, symbole d’amour même dans la mort, encadre alors le film, et vient mettre en avant l’histoire d’amour souterraine qui parcourt toute l’œuvre. Elle fait baigner les spectateurs dans un singulier dépaysement. Celui d’être projeté dans un monde où le héros n’adhère jamais aux codes sexuels du cinéma grand public du XXe siècle, malgré la scène « gay » censurée  : hétérosexualité conquérante, virilité conventionnelle... Désarçonné ou aux anges, le public voit ses attentes trompées. Si les producteurs ont assagi les images, le scénario résiste à une représentation formatée. Un dépaysement qui n’est pas gratuit, donne un peu d’âme et d’audace à ce « blo
ckbuster » hollywoodien et en fait autre chose qu’un pur produit commercial.
L'avis d'Oli :
Tout d'abord, je tiens à dire que je vais donner mon avis sur un film dont UGC a maladroitement diffusé le Director's Cut de 2h50 au lieu de nous montrer la version intéressante d'1h30 nettoyée des chutes et des passages ridicules. Qu'ils sont distraits, chez UGC...
Le défi d'Oliver Stone, avoué ou pas, c'était de faire aussi bien que Gladiator. Histoire rectifiée pour les besoins du spectacle, décors exceptionnels, musique symphonique grandiose et augmentant l'effet scotchant aux moments paroxystiques, acteurs à l'aise dans leur rôle et une bonne dose d'angoisse pour que le spectateur sente son destin lié à celui du héros. Eh ben, euh, à part le premier point, c'est complètement raté. Enfin, si, les décors de Babylone, de la Porte d'Ishtar aux Jardins suspendus, sont très jolis (on y voit même deux tours de Babel tout droit sorties du tableau de Brueghel l'Ancien). Mais les moments ridicules sont légion, les scènes de combat sont un bon cran en dessous du Seigneur des Anneaux, quelques détails sont grotesques (les pétales de fleur qui surgissent d'on ne sait où pour fêter une décision fraîchement prise par Alexandre, alors que nous sommes dans un camp militaire de fortune qui n'a certainement pas que ça à faire d'emmagasiner des pétales de fleurs fraîchement coupées, ou bien Héphaïstion regardant droit dans les yeux Alexandre, ses beaux yeux bleus arborant de splendides lentilles de contact). Et puis les acteurs ont visiblement moins de mal à simuler un amour hétérosexuel qu'un amour homosexuel. Pour une chatte d'actrice bien visible, tu as le droit à une main sur l'épaule de l'acteur. Bonne mesure du décalage dans la société occidentale.
Il reste quand même l'histoire, qui n’est pas mal, mais c'est un peu imposé par l'Histoire. Et puis ça fait réviser ses classiques (comment s'appelait le précepteur d'Alexandre ? Et son cheval indomptable ?). Non, mais sinon, ce film ne mérite pas qu'on lui consacre ses trois heures, on peut allègrement faire autre chose à la place. Passez votre chemin, sans intérêt.

Pour plus d’informations :
Bande annonce
Site officiel du film
Voir la fiche n°1, avis de ExCalin
 

Par Samuel M. et Oli - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Samedi 19 novembre 6 19 /11 /Nov 00:00


Fiche technique :
Avec Terence Stamp, Bill Hunter, Hugo Weaving, Guy Pearce, Sarah Chadwi
ck et Mark Holmes. Réalisé par Stephan Elliot. Scénario de Stephan Elliot. Directeur de la photographie : Brian J. Breheny. Compositeur : Guy Gross.
Durée : 103 mn. Disponible en VO, VOST et VF.

Résumé :
Road movie excentrique, « Priscilla » raconte l'histoire de trois girls de Sydney dans la panade, Felicia, Mitzi et Bernadette, deux travestis et un transsexuel. Prix du public Cannes 1994.
L'avis de Jean Yves :
Bernadette vient de perdre son compagnon. Ex star dans une version australienne du Paradis Latin, la transsexuelle accepte de se joindre à deux drag-queens, Felicia et Mitzi, pour aller se produire au fin fond du bush. Les comparses affrètent Priscilla, bus scolaire reconverti en loge ambulante d'artistes. Parsemée d'embûches et de rencontres, la traversée est un voyage inoubliable vers la liberté.
La fantaisie à l’état pur côtoie l'émotion pour nous entraîner loin des sentiers battus et des idées toutes faites sur l'homosexualité.
Derrière le prix du public reçu par ce road movie au Festival de Cannes, il y a bientôt dix ans, fallait-il comprendre que seule l'excentricité était la dimension acceptable pour les homosexuels ? Pour ma part, j'ai trouvé à l’époque derrière les rires et les paillettes, une véritable ode à la liberté et à la différence.
Les bonus du DVD : Gloria Gaynor et son fameux I will survive ouvre le bal, suivie de Village People, Abba, Lena Horne... C'est le must du disco !
Le bêtisier : Avec un sérieux imperturbable, les acteurs se prennent les pieds dans leurs robes extravagantes. En prime, dans la caravane, des techniciens déguisés en portemanteau.

Pour plus d’informations :

Par Jean Yves - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Samedi 19 novembre 6 19 /11 /Nov 00:00

Fiche technique :
Avec Larson Darrell, Ryan O’Neil, John Hurt, Bridget Fonda, Wendy Hughes et Kenneth McMillian. Réalisé par James Burrows. Scénario de Francis Veber. Producteur : Aaron Russo. Compositeur : Georges Delerue. Directeur de la photographie : Victor J. Kemper.
Durée : 98 mn. Disponible en VO et VF.
Résumé (dos de la VHS) :
Après une série de crimes dans la communauté « gay », l’inspecteur Benson se voit confier l’enquête aidé par un policier aux tendances homosexuelles.
Nouvel avis de Jean Yves et explications :

Oui, vous avez remarqué la divergence : mon premier article (pour ceux qui l’ont lu) était basé sur ce que je me souvenais de ce film... Je viens de le revoir : je me suis dit que ce premier article était trop sévère (d'autant plus pour l'époque de sa réalisation) et puis il manquait d'argumentation détaillée sur des passages du film. C'est pourquoi, j'ai décidé de le refaire, au risque de me contredire. J'ai quand même repris en partie la critique du personnage de Kerwin (trop de clichés à mon goût)...
Les deux poutres maîtresses de Partners sont beaucoup plus l'intelligence du scénario et le jeu des deux acteurs principaux que la mise en scène elle-même, soignée mais très banale. C'est Francis Veber qui est l'auteur du scénario et des dialogues de Partners : il se rachète de ses anciennes bêtises (il fut l'adaptateur pour Edouard Molinaro de La Cage aux folles d'après la pièce de Jean Poiret) et parvient à concilier le suspense policier et les problèmes psychologiques de ses personnages, de l'inspecteur Benson (Ryan O'Neal) en particulier.
Partners repose sur une double progression :
Premier aspect
, un crime a été commis dans le milieu gay de Los Angeles : un cover boy de la revue Man's Man a été mystérieusement assassiné et l'on accuse la police de renoncer à retrouver le coupable, de faire du sexisme primaire. Le capitaine Wilkins (Kenneth McMillan) décide d'envoyer deux de ses hommes sur les lieux pour s'infiltrer dans le quartier gay, très important à Los Angeles, avec ses immeubles où n'habitent que des couples homosexuels, ses salles de gymnastique… Tout au long du film, la place de l'enquête n'est jamais négligée : les deux flics feront leur travail, recueilleront des indices, prendront des risques, démêleront l'affaire.
Deuxième aspect, c'est le rapport entre les deux policiers, où Veber a su faire preuve de sensibilité et de nuances. Benson est un homme à femmes, œil de velours et sourire conquérant qui font tomber en pâmoison les dactylos de la brigade criminelle ; son acolyte Kerwin (John Hurt) est au contraire un homosexuel refoulé qui travaille aux archives de la police ; il n'est jamais allé sur le terrain, mais, comme homosexuel, son rôle sera de servir de carte de visite à Benson.
« Je veux que vous viviez comme un couple gay», ordonne le truculent capitaine Wilkins, petit gros malicieux et même un peu pervers, aux réparties pleines d'humour qui donnent à son regard délavé une impression curieuse d'autosatisfaction. Quand Benson lui demande, exaspéré, pourquoi il a été choisi, Wilkins répond : «Parce que vous êtes vraiment un bon flic, Benson, et puis... parce que vous avez un beau cul !»
Le « comique » vient de ce que nous assistons à une situation renversée : l'hétéro tombeur de femmes qui règne et se pavane dans le monde majoritaire se retrouve soudain en minorité dans un univers homosexuel ; il est aussi mal à l'aise qu'un homo contraint de jouer le jeu de la « normalité » dans la société hétérosexuelle. Le comique vient aussi de ce que Benson demeure un flic, un professionnel qui a une mission à remplir : ses réticences sont vaincues par l'objectif à atteindre et Francis Veber a, psychologiquement, vu juste. Chaque fois que Kerwin exprime le désir de revenir en arrière, d'en rester là, de ne pas faire ceci ou cela, Benson, qui sait très bien que c'est ceci ou cela qu'il faut faire pour avancer, relève le défi et répond positivement (scène où il pose pour la couverture de Man's Man, notamment, prenant le double risque de servir d'appât à l'assassin et de passer aux yeux de tous et de toutes pour ce qu'il n'est pas). Certes, Benson aura toujours l'habileté d'éviter le corps à corps sensuel dans des amours qui ne sont pas son genre.
Cela ne l'empêche pas d'observer et de tirer certaines conclusions. Après que le tenancier d'un motel gay l'a peloté sous la table quelques instants, il prend conscience d'une réalité de la condition... féminine : « Ça ne doit pas être drôle d'être une femme, note-t-il, se faire mettre la main au cul par des types répugnants ! » Amusante aussi la scène où, pour se désintoxiquer du milieu pédé par lequel il se sent agressé, il drague une jolie fille... qui le prend pour un pédé : voulant montrer qu'il « n'en est pas », il insiste pour honorer la mignonne... mais n'arrive pas à bander.
Sans doute Francis Veber n'a-t-il pas résisté à présenter quelques caricatures outrancières : le personnage de Kerwyn est un condensé de tous les clichés les plus éculés (refoulé, tremblotant, balbutiant, il ne sait guère que cuisiner, coudre et repasser. Quand il doit manier le revolver, il est pris d'un accès de tremblement qui dure tellement qu'il en manque sa cible), de même pour le tenancier du motel et le logeur de l'immeuble gay : mais, emporté dans tout le contexte, ça passe assez bien, d'autant que cette fois le comique n'est pas à sens unique. De plus, il montre que ce fameux milieu gay n'est qu'un microcosme où les individus restent fidèles aux passions humaines traditionnelles : amour, jalousie, recherche du bonheur, tous les sentiments propres à la nature humaine y sont reproduits, ni en mieux ni en, pire ; l'homosexualité n'y apparaît ni comme une monstruosité bouffonne ni comme une dépravation malsaine. Le talent des comédiens apporte même à ce film une dimension souvent émouvante.
Globalement, Partners est un film positif : il ne provoque ni le sarcasme ni la haine latente et constitue une approche plutôt sensible de l'homosexualité grâce au comique cinématographique.
A titre d'information, mon premier avis :
Avec Partners, nous retombons dans le marécage des lieux communs hétérosexistes. Le scénario est d’un ennui à périr. Pour débusquer un assassin de pédés, la police envoie un couple d’inspecteurs infiltrer le milieu gay : le bon flic, Benson (Ryan O’Neil), sera piloté dans cette exploration par une « honteuse », Kerwyn (John Hurt), qui évidemment tombera amoureux de son collègue.
Le personnage de Kerwyn est un condensé de tous les clichés les plus éculés : refoulé, tremblotant, balbutiant, il ne sait guère que cuisiner, coudre et repasser. Quand il doit manier le revolver, il est pris d’un accès de tremblements qui dure tellement qu’il en manque sa cible. Quant à l’univers pédé, il est grotesque.
Le seul intérêt de cette sinistre pantalonnade est de nous rappeler la dose de bêtise et de clichés que certains trimballent encore. Précisons enfin que ce pauvre Kerwyn trouvera son salut dans la mort. Vision tout à fait optimiste de l’homosexualité. Comme si, in extremis, il fallait faire la preuve qu’un pédé peut avoir du courage et se « conduire en homme ». Happy end…
Ce n’est bien sûr pas ici qu’il faut chercher une quelconque interrogation sur les rôles sociaux : pour James Burrows, les pédés ne peuvent que sautiller en mitonnant des petits plats, les femmes sont des salopes qui ne pensent qu’à ça…

Par Jean Yves - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 11:22
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 11:01

« Aux hommes tués deux fois se pose le très simple constat de ce qui fut : chaque assassinat d'un homosexuel par un nazi s'est doublé d'un assassinat de sa mémoire par les familles, les politiques, l'histoire officielle. Il y eut pour chaque homme deux meurtres. Et je suis incapable de distinguer lequel l'emporte dans l'ignoble. » André Sarcq

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 10:59

« Bien qu'elle ne soit pas en elle-même un péché, l'inclination particulière de la personne homosexuelle constitue néanmoins une tendance, plus ou moins forte, vers un comportement intrinsèquement mauvais du point de vue moral. » Jean-Paul II

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 10:56

« Les femmes sont de moins en moins passionnées, et s'il y a de plus en plus de pédés, c'est un peu de la faute des femmes. » Johnny Halliday (1996)

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 10:12

« À propos de l'homosexualité : "Je suis croyant, mais pas pratiquant". »

« J'ai eu des relations avec des homosexuels, et finalement je ne suis pas doué pour ça. »

« Dans les films d'homosexuels, ils prennent toujours des garçons qui ne le sont pas, alors que le métier regorge de pédés. »

« Les homosexuels ne se reproduisent pas entre eux et pourtant ils sont de plus en plus nombreux ! » Coluche

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 09:42

« Non ! Dieu n'est pas homosexuel ! En effet, les voies du Seigneur sont impénétrables. » Anonyme, trouvé sur Internet.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 16:50
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 16:43
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 00:00

Fiche technique :
Avec Anthony Ma
ckie, Kerry Washington, Ellen Barkin, Monica Bellucci, Jim Brown, Sarita Choudhury, Ossie Davis et Brian Dennehy. Réalisé par Spike Lee. Scénario de Michael Genet et Spike Lee. Directeur de la photographie : Matthew Libatique. Compositeur : Terence Blanchard.
Durée : 138 mn. Disponible en VO, VOST et VF.

Résumé :
Diplômé de Harvard, John Henry "Jack" Armstrong est cadre supérieur dans une entreprise de biotechnologie. Mais lorsqu'il dénonce les malversations financières de ses patrons à la Commission des Opérations de Bourse, il est aussitôt licencié. Désormais considéré comme un mouchard, il est aux abois.
Quand son ex-compagne Fatima, brillante femme d'affaires devenue lesbienne, lui propose d'être le père biologique de son enfant et de celui de sa nouvelle petite amie Alex contre paiement, Ja
ck entrevoit le moyen de se faire de l'argent facile. Son « commerce de paternité » à 10 000 dollars le rendez-vous lui assure bientôt la célébrité : les lesbiennes en mal d'enfant sont de plus en plus nombreuses à solliciter ses services.
Mais entre les tentatives de ses ex-patrons de le faire tomber pour fraude et sa reconversion douteuse, la vie de Ja
ck prend un tour bien compliqué...
L'avis de Samuel M. :
C’est avec opportunisme que Spike Lee centre son film autour de thèmes tels que la recherche contre le sida et la maternité lesbienne. Comment expliquer autrement qu’au sein d’un film assez démagogique (voir la scène du procès et la comparaison avec Frank Wills), on trouve un patchwork de scènes montrant de manière habile tout et son contraire ? Le réalisateur semble jouer aussi bien avec les préjugés que contre eux. On y voit le héros, John Armstrong (Anthony Mackie, à la fois sobre et à l’aise dans la folie du film), rabaissé au rang d’objet sexuel par un groupe cosmopolite de lesbiennes lipstick faisant appel à ses services d’étalon, en une scène de retournement irrésistible. Cependant, les (com)plaisantes scènes d’accouplement montrent des femmes découvrant le plaisir masculin, de la prude à la délurée, en passant par la mystique ou la pragmatique. Cette séquence est suivie par l’arrivée d’un nouveau contingent de lesbiennes, cette fois-ci masculines, bâties en force et peu effarouchées par un mâle qu’elles dominent entièrement. Ces scènes jubilatoires où le héros étouffe littéralement sous les exigences féminines forment l’exact pendant de la séquence susmentionnée...
Pour le reste, l’intrigue entre son ex-fiancée bisexuelle, Fatima (Kerry Washington), et la compagne de celle-ci, Alex, s’avère fadement conventionnelle : on devine que l’ex va fondre de nouveau pour le beau John Armstrong, et le ménage à trois apparaît comme une solution facile : Armstrong et Fatima s’embrassent, puis Fatima tend la main à Alex, qu’elle embrasse sous le regard de John ; enfin Alex se laisse embrasser par John... Dénouement peu réaliste mais conçu pour réconcilier opposants et militants (de quoi au juste ? On sent qu’on cherche à séduire la plus grande majorité possible dans le public).
La scène qui clôt le film est peut-être plus réjouissante : sur une plage, les jeunes mères confient les enfants à leur père, qui se voit ainsi investi du rôle parental, tandis qu’elles s’embrassent, conservant la haute main sur la sexualité. On assiste alors à une répartition originale, qui remet en cause la classique « division naturelle » des tâches. Enfin, on peut aussi voir ce film comme faisant la promotion de la maternité lesbienne, montrée de manière enjouée, et vantant l’insémination artificielle, lorsqu’on voit avec quelle exigence les donneurs sont choisis (contre les idées élitistes exprimées par les « clientes » du héros).

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Par Samuel M. - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 00:00

Fiche technique :
Avec Isabelle Carré, Catherine Frot, Melvil Poupaud, François Berléand, Julie Depardieu, Claire Nebout, Eva Ionesco, Marc Andreoni, Emmanuelle Riva et Jacques François. Réalisé par Danièle Dubroux. Scénario de Danièle Dubroux et Pascal Richou. Directeur de la photographie : Jean-Marc Fabre. Compositeur : Reno Isaac.
Durée : 106 mn. Disponible en VF.

Résumé :
Une fille de bonne famille bisexuelle en ménage avec une jeune critique de cinéma, un mari maso relégué au garage qui espère reconquérir sa femme, un jeune homme fougueux que les situations tordues excitent un peu trop...
Une mystérieuse maison close vient d'ouvrir et propose des traitements de choc, menés par des dominatrices, « pour soulager tous les problèmes de libido ». Les voilà bientôt tous embarqués dans une thérapie intensive qui va les mener au bout d'eux-mêmes.

L'avis de Samuel M. :
Danièle Dubroux, qui nous avait ravis avec Le Journal du séducteur, intrigant conte sur le désir tissé d’humour noir, fait débuter son dernier film au sein d’un couple de lesbiennes, Catherine (Isabelle Carré) et Agnès (Catherine Frot). Cette dernière voit débarquer son ex-mari, Adam (François Berléand), qui se prétend amnésique et qui, pour s’installer chez elles, prétexte ne pouvoir recouvrer la mémoire que dans les lieux de son passé. De son côté, Bruno (Melvil Poupaud) tombe amoureux de Catherine au premier regard. Apprenant l’infortune d'Adam, il décide de faire d’une pierre deux coups : conquérir Catherine et rendre Agnès à son légitime époux.
Sous les yeux ahuris du spectateur, Dubroux filme l’implacable victoire du stratagème pourtant transparent et de la mise en scène grossière de Bruno : l’intrigue toute entière obéit à la loi du désir masculin hétérosexuel, et tout se passe comme prévu. La scène finale, où Adam (au prénom prédestiné) coule des jours paisibles entouré de sa femme et de la nouvelle maîtresse de celle-ci, ne dissipe pas la lourde impression d’arrangement en faveur de l’homme, qui retire tous profits de la situation finale. Les critiques qui parlent de « subversion » semblent trouver le couple lesbien traditionnel au possible, et l’hétérosexisme furieusement tendance...
Devant tant de roublardise, on ne peut se rattraper qu’à l’idée que la réalisatrice a été aveuglée par son scénariste. Restent la satire de la critique de cinéma underground, savoureuse, la description hilarante du milieu SM où évolue Bruno (mention spéciale pour la trop rare Claire Nebout, excellente en dominatrice), et la part d’autobiographie. En effet, l’histoire, dans ses grandes lignes et aussi invraisemblable qu’elle soit, est réellement arrivée à l’auteure. Il est regrettable qu’elle n’en ait pas tiré quelque chose de plus original et inspiré.  

L’avis d’Oli :
Mauvais signe, j'ai du mal déjà à vous expliquer l'intrigue du film. En gros, Melvil Poupaud va aider François Berléand à retrouver son ex-femme, Catherine Frot, qui vit maintenant avec Isabelle Carré, laissant François Berléand vivre dans le garage aménagé pour l'occasion. Et Melvil Poupaud bosse pour un cabinet de relaxation psychologie par réalisation de fantasmes sexuels. Et Eva Ionesco, en couple lesbien, veut que Melvil Poupaud lui fasse un gosse (aucun rapport avec le reste de l'histoire, une incongruité de plus dans ce film).
La caution humoristique de ce film semble être la dimension sexuelle perverse. On sourit facilement à voir des consuls se déguiser en soubrette pour se destresser. Après, ben, c'est flou. Une construction en (deux) tableaux très très capillotractée, des rebondissements pas nécessaires, des acteurs qui tentent tant bien que mal de relever le niveau (mais même Catherine Frot a du mal à rendre son personnage attachant, tellement le scénario ne s'y prête pas). La mise en scène manque singulièrement de chaleur et ne vient donc même pas donner un coup de main au scénario anémique. Et puis voilà, quoi. On se dit que l'histoire ne valait pas le coup d'en faire un film, que faut y aller seulement pour voir comment de bons acteurs se dépatouillent, et qu'on aurait mieux fait d'aller voir Mensonges et Trahisons si on tenait absolument à aider le cinéma français. Ou de finir sa nuit tranquillement chez soi.
C'est plat, c'est sans intérêt, très décevant.

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Par Samuel M. et Oli - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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