Recherche

Podcasts

 

logonewRCN.jpg


MusicPlaylistView Profile
Create a MySpace Music Playlist at MixPod.com

Accueil

Ensembles-copie-1.jpg
pedeblog_kek_logo2.png
Blog LGBT du rédac' chef :
Daniel Conrad

twitter_logo_header.png

Daniel Hall


secondé par :

Gérard Coudougnan


L'équipe des "piliers" en exclusivité
ou en reprise autorisée :

Jean Yves
, Bernard Alapetite, Zanzi, Neil, Kim,
Matoo, Mérovingien02, Juju, Chori,
Shangols, Boris Bastide, Stéphane Riethauser,
 
Niklas,
Robert Wagner,
 Jag1366, Hari3669, Maykel Stone,
Marc-Jean Filaire,
Isabelle B. Price, Psykokwak,
Rémi Lange
, Henry Victoire, Didier Roth-Bettoni
et
BBJane Hudson...

Mais aussi, depuis, Cyril Legann,
Gérard Coudougnan (Livres), Voisin Blogueur,
Nicolas Maille, Sullivan Le Postec, Vincy Thomas,
Jann Halexander, Tom Peeping
, Lucian Durden,
Papy Potter, Nico Bally, Marie Fritsch,
Sir Francisco, Laurent Fialaix
et Hugo Rozenberg.

Special Guest Star : Philippe Arino.

Un grand merci à Francis Moury,
Olivier Nicklaus et à
Yann Gonzalez.
Et en special guest star gay-friendly... Dr Orlof !


et bien d'autres depuis le début et d'autres à venir...

Ce blog est partenaire de

Dreampress.com

Avec l'aide graphique de

Catégories

Fil infos VeryFriendly

W3C

  • Flux RSS des articles

POUR SURFER SUR CE BLOG...

Les Toiles Roses  est un blog collaboratif, indépendant et bénévole optimisé pour Mozilla Firefox (cliquer ici pour le télécharger)

TOUTES LES CRITIQUES DE FILMS : ICI
LES CRITIQUES DE LIVRES (Gérard Coudougnan) : ICI
Nos chroniques vedettes : Zanzi and the City (Zanzi), Et les filles alors ? (Isabelle B. Price),
Derrière les masques : Homollywood (Marc-Jean Filaire),
Merci Bernard (Bernard Alapetite),
Le Bazar de l'Homo Vincy (Vincy Thomas),
L'Histoire de l'homosexualité,
Dans l'ombre de Jann Halexander (Jann Halexander), Spécial Abdellah Taïa (Daniel C. Hall),
La Crypte aux gays (BBJane Hudson), Certains l'aiment camp (Tom Peeping),
 
Le Chaudron rose (Papy Potter), Petits Contes Dark-en-ciel (Nico Bally),
Marie de traverse (Marie Fritsch), Spécial Salim Kechiouche, Si j'étais homo ou hétéro...,
Spécial Stonewall, 40 ans, La gâterie du chef (Daniel Conrad Hall), La Garac'Ademy (Jean-Louis Garac)
A tort ou à travers (Laurent Fialaix), Rencontres de tous les types (Hugo Rozenberg),
 
Le Phil de l'araignée (Special Guest Star : Philippe Ariño),
Dossier et chronique-soutien
à l'association "Le Refuge" (Daniel C. Hall).

Venez rejoindre la rédaction, les lectrices et lecteurs sur le groupe Facebook :
http://www.facebook.com/group.php?gid=61890249500#/group.php?gid=61890249500


Dimanche 14 novembre 7 14 /11 /Nov 11:53


La bannière et la vidéo sont (c)
Syred Pictures
Les vidéos présentes et futures sont diffusées avec l'autorisation de Maykel himself.
Un grand merci à l'équipe de Rien de 9 !
Par Maykel - Publié dans : WEBSERIE : RIEN DE 9
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Dimanche 14 novembre 7 14 /11 /Nov 11:46

http://4.bp.blogspot.com/_SNWhINHHc3Q/SqBFx2GWzEI/AAAAAAAABC4/ex5p-8SlUSY/s400/LOGOPYSCAP.jpg


Les vidéos sont (c) Univers-L.com
Les vidéos présentes et futures sont diffusées avec l'autorisation de
Isabelle B. Price et son équipe.
Par Isabelle B. Price - Publié dans : SERIE : LOS HOMBRES DE PACO
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Vendredi 12 novembre 5 12 /11 /Nov 19:21

Est-Republicain.png

Par Daniel C. Hall - Publié dans : CE N'EST QUE DE L'AMOUR
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Vendredi 12 novembre 5 12 /11 /Nov 17:22

vlatko-markovic_15221_w460.jpg

 

« Tant que je serai président de la Fédération, il n’y aura pas d’homosexuel dans l’équipe nationale ! (…) » Précisant qu'il n'avait jamais croisé la route de joueur homosexuel dans sa longue carrière : « Heureusement, car seulement les gens en bonne santé jouent au football. » Vlatko Markovic, président de la Fédération croate de football (HNS), interview accordée au quotidien Vecernji List, novembre 2010. 


« Je suis désolé que mes propos ont été, d'une certaine façon, mal compris. Mon intention n'a pas du tout été de blesser qui que ce soit Je n'ai absolument rien contre les membres des minorités en général et notamment celle des homosexuels" Du même, deux jours plus tard, par communiqué de presse suite au tollé médiatique international.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Vendredi 12 novembre 5 12 /11 /Nov 17:07

Taia-Flore.jpg

© Anne-Sophie Delseries

 

« Je suis homosexuel. Arabe et homosexuel. Je voudrais associer ce prix à ceux qui sont dans ma situation, au Maroc et ailleurs. » Abdellah Taïa, novembre 2010, lors de la remise du prix de Flore pour son roman Le Jour du roi (Seuil). 

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Vendredi 12 novembre 5 12 /11 /Nov 16:36

Extrait-de-bande-annonce1-1024x576

 

Comment vit-on son homosexualité à l’école ? Comment faire face au regard des autres et surtout de son entourage ? Découvrez plusieurs témoignages bouleversants à travers cette enquête réalisée par le web-magazine Au Cœur de l'Actu.


Doit-on parler de l'amour entre deux personnes de même sexe dès petit ? Il y a quelques semaines, un film d'animation destiné à être diffuser en école primaire faisait polémique. Certains diront que l'éducation et la tolérance se fait à la maison avec les parents et non pas à l'école. Mais ne serait-il pas judicieux d'évoquer le sujet de la même manière que le racisme à partir de l'école primaire ? Quelle est la vie au quotidien d'un homosexuel en 2010 ?

De l'avis d'un grand nombre de personnes, l'homosexalité est loin d'être évoquée suffisamment dans les établissements scolaires, en raison des risques de répercutions.

Au Cœur de l'Actu a recueilli les témoignages de six personnes qui peuvent avoir pour seules différences, le regard, le rejet, le mal-être, la perte de l'estime de soi, la peur de l'homophobie ressentie à travers les injures des autres... Pour compléter cette enquête de ce premier numéro, l'association "Contact Rhône", qui a le souci, parmi ses objectifs, d'être une passerelle entre les parents et leurs enfants homosexuels pour tenter d'éviter la rupture du lien familial entre parents et enfants homosexuels, se livre également pour faire tomber les clichés encore trop présents aujourd'hui.

 

 

Retrouvez Au Cœur de l'Actu, le web-magazine d'information et de société qui vous donne la parole, à l'adresse www.aucoeurdelactu.fr. 

© 2010 Une production IMPROD pour Au Cœur de l'Actu.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : VIDEOS : Lutte contre l'homophobie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Jeudi 11 novembre 4 11 /11 /Nov 11:28

(Some like it Camp)


par  Tom Peeping


 

Tom Peeping (T.P. pour les intimes, comme Tippi Hedren) aime se promener sur les chemins de traverse du 7ème art et de la télé et s’arrêter pour soulever des pierres. Les films qu’il y déniche, la plupart méconnus ou oubliés, méritent pourtant leur place près de l’arc-en-ciel. Camp, kitsch, queer ou trash, ils racontent une histoire du cinéma des marges. Gays sans l’être tout en l’étant, ils espèrent retrouver dans cette rubrique leur fierté d’être différents.

Tom Peeping, quand il ne visionne pas quelque rareté de derrière les fagots, est conférencier en histoire de l’art et fréquente assidûment les musées parisiens pour y gagner sa vie de vive voix. Il est né dans les Sixties, la décennie du Pop Art, des Yéyés et des Go-Go Girls. Et il rejoint, pour notre (et votre) plus grand plaisir, l'équipe du blog Les Toiles Roses.



Jon-Erik Hexum : je ne pense pas que grand monde se souvienne (mais il a tout de même quelques fans irréductibles - dont moi - et quelques sites web dédiés ici ou là) de ce mannequin-acteur au nom de héros de série TV des années 80 (ça tombe bien car c'en était un). Sa chute brutale fit en son temps plus de bruit que son ascension rapide au soleil d'Hollywood.

De temps en temps, je repense à Jon-Erik et par conséquent, à ce jour d'octobre 1984 où, en jouant par désœuvrement avec un pistolet-accessoire sur le plateau de la série de CBS Cover Up, il s'est accidentellement tiré une balle à blanc dans la tête en mettant un point final à une carrière prometteuse qui venait de commencer. Il allait avoir 27 ans. Je me rappelle qu'à l'époque, je me faisais de l'argent de poche (pas mal d'ailleurs !) en donnant des cours particuliers à deux gosses plutôt sympas d'une riche famille d'expatriés japonais près du Parc Monceau et la gamine, qui devait avoir treize-quatorze ans, avait acheté dans sa détresse le Ciné-Revue qui faisait un papier de plusieurs pages sur l'événement en racontant notamment en détail comment les yeux bleus et le cœur de Jon-Erik avaient été transplantés sur des patients en attente. Nous avions dévoré le magazine sur le temps d'étude en nous lamentant sur la cruauté des Dieux. Une fausse rumeur avait même circulé quelque temps après comme quoi le cœur de notre (anti-)héros avait été donné à un type qui avait été plus tard condamné pour assassinat et exécuté sur une chaise au Texas : un scénario digne d'un John Waters de la grande époque !


De Jon-Erik, qui tombait facilement la chemise dans tous ses rôles pour le bonheur des dames [et des messieurs (Note de Daniel C. Hall)], je n'ai pas vu grand chose (mais il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent de toutes façons) à part le très campy The making of a male model (1983), son magnus opus, le téléfilm qui l'avait lancé et où il partageait la vedette avec Joan Collins et Kevin McCarthy. Il y incarne un cowboy innocent et sexy du Nevada découvert par un agent (Collins) qui l'emmène à New York pour le mettre dans son lit et le lancer dans le mannequinat. Le genre de film qui se bonifie avec l'âge (on peut le trouver sur YouTube) et dont on dit qu'on n'en fait plus des comme ça. Enfin, un téléfilm et deux séries, ça ne fait pas vraiment une carrière. Jon-Eric Hexum n'aura donc eu qu'un destin.


Alors, que reste-t-il de Jon-Erik Hexum, vingt-six ans plus tard ? Une poignée d'extraits TV et quelques interviews de lui sur YouTube (il n'avait pas l'air con) plus deux yeux et un coeur qui doivent encore bien se balader quelque part, aux États-Unis ou ailleurs. Et il y a aussi les photos bien sûr, celles d'un beau garçon américain d'origine norvégienne qui semble y incarner dans son assurance naïve un peu de la fragile invincibilité des Eighties. Je les aime bien ces photos de Jon-Erik. J'espère que vous les aimerez aussi.

Par Tom Peeping - Publié dans : CERTAINS L'AIMENT CAMP
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

Mercredi 10 novembre 3 10 /11 /Nov 11:24

ardhis.gif HM2F_logo.jpg LTR.jpg

 

 

Communiqué de l'Ardhis, le 9 novembre 2010

soutenu par Homosexuels Musulmans de France

et Les Toiles Roses...

 

 

Rafik (1) est arrivé en France en décembre 2009 après avoir fui l’Algérie. Agent de la protection civile l’été sur la côte, il rencontre en 2006 Amine (1), ressortissant français, avec qui il noue une relation amoureuse.

 

Amine l’y retrouve plusieurs fois par an lors de ses vacances en Algérie. Leur relation, bien que clandestine, suscite des rumeurs. L’Algérie pénalise l’homosexualité et, même si les arrestations sont rares, l’homophobie s'en trouve donc encouragée, conduisant fréquemment à des actes de persécution envers les personnes homosexuelles. En septembre 2007, Rafik est agressé physiquement, ce qui lui occasionne des blessures au visage et au cou. A partir de cet épisode, la vie sociale de Rafik s’est réduite telle une peau de chagrin parce qu'il se sentait perpétuellement menacé. Cette situation le décide alors à quitter l’Algérie coûte que coûte. En septembre 2009, il s’embarque sur un rafiot et parvient à gagner l’Europe. Il retrouve Amine à Paris, seule personne auprès de qui il veut construire sa vie aujourd’hui.

 

Depuis fin 2009, Rafik et Amine vivent donc en couple à Paris et veulent unir durablement leurs vies. Le couple, qui projetait de se pacser fin 2010, attendait de pouvoir attester d’un an de vie commune pour demander la régularisation administrative de Rafik avec l’appui de l’association ARDHIS.

 

Rafik a été arrêté lors d’un contrôle de police à Paris le 17 octobre dernier. Les services préfectoraux lui ont notifié un APRF et ordonné son placement en centre de rétention à Vincennes où il se trouve depuis. Par méconnaissance des voies de recours en rétention, faute d’interprète et d’assistance juridique, il n’a pu contester cette décision d’éloignement dans les délais prévus devant la juridiction administrative. Quant à la demande d’asile qu’il a pu formuler en urgence, celle-ci a été rejetée en 1ère instance par l’OFPRA. A ce stade tous les recours légaux suspensifs sont épuisés et un vol est programmé le 16 novembre courant pour le reconduire en Algérie.

 

* Rafik veut déposer un recours devant la Cour Nationale du Droit d’Asile pour faire valoir à nouveau ses craintes

* Rafik souhaite vivre avec Amine en France, une terre qui les protège

* Rafik ne peut pas retourner dans un pays où il se sent menacé


(1) Prénoms d’emprunt


Nous vous invitons vivement à manifester votre soutien à Rafik en sollicitant le Préfet de Police de Paris : voir le modèle de lettre ci-dessous.


Contacts du Préfet de Police pour envoyer votre lettre :

fax : 01 53 71 67 23

Email : prefpol.dpg-etrangers-secretariat@interieur.gouv.fr

 

Modèle de la lettre à envoyer :

 

A l’attention de M. le Préfet de Police

 

Monsieur le Préfet,

 

Je me permets d’attirer votre attention bienveillante sur la situation d’un jeune homosexuel algérien actuellement retenu au Centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes.

 

Rafik (1) est arrivé en France en décembre 2009 après avoir fui l’Algérie. Agent de la protection civile l’été sur la côte, il rencontre en 2006 Amine (1), ressortissant français, avec qui il noue une relation amoureuse.

 

Amine l’y retrouve plusieurs fois par an, lors de ses vacances en Algérie. Leur relation, bien que clandestine, suscite des rumeurs. L’Algérie pénalise l’homosexualité et, même si les arrestations sont rares, l’homophobie s'en trouve donc encouragée, conduisant fréquemment à des actes de persécution envers les personnes homosexuelles. En septembre 2007 Rafik est agressé physiquement, ce qui lui occasionne des blessures au visage et au cou. A partir de cet épisode, la vie sociale de Rafik s’est réduite telle une peau de chagrin parce qu'il se sentait perpétuellement menacé. Cette situation le décide alors à quitter l’Algérie coûte que coûte. En septembre 2009, il s’embarque sur un rafiot et parvient à gagner l’Europe. Il retrouve Amine à Paris, seule personne auprès de qui il veut construire sa vie aujourd’hui.

 

Depuis fin 2009, Rafik et Amine vivent donc en couple à Paris et veulent unir durablement leurs vies. Le couple, qui projetait de se pacser fin 2010, attendait de pouvoir attester d’un an de vie commune pour demander la régularisation administrative de Rafik avec l’appui de l’association ARDHIS.

 

Rafik a été arrêté lors d’un contrôle de police à Paris le 17 octobre dernier. Vos services lui ont notifié un APRF et ordonné son placement en centre de rétention à Vincennes où il se trouve depuis. Par méconnaissance des voies de recours en rétention, faute d’interprète et d’assistance juridique, il n’a pu contester cette décision d’éloignement dans les délais prévus devant la juridiction administrative. Quant à la demande d’asile qu’il a pu formuler en urgence, celle-ci a été rejetée en 1ère instance par l’OFPRA. A ce stade tous les recours légaux suspensifs sont épuisés et un vol est programmé le 16 novembre courant pour le reconduire en Algérie.

 

* Rafik veut déposer un recours devant la Cour Nationale du Droit d’Asile pour faire valoir à nouveau ses craintes

* Rafik souhaite vivre avec Amine en France, une terre qui les protège

* Rafik ne peut pas retourner dans un pays où il se sent menacé

 

Pour toutes ces raisons, au nom des droits humains et au nom du droit à la vie privée et familiale, je vous demande donc, Monsieur le Préfet de Police, de bien vouloir rendre sa liberté à Rafik en renonçant à une expulsion qui, programmée, semble inéluctable, et de donner vos instructions afin que l’APRF pris à l’encontre de Rafik soit abrogée et qu’il lui soit délivré une autorisation provisoire de séjour afin de lui permettre de mener sereinement sa procédure de recours auprès de la CNDA.

Veuillez agréer, Monsieur le Préfet de Police, l’expression de mes salutations distingué(e)s,

 

Organisation (s'il y a lieu), Nom, Prénom

Signature

 

 

(1) Prénoms d’emprunt

Par Daniel C. Hall - Publié dans : URGENT : Gays, militants et résistants !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Mardi 9 novembre 2 09 /11 /Nov 16:47

 


(6.12)

par Zanzi

indiana-jones-whip.jpg


PREVIOUSLY ON ZANZI AND THE CITY : cliquer ici.

 

Zanzi est en quête de l'âme sœur comme Henry Jones sénior est en quête du Graal, et « Junior » à la recherche de la Croix de Coronado. Il n'est, à cet égard, pas loin de penser que son âme sœur est morte depuis des siècles, et git sous un tumulus qu'il ne parvient pas à retrouver, tel un archéologue lancé à corps perdu sur la piste de son plus cher trésor. Un trésor dont la valeur serait d'autant plus inestimable qu'elle est purement sentimentale. Une valeur qui n'attend plus le nombre des années, tant celles-ci sont d'ores et déjà innombrables...

C'est dans cet état d'esprit qu'il accepta que le capitaine Martin Tremblay-Laflamme, de la police montée, lui présente son petit frère, Mariano. Haut de cinq pieds et sept pouces, Mariano Tremblay-Laflamme est à peu près de la même taille que Zanzi. Hmm, songea-t-il alors, c'est parfait pour les soixante-neuf. En bon natif du Septentrion, Zanzi ne perd jamais le nord, enfin presque jamais. Ils firent donc connaissance à l'heure du souper, par un beau soir de juillet, et ne purent se résoudre à s'en aller chacun de son côté, une fois le repas terminé. La nonciature n'étant pas loin, Zanzi résolut d'y emmener Mariano, curieux de découvrir ces lieux fantasmagoriques chargés de mystère.

Derrière la baie vitrée, ils admirèrent le coucher de soleil qui faisait scintiller des myriades d'étoiles de feu sur la rivière. Troublés par la beauté du spectacle, ils renversèrent une plante verte qui répandit son terreau sur la moquette. Qu'importe, le nonce n'en saura rien, il est en tournée apostolique. Ils se dirigèrent ensuite vers un sofa, certains de ne plus y donner du travail supplémentaire à la Sœur ménagère. C'est là qu'entre deux phrases, deux rires, deux secondes hors du temps, leurs lèvres se rencontrèrent pour la première fois. Dès lors, plus rien n'avait d'importance, plus rien d'autre ne comptait que les prémisses de cette romance.

Ils se quittèrent sans souiller les lieux par des gestes impurs, se promirent de se revoir, ce qu'ils firent quelques jours plus tard. Zanzi comprit très vite qu'il ne pourrait garder Mariano près de lui. Ses études étant terminées, il allait retourner chez ses parents pour y trouver du travail. Loin, très loin de Monkeytown, à des dizaines de lieues de là. L'été déjà bien entamé ne leur laissait donc plus qu'un mois pour profiter l'un de l'autre. Ils se revirent, sortirent et se montrèrent ensemble en société, à tel point que l'entourage de Zanzi le crut enfin casé. Cécilie von Blunwald, l'attachée cultuelle de la nonciature, en fut si heureuse qu'elle organisa une grande réception pour célébrer l'événement, sans se douter combien les apparences pouvaient être trompeuses.

Zanzi ne souhaitait que profiter de l'instant présent, sachant que tout serait très vite terminé. Au beau milieu de la soirée de Cécilie, il emmena Mariano admirer les Perséïdes au bord de la mer. Dans son cabriolet, Zanzi s'abandonna à l'ivresse d'un bonheur furtif, en regardant les étoiles filantes traverser le ciel, avec son flirt à côté de lui. Ils se retrouvèrent quelques jours plus tard, sur une plage presque déserte, où ils se blottirent l'un contre l'autre avant de s'élancer dans les vagues et que le crépuscule ne les contraignent à se replier à l'intérieur des terres.

Mariano partit comme prévu, et Zanzi ne versa pas de larmes. Au cours des cinq semaines que dura leur relation, pas une seule fois ils ne cédèrent à l'appel de la chair, se contentant de baisers et de caresses, parfois torrides. Il lui vint alors à l'esprit qu'il avait enfin vécu cette amourette de vacances, ce flirt d'adolescents qu'il n'avait jamais connu à l'âge où les jeunes vibrent de leurs premiers émois sentimentaux. Cette seule pensée suffit à le contenter et à lui rendre agréable ce qu'il venait de vivre, et dont il chérirait le tendre et pur souvenir jusqu'à la fin de ses jours.

 

 

TO BE CONTINUED...
Par Zanzi - Publié dans : HUMEUR : Zanzi and the City
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Lundi 8 novembre 1 08 /11 /Nov 16:02

http://www.maledial.com/blog/wp-content/uploads/2009/05/paris-foot-gay.jpg

 

Carrières-sous-Poissy s'engage contre l'homophobie

 

La ville de Carrières-sous-Poissy a signé la charte contre l’homophobie dans le football. La signature a eu lieu samedi 6 novembre 2010 lors d’un match amical opposant l’équipe du PLM Conflans au Paris Foot Gay.

L’équipe conflanaise et le club de Carrières-sous-Poissy ont également paraphé le document qu’ont déjà signé trois municipalités franciliennes : Montreuil, Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) et Clichy (Hauts-de-Seine).

 

PFG1.jpg

PFG2.jpg

PFG3.jpg

Paris Foot Gay

Chez Sida Info Service

190, boulevard de Charonne - 75020 Paris

Tel: 06.68.42.30.30

www.parisfootgay.com

Par Daniel C. Hall - Publié dans : URGENT : Gays, militants et résistants !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Dimanche 7 novembre 7 07 /11 /Nov 12:29


La bannière et la vidéo sont (c)
Syred Pictures
Les vidéos présentes et futures sont diffusées avec l'autorisation de Maykel himself.
Un grand merci à l'équipe de Rien de 9 !
Par Maykel - Publié dans : WEBSERIE : RIEN DE 9
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Samedi 6 novembre 6 06 /11 /Nov 12:24

http://4.bp.blogspot.com/_SNWhINHHc3Q/SqBFx2GWzEI/AAAAAAAABC4/ex5p-8SlUSY/s400/LOGOPYSCAP.jpg


Les vidéos sont (c) Univers-L.com
Les vidéos présentes et futures sont diffusées avec l'autorisation de
Isabelle B. Price et son équipe.
Par Isabelle B. Price - Publié dans : SERIE : LOS HOMBRES DE PACO
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Vendredi 5 novembre 5 05 /11 /Nov 16:52

(Some like it Camp)


par  Tom Peeping


 

Tom Peeping (T.P. pour les intimes, comme Tippi Hedren) aime se promener sur les chemins de traverse du 7ème art et de la télé et s’arrêter pour soulever des pierres. Les films qu’il y déniche, la plupart méconnus ou oubliés, méritent pourtant leur place près de l’arc-en-ciel. Camp, kitsch, queer ou trash, ils racontent une histoire du cinéma des marges. Gays sans l’être tout en l’étant, ils espèrent retrouver dans cette rubrique leur fierté d’être différents.

Tom Peeping, quand il ne visionne pas quelque rareté de derrière les fagots, est conférencier en histoire de l’art et fréquente assidûment les musées parisiens pour y gagner sa vie de vive voix. Il est né dans les Sixties, la décennie du Pop Art, des Yéyés et des Go-Go Girls. Et il rejoint, pour notre (et votre) plus grand plaisir, l'équipe du blog Les Toiles Roses.

 


Je ne sais pas si vous avez entendu parler de ce documentaire : Prodigal sons. C’est dans l’excellent blog américain "Jew Eat Yet" ? que je l’avais vu mentionné il y a près de deux ans déjà et depuis, j’avais essayé de le dénicher sans succès. Un triomphe dans la plupart des festivals dans lesquels il est passé (quelques critiques assassines aussi, ça va toujours avec), un site web dédié (http://www.prodigalsonsfilm.com/), l’énergie de sa communicante réalisatrice et un buzz continuel dans le webspace du cinéma alternatif m’avaient vraiment aiguisé l’intérêt. Sorti en DVD aux États-Unis fin juillet dernier, j’ai enfin pu le voir et l’expérience a répondu à mes attentes. Et au-delà.

Prodigal sons est un documentaire de 86 minutes sur un sujet des plus banals qui soit quand on a une caméra à la main et une occasion de se retrouver en famille : le portrait de cette famille justement, avec ce que cela peut présager d’originalités mais aussi, en même temps, de lieux communs. Toutes les familles ont des polichinelles dans le placard.

Le film de Kimberly Reed, tout en restant dans les codes structurels bien calibrés du reportage familial, les fait pourtant exploser par les invraisemblables (et pourtant vraies) personnalités et identités des quelques personnages auquel il s’attache et par ses brusques changements de cap. Comme l’a remarqué très justement la critique de Time Out New York, Prodigal sons est un film doté de twists outranciers dignes d’un mélodrame d’Almodovar. Seulement Almodovar est dans la fiction, Reed dans la réalité. Et en voyant le film, on doit presque se pincer pour y croire.

Attention, les paragraphes ci-dessous déflorent les révélations de Prodigal sons. Il n’est tout simplement pas possible de parler du film sans les évoquer. Pour celles et ceux (et les autres) qui souhaitent garder intact la stupeur de la découverte, commandez et regardez le film d’abord. Vous reviendrez à cet article par la suite. Vous aurez été prévenus.

La réalisatrice Kimberly Reed (née en 1967)

En 2008, la réalisatrice américaine Kimberly Reed retourne pour la première fois depuis dix ans dans la ville où elle a grandi, Helena (dans le Montana), pour participer à la réunion des vingt ans des anciens élèves de sa High School et pour rendre visite à sa mère. Elle a demandé à ses deux frères d’y être aussi en leur annonçant qu’elle envisageait de réaliser un film à l’occasion de leurs retrouvailles. Dans la voiture qui s’approche d’Helena, Kimberly semble quelque peu angoissée à l’idée de ce qui l’attend.

D’abord parce que ses anciens amis de collège ne connaissent pas du tout Kimberly Reed : ils n’ont que le souvenir de Paul McKerrow, le quaterback star de l’équipe de football américain de leur lycée au milieu des années 80. Ils ont bien sûr entendu parler de sa « transition » mais ont du mal à imaginer leur ex-athlète au féminin. Car Kimberly Reed est transsexuelle : Paul McKerrow a quitté le Montana après la fin de ses études secondaires pour effectuer sa transition et commencer sa nouvelle vie à San Francisco, puis à New York où elle réside et travaille depuis plus de dix ans. Malgré ses craintes, la réunion des anciens élèves se passe parfaitement bien et Kimberly répond aux questions des uns et des autres qui semblent sincèrement heureux de la retrouver sous sa nouvelle identité. Son meilleur ami de l’époque se rappelle avec humour leurs sorties entre potes et son ancienne girlfriend la regarde avec tendresse, seulement interloquée que Kimberly soit venue à la réunion accompagnée de sa partenaire, Claire : elle lui demande (question légitime et abyssale) pourquoi elle est devenue femme si c’est pour être lesbienne ?

 

Kimberly revient sur le terrain de foot de son lycée et nous pose la question terrible : peut-on revenir vers ce (ceux) qu'on a quitté(s) ?

Kimberly est aussi angoissée, parce qu’elle va retrouver Marc, son frère aîné, et que leurs relations n’ont jamais été très bonnes. Marc est le premier enfant de la famille, un enfant adopté. Kimberly (Paul à l’époque) est née juste un an après l’arrivée de Marc et celui-ci a toujours considéré son cadet comme un rival pour l’amour de leurs parents : leurs relations de jeunesse en ont toujours pâti. Et surtout, à 21 ans, Marc a été victime d’un grave accident de voiture dont les séquelles ont nécessité une chirurgie au cerveau : souffrant d’instabilité psychique, il est proie à de brusques accès de violence et de pertes de mémoire qui sont partiellement traités par une impressionnante pharmacopée. Kimberly appréhende leurs retrouvailles qui, en effet, vont se révéler conflictuelles puisque Marc se plaît à revivre mentalement son passé « normal » d’avant son accident alors que Kimberly, elle, ne veut plus entendre parler de cette époque où elle se sentait mal dans son corps de garçon. Leur frère cadet, Todd, né un an après Paul (Kimberly) et qui est aussi aux retrouvailles, reste à distance des tensions entre son frère et sa sœur : il a choisi depuis longtemps de vivre son homosexualité tranquille à San Diego. Trois autres femmes sont présentes dans le film : la mère, l’amie de Kimberly et la femme de Marc. Elles sont les témoins actifs des événements qui vont se précipiter.


Kim (Paul) à gauche, Marc à droite et leurs parents à la fin des Sixties


Les scènes familiales se suivent, ponctuées par des crises de violence physique et verbale, des excuses et des pleurs. Des péripéties amplifiées par un stupéfiant coup de théâtre. Marc veut savoir depuis des années qui sont ses parents biologiques et Kimberly l’aide dans ses recherches, espérant que le fait de connaître la réponse lui procurera un peu de sérénité. La surprise est totale lorsque la famille apprend que Marc est en fait le petit-fils... d’Orson Welles et de Rita Hayworth (le fils de leur fille Rebecca). Ce même Marc qui avait été adopté, bébé, par les McKerrow après que sa mère Rebecca Welles l'ait abandonné. Kimberly décide alors de contacter Oja Kodar, la dernière compagne et la muse d’Orson Welles, qui vit maintenant en Croatie où elle les invite à venir la rencontrer. La rencontre est chaleureuse et émouvante (Oja Kodar pleure d’émotion en donnant à Marc des vêtements et souvenirs de son grand-père) et un réalisateur qui est sur place pour faire un documentaire sur Welles en profite pour interviewer Marc, le petit-fils tout juste retrouvé du génial cinéaste. Mais Marc blesse (inconsciemment ?) sa sœur en montrant à Oja et au réalisateur plein de photos de son enfance où apparaît partout Kimberly sous l’identité qu’elle veut effacer : Paul. Le retour aux États-Unis se fait dans la rancœur entre le frère et la sœur.


Orson Welles, Rita Hayworth et leur fille Rebecca en 1944
Marc est le fils de Rebecca


La seconde partie du documentaire s’attache plus au personnage de Marc, éclairé par son identité biologique nouvellement retrouvée. L’émotion et le stress de l’épisode croatien a provoqué chez lui une aggravation de son état psychique et les actes de violence se multiplient, jusqu’à une tentative d’étranglement de son frère Todd et une menace au couteau contre toute la famille rassemblée lors du réveillon de Noël. La police, appelée par sa mère, le fait mettre en prison où Kimberly va le visiter. Quelque temps plus tard, il est placé sous soins psychiatriques en maison de repos. Kimberly a décidé de prolonger son séjour dans le Montana et à chacune de ses visites à son frère, la caméra tourne et le film se construit. Dans les dernières scènes, lorsque Kimberly repart pour New-York, on comprend que l’avenir n’est pas bien engagé pour Marc et que l’hôpital psychiatrique risque de devenir sa résidence permanente. Les retrouvailles familiales prévues ont donc eu lieu mais la famille, au lieu d’être réunie, s’en est retrouvée irrémédiablement fracturée.

Marc, sa mère adoptive et sa sœur Kimberly

Voilà en quelques paragraphes le sujet de Prodigal sons, un documentaire qui réserve un nombre étonnant de surprises, de scènes et des thèmes d’une force peu commune. J’ai été complètement captivé par l’histoire (comment ne pas l'être ?) et bouleversé par la puissance des émotions qui s’en dégagent ainsi que par les personnalités de ses principaux protagonistes. Kimberly Reed, en prenant sa caméra pour aller filmer sa ville d’enfance et sa famille, a pris un sacré risque. Et c’est ce qui ajoute à la richesse et à la tension de ce documentaire hors norme. Mais c’est aussi quelque chose qui me gêne, non pas dans la forme du film, mais dans son éthique.

En allant confronter son frère Marc et en lui faisant subir le stress d’un tournage (sans compter celui de la révélation de son illustre lignée), Kimberly joue avec le feu. Marc est malade psychiatriquement et le spectateur est témoin d’une bataille féroce basée sur la frustration et dont tous les participants n’ont pas les mêmes cartes en main. Les coups de théâtre successifs viennent pour la plupart des réactions de Marc aux événements qui lui arrivent et aux vieilles rancunes familiales, compliquées par son état instable. La maladie de Marc, si elle est bien le moteur du film, fait considérer celui-ci sous un angle déstabilisant pour le spectateur. Car il peut faire soupçonner Kimberly Reed de manipulation de Marc à des fins sensationelles. Et c’est ce qui me pose problème. C’est Kimberly qui savoure aujourd’hui, après les douleurs d’hier, le triomphe de son film dans les festivals où il est projeté. C’est elle qui est invitée par Oprah Winfrey pour en parler dans son émission en étant vue par des dizaines de millions de spectateurs dans le monde. Kimberly Reed a rencontré le succès avec Prodigal sons et s’est construite son identité de documentariste à succès grâce à son film stupéfiant. Par lui, elle s’assure sa carrière, sa sécurité et son identité tout en ayant tué une bonne fois pour toutes Paul McKerrow, le séduisant quaterback qu’elle était dans sa vie d’avant.


Mais Marc ? Il est mort le 18 juin 2010, un peu moins de deux ans après la première présentation du film au festival de Telluride, après une détérioration rapide de son état. Dans une scène très forte du film (et qui prend rétrospectivement une force supplémentaire), il accuse sa sœur de vouloir qu’il meure pour qu’elle n’ait plus, à chaque fois qu’elle le voit, à devoir affronter son propre passé. L’ombre tragique de Marc plane donc sur Prodigal sons pour qui le découvre aujourd’hui. Et on ne peut s’empêcher d’avoir un pincement au cœur quand on pense à la responsabilité de la cinéaste face à la détresse sur laquelle elle a braqué ses lumières. Marc et Kimberly ont passé une bonne partie de leur vie à s’affronter. Mais qui a eu le dernier mot ?


Kimberly aide Marc à mettre le gilet de son grand-père, Orson Welles,
avec lequel il partage une ressemblance frappante
 
Prodigal sons est un film important, l'un des documentaires les plus extraordinaires – au sens propre du terme – de ces dernières années. Un film d'une profondeur vertigineuse qui s’imprime de façon durable dans la tête de ses spectateurs (en tous cas, il s’est imprimé dans la mienne). Le transsexualisme n’en est pas le sujet, pas plus que le retour, la famille, la folie, l’amour, la haine, Orson Welles ou Rita Hayworth. Tous ces thèmes sont présents dans le film. Mais l'œil du cyclone de Prodigal sons est peut-être le cinéma lui-même, son pouvoir de fascination, de construction et de destruction. Et au-delà, celui de la responsabilité de l’artiste quand il travaille sur le vivant. Au risque d'obliger ses sujets à regarder le Soleil en face.

Le DVD de Prodigal sons est édité par First Run Features (USA) en Zone 0. Format 16/9. Pas de sous-titres.




Par Tom Peeping - Publié dans : CERTAINS L'AIMENT CAMP
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Vendredi 5 novembre 5 05 /11 /Nov 16:00

Beeldens.jpg

 

«  (…) Je la soutiens, et ce n’est pas un crime de vouloir que les couples homo puissent avoir une reconnaissance au niveau fiscal, mais aussi en terme de droits de succession. Ils sont des couples comme les autres, et méritent à ce titre d’être protégés comme les autres. En matière d’avortement, je suis favorable moi aussi à ce que la dépénalisation soit maintenue. »

«  [à propos du mariage homo] Jereste ouvert sur cette question, pour moi elle ne revêt pas d'importance extrême. D'ailleurs j'estime pour ma part que le mariage homo ne constitue pas une atteinte à la politique de la famille, et ne la décourage pas. C'est je crois, plus une question d'opinion. »

Franck Beeldens, candidat Front National aux élections cantonales de 20 et 27 mars 2011 sur le canton d'Asnières-Nord, soutien de Marine Le Pen à la succession de Jean-Marie Le Pen, vice-président du Parti pour le respect.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Jeudi 4 novembre 4 04 /11 /Nov 15:36

bourbon1.jpg

 

« Je ne peux pas en conscience rester neutre entre une gourgandine sans foi ni loi, sans doctrine, sans idéal, sans colonne vertébrale, pur produit des media, qui a multiplié les purges depuis des années et dont l’entourage n’est composé que d’arrivistes sans scrupules, de juifs patentés et d’invertis notoires et un homme droit, humble, rassembleur, érudit, à la vie exemplaire, d’une exquise courtoisie, très apprécié dans toutes les composantes de la droite nationale et radicale, tant en France qu’à l’étranger, et aux convictions très solides. » Jérôme Bourbon, à propos de Marine Le Pen, membre sédévacantiste de l’Oeuvre française, à la tête de Rivarol, hebdomadaire le plus ancien de l’extrême droite, exception faite de l’Action française, engagé ouvertement derrière Bruno Gollnisch dans la campagne interne au Front National. Entretien publié le 16 octobre sur le site catholique traditionnaliste e-deo.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Mercredi 3 novembre 3 03 /11 /Nov 17:35

afficheLGBT2.jpg

Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Mercredi 3 novembre 3 03 /11 /Nov 16:05


Dans un avion d’Air France, l’hôtesse demande à un petit jeune homme très gay assis à côté d’un vieil homme musulman :

— Désirez-vous un whisky, monsieur ?

Le petit jeune homme accepte avec plaisir et est immédiatement servi. L’hôtesse se tourne alors vers le vieux monsieur :

— Et vous, monsieur, désirez-vous un whisky ?

Le vieil homme s’indigne :

— Jamais mademoiselle ! Ma religion me l’interdit !!! Je préfère être violé par douze malabars que boire une goutte d’alcool !

Alors le petit jeune homme rend son verre vide et rouspète auprès de l’hôtesse :

— Ce n’est pas très professionnel ! Vous auriez quand même pu me prévenir qu’on avait le choix !


zaza.jpg



Par Daniel C. Hall - Publié dans : LA BLAGUE POURRIE DU JOUR
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Mardi 2 novembre 2 02 /11 /Nov 13:58

Ricky-Martin-gay.jpg

 

« Quand j’ai réalisé, d’accord, je viens d’envoyer le mail, waouh… j’étais seul. J’étais seul dans mon studio. Mon assistant est entré et j’ai commencé à pleurer comme un bébé. J’ai pleuré ! (…) Je n’en pouvais plus de cacher mon homosexualité. C’était trop dur. La chose la plus importante, ce sont mes enfants…. Quand je les tenais dans mes bras, je me demandais ce que j’étais en train de faire, si j’allais leur apprendre à mentir (…) En prenant mes petits dans mes bras, j’ai senti qu’il était temps de l’annoncer au monde entier. » Ricky Martin, interview télévisée pour Oprah Winfrey, novembre 2010, à propos de son coming out du 29 mars 2010 sur son blog.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Mardi 2 novembre 2 02 /11 /Nov 13:19

berlusconi.jpg

 

« Je travaille depuis toujours à un rythme infernal et s'il m'arrive de temps en temps de regarder les belles femmes... eh bien il vaut mieux avoir la passion des belles femmes qu'être gay (…) » Silvio Berlusconi, chef du gouvernement italien, de nouveau (c’est une habitude) pris dans une affaire de prostituée mineure, en inaugurant le salon de la moto dans la banlieue de Milan (nord), 2 novembre 2010.

 

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Dimanche 31 octobre 7 31 /10 /Oct 10:30


La bannière et la vidéo sont (c)
Syred Pictures
Les vidéos présentes et futures sont diffusées avec l'autorisation de Maykel himself.
Un grand merci à l'équipe de Rien de 9 !
Par Maykel - Publié dans : WEBSERIE : RIEN DE 9
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Texte Libre

Commentaires

Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés