Mercredi 12 septembre
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10:00
Fiche technique :
Avec Kazuya Takahashi, Seiichi Tanabe et Reiko Kataoka. Réalisé par Ryosuke Hashiguchi. Scénario de Ryosuke Hashiguchi. Directeur de la photographie : Shogo Ueno. Compositeur : Bobby
McFerrin.
Durée : 135 mn. Disponible en VO, VOST et VF.
Résumé :
Naoya est un homosexuel replié sur lui-même, accompagné par un sentiment étrange que quelque chose manque à sa vie. Il fait la connaissance de
Katsuhiro et succombe immédiatement à son charme.
Tous les deux commencent à se fréquenter quand apparaît Asako, une jeune femme qui propose à Katsuhiro de faire un enfant. Naoya ne peut envisager une telle éventualité et se montre agacé par
Katsuhiro, son caractère indécis et la façon dont il dissimule son homosexualité.
Le frère de Katsuhiro et sa belle-soeur choisissent ce moment difficile pour leur rendre visite. Cette dernière est en effet préoccupée par le risque de dispersion des biens familiaux : elle
connaît le passé d'Asako et tente de mettre un terme à sa relation avec Katsuhiro.
L'avis de Bastian Meiresonne :
Le couple gay fraîchement formé par Katsuhiro et Naoya doit affronter leur première épreuve d'amour le jour où la marginale Asako demande à
l'un d'entre eux de lui faire un enfant. Sérieusement ébranlés, les deux hommes se posent la question de la paternité, quand une envahissante collègue de travail, puis la famille s'en mêlent.
Six ans séparent Hush! du précédent film de Ryosuke Hashiguchi, Grains de Sable. Abordant volontairement différentes choses, le réalisateur a voulu laisser un
peu de temps pour prendre du recul sur son métier et réfléchir à une nouvelle histoire qui lui tenait vraiment à cœur. L'attente était donc d'autant plus insupportable, que ses deux premiers
avaient laissé une forte impression. Petite fièvre des vingt ans avait relancé la mode des petits films indépendants, alors que Grains de sable confirmait
l'habile maîtrise du cinéaste à brosser des sensibles portraits doublé d'un sens très juste de la mise en scène.
Bénéficiant d'un bon marketing, le public se bousculait pour aller voir ce qui semblait une franche comédie sur l'homosexualité. Sujet plus ou moins tabou au pays du Soleil Levant, le sujet n'est
que rarement abordé et souvent de manière exagérée et caricaturale ; pourtant une certaine curiosité d'une population intriguée et mal informée peut expliquer l'attente fiévreuse à la sortie du
film. Les avis étaient au final très partagés, dû sans doute en grande partie à cause de l'hybridité des genres. Comme si Hashiguchi avait eu hâte de rattraper le temps passé à ne plus tourner,
il surcharge son film de moult directions et de thèmes donnés.
Son point de départ est la rencontre peu spectaculaire de deux gays esseulés. Arrivant à la trentaine, ils se mettent en couple, alors que peu de choses semblent vraiment les lier. Leur fragile
relation sera mise à rude épreuve, lorsque l'un d'eux s'éprend de l'idée de plus en plus obsessionnelle à concevoir un enfant pour une autre âme esseulée, mais féminine. Prétexte à des lourdes
comédies caricaturales par ailleurs, Hashiguchi exploite moins quelques clichés standardisés par la norme, que de s'attacher plutôt aux interrogations intérieures de ses personnages. En cela,
Hashiguchi a bien caché son jeu : comme le titre (ne l'indique pas), Hush! – « Chut ! » en français - parle du non-dit et plus particulièrement au sein de la cellule
familiale.
L'homosexualité cachée au proche entourage (famille et collègues de travail), secrets de famille (une tentative d'empoisonnement, un mariage arrangé), le profond mal-être des personnes (les trois
protagonistes principaux, Nagata, la belle-sœur), autant d'ulcères, qui seront crevés au cours d'une intrigue finalement loin d'être comique ; même les expérimentations farfelues de reproduction
canine se font dans l'arrière-boutique et personne n'ose dire à la propriétaire du malheureux chien cobaye, que ce n'est qu'un bâtard et non pas un chien de pure race.
Un scénario donc difficilement prévisible, mais plutôt par son éclatement structurel partant dans tous les sens, que par une intrigue riche en véritables rebondissements. L'aboutissement final
est quant à lui trop décousu pour réellement toucher le spectateur. La mise en scène est indigne du réalisateur, qui se contente de tourner en longs et larges plans-séquences paresseux. La
musique du célèbre Bobby McFerrin n'est de plus pas du tout adaptée aux images. Reste le portrait des protagonistes principaux et de forts personnages secondaires évoluant autour d'eux ;
malheureusement cette disparité de sous-intrigues rend tout attachement impossible. En résulte un film inégal, qui aurait mérité de se concentrer sur les aspects plus approfondis du scénario pour
convaincre totalement ; d'autant plus étonnant à l'égard des précédents métrages de Hashiguchi autrement plus maîtrisés.
L'avis de Cinéasie :
Hush! est un film beau et romantique où l'on comprend que l'amitié
est la source de tout. Ce film traite de l'homosexualité affirmée et refoulée avec gaieté parfois et sincérité sûrement.
En imposant un rythme lent et une mise en scène maîtrisée, le cinéaste réussit, sans forcer le trait, à cristalliser, à travers les incertitudes de ses deux héros, les moeurs d'aujourd'hui, où
s'entrechoquent traditions puritaines et évolution des mentalités.
Le scénario affectionne les ellipses radicales et la mise en scène s'étire en de longs plans-séquences aux cadres magnifiquement composés. La sobriété des comédiens achève de donner à
Hush! son charme paradoxal : comment un film empreint d'une telle pudeur parvient à émouvoir autant...
Un film sensible, intelligent et drôle sur les problèmes que peuvent rencontrer un couple d’homosexuel dans la vie de tous les jours. De plus il offre une vision très optimiste de la vie en
générale. Le tout accompagné par une musique de Bobby Mc Ferrin que certains reconnaîtront puisque ce n'est ni plus ni moins la musique qui fut utilisée pour les premières pubs de la
Twingo.
Pour plus d’informations :
Secrets de tournage
Par Bastian Meiresonne (Eiga go go !) et Cinéasie
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Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Mercredi 12 septembre
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Par Daniel C. Hall
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Publié dans : WEBSERIE : NOUS TOUS
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Mardi 11 septembre
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Par Daniel C. Hall
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Publié dans : WEBSERIE : NOUS TOUS
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Dimanche 9 septembre
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02:23
La bannière et la vidéo sont (c) Films entre
potes
Les vidéos présentes et futures sont diffusées avec l'autorisation de Laurent himself.
Un grand merci à l'équipe de G !
Par Daniel C. Hall
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Publié dans : WEBSERIE : G ! et FOUP
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Dimanche 9 septembre
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02:19
Le comédien Jerry Lewis, 81 ans, fait scandale aux États-Unis après avoir utilisé le
« F word » (Faggot = Pédé) lors du Téléthon 2007 américain. Dans un communiqué rendu public par CNN, Jerry Lewis s'est excusé. Voici sa
déclaration : « Je présente mes excuses à toute personne qui s'est
sentie offensée (...) J'ai de toute évidence mal choisi mes mots. Tous ceux qui me connaissent savent que je n'ai pas de préjugés à cet égard. Le succès du Téléthon et tout le bien qui en
découlera, ne devraient pas être gâchés à cause de ce mot malheureux. J'assume la responsabilité de ce que j'ai dit. Il n'y a aucune excuse, je suis
désolé ».
Par GayClic.com
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Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Samedi 8 septembre
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11:37
La bannière et la vidéo sont (c) Les Dames de
l'Immeuble
Les vidéos présentes et futures sont diffusées avec l'autorisation de Niko himself.
Un grand merci à toi, Niko !
Par Daniel C. Hall
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Publié dans : WEBSERIE : Niko perd les pédales !
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Samedi 8 septembre
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02:15
« Arriver à présenter le journal télévisé a été pour moi une grande conquête et j'espère que cela
représentera un signal fort pour tous les homosexuels qui vivent leur condition presque dans la honte, en se cachant. » Stefano Campagna, célèbre présentateur du journal télévisé de la matinée sur
la Rai, chaîne la plus regardée d'Italie.
Par GayClic.com
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Vendredi 7 septembre
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01:59
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BILLET
PUBLIÉ SUR CE BLOG !
Par Daniel C. Hall
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Publié dans : LES NEWS ROSES
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Jeudi 6 septembre
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11:20
« Là-dedans, il cachait, notre camarade, des cigarettes, et une brosse à dents, même qu'on en rigolait tous, de ce soin
peu commun, alors, qu'il prenait de ses dents, et que nous on le traitait, à cause de ce raffinement insolite, ̎d'homosexuel̎ ». Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline,
Biographie.
Par Daniel C. Hall
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1
Jeudi 6 septembre
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06
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10:58
Par Daniel C. Hall
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Mercredi 5 septembre
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09:57
Par Daniel C. Hall
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Mardi 4 septembre
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/09
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09:55
Par Daniel C. Hall
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Lundi 3 septembre
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09:52
Par Daniel C. Hall
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Publié dans : WEBSERIE : NOUS TOUS
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Dimanche 2 septembre
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/09
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09:59
La bannière et la vidéo sont (c) Films entre
potes
Les vidéos présentes et futures sont diffusées avec l'autorisation de Laurent himself.
Un grand merci à l'équipe de G !
Par Daniel C. Hall
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Samedi 1 septembre
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/09
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09:49
Par Daniel C. Hall
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Publié dans : WEBSERIE : NOUS TOUS
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Vendredi 31 août
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09:27
Fiche technique :
Avec Sean Galuszka, Richard Alan Brown, Natalie Avital, Dan Glenn, Linda Pine et Susan Spano. Réalisation : Thomas Jason
Lewis. Scénario : Thomas Jason Davis. Musique : Adam Gubman. Image
: Jeff Gatesman. Montage : Jeff Gatesman.
Durée : 101 mn. Disponible en VO et VOST.
Résumé :
Ajay (Sean Galuszka) ramène chez lui un body-buildé un peu flapi mais très entreprenant. Les deux hommes commencent à s'embrasser mais
rapidement leur étreinte vire à la bagarre. Ajay est assommé et violé par le costaud. Le lendemain, Ajay se réveille et découvre qu'il a été infecté par une maladie sexuellement transmissible
qu'il n'aurait pas pu prévoir : le vampirisme.
Persuadés qu'il souffre de dépression, deux amis, Teague (Richard Alan Brown)
et Floor (Dan Glenn) l'embarquent pour un week-end à Las Vegas afin de lui
changer les idées. Ils trouvent une chambre dans un motel du désert des Mojaves, à proximité de la ville du jeu où Ajay trouvera à se repaître...
L’avis de Bernard Alapetite :
Premières images : deux mecs, pas terribles, la trentaine fatiguée,
sont aux prémices du coït. Le visiteur, genre culturiste avachi, veut baiser son hôte. Ce dernier, déjà en position,
n’attend que ça et propose au malabar une capote. Le gros la refuse. Le propriétaire s’énerve, n’a plus envie du mastard et
veut le virer. Ce dernier le prend très mal et assomme son partenaire d’un direct. L’écran devient noir, puis vire au rouge, générique.
Après l’intermède, on retrouve notre victime très déprimée par son agression. Histoire de se remettre, il passe d’adorables souris blanches au mixer pour
en boire le jus en guise de fortifiant... Si vous aimez le cinéma, il est
probable que vous n’êtes pas arrivé jusque là. Je vous déconseille d’aller plus loin dans cette daube. Le pire est à venir.
Après ce départ sur les chapeaux de roue comme on disait du temps de la manivelle et des rosengarts, le scénariste – qui est aussi le cinéaste – ne
sait pas quoi faire de son vampire ; n’ayant pas les moyens financiers
de le faire évoluer en ville, il le parque dans un motel de seconde zone. Il lui autorise tout de même quelques excursions à Las Vegas, que l’on ne verra jamais, mis à part quelques images
récurrentes du strip en accéléré, pour... se nourrir. L’action si l’on peut dire se traîne ainsi plus de 90 mn meublées par la ridicule histoire d’amour entre le monstre et Teague, un jeune homme
poupin amoureux transi d’Ajay avant sa transformation.
Cette love story est aussi ratée que le reste. Seule distraction au énième degré : les vêtements du jeune homme que l’on croirait
sortis d’un « chic parisien » d’une sous-préfecture dans les années soixante. Cette série Z glauque est aussi mal jouée qu’elle
est mal dirigée. Les scènes de vampirisme sont grotesques. L’image est granuleuse et le point évanescent. Il n’y a guère que le cadrage à sauver de ce premier film dont on espère pour l’amour du cinéma que ce sera le dernier de son réalisateur.
Mis à part le blond de la quincaillerie, joué par un acteur habitué au porno, pas mal du tout, qui sera le dernière steak humain d’Ajay, les mecs en plus sont assez moches.
Pour aggraver son cas, le metteur en scène n’a pas une once de second dégré ni d’humour. C’est glauque, ça ne fait même pas
peur, avec pour « agrémenter » le tout un soupçon de scatologie et
de cruauté envers les animaux.
Conseillons à ceux qui aiment mélanger film d’horreur et film gay d’aller voir du côté de la pléthorique filmographie de David de Coteau. Les acteurs y jouent aussi mal que dans Scab mais ils sont très
mignons et au moins, c’est un cinéaste qui ne se prend pas au sérieux.
Vous avez compris : Scab est une horreur de film et
pas un film d’horreur.
Pour plus d’informations :
Par Bernard Alapetite
-
Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Jeudi 30 août
4
30
/08
/Août
13:26
Le Sénateur Républicain Larry Craig, surpris en juin dernier dans les toilettes d'un aéroport du Minnesota pour des gestes déplacés envers un policier en civil,
a tenté de désamorcer le scandale en déclarant mardi lors d'une conférence de presse : « Soyons clairs, je ne suis pas gay, je n'ai jamais été gay ».
Ayant plaidé coupable dans un premier temps, Larry Craig, avait payé plus de 500 dollars d'amende et obtenu la suspension d'une condamnation à 10 jours de
prison. Mardi, devant les caméras de télévision, il a déclaré qu'il avait fait erreur en plaidant coupable : « Je n'ai rien fait de mal à l'aéroport de Minneapolis, je n'ai rien
fait de mal », a-t-il répété dans sa déclaration. « Au moment de l'incident, je me suis plaint auprès de la police sur le fait qu'ils avaient mal interprété ma conduite
(...) J'aurais dû recourir aux conseils d'un avocat pour résoudre cette question. Rétroactivement, je n'aurais pas dû plaider coupable. »
Un scandale qui tombe bien mal pour ce Sénateur... qui, rappelons-le, en farouche défenseur des bonnes moeurs est réputé pour ses prises de position anti-gay...
Mercredi 29 août
3
29
/08
/Août
06:29
Par Daniel C. Hall
-
Publié dans : WEBSERIE : NOUS TOUS
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Mercredi 29 août
3
29
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/Août
05:20
Photo gauche : Zanzi pose pour une marque de jeans / Photo droite : La poitrine généreuse de Queen of
Sheba
(c) Zanzi
Pour ce dernier billet, je ne mets pas de (sous-)titre. Je n’ai pas pu choisir entre « Le premier jour du reste de ma vie »,
« Love actually », « Farewell my lovelies », « Zanzi’s Party », etc. Pas le temps de faire original, je vais rester sobre. La suite ne l’est pas.
Comme l’a expliqué Daniel avec ses mots à lui dans l’un de ses billets, j’avais invité de nombreuses personnes, dont (presque) tous mes ex,
des amis et des membres de ma famille à venir fêter autour de moi mon départ à Caribouland. TiFrère m’avait proposé d’organiser la fête au Presbytère, puisque que mon appart a été vidé le 8
août, mais vu le nombre d’invités il me fallait une surface plus grande alors j’ai demandé à mon ami Amar, peintre de renom et grand organisateur de
fiestas, si je pouvais faire la mienne chez lui. Comme il a un cœur d’or et un grand sens du marketing, il a tout de suite accepté.
Photo gauche : Charlène Lopez drague un hippie / Photo droite : Moment privé dans les toilettes (est-ce Juju à droite
?)
(c) Zanzi
Passons les détails mineurs et venons-en directement aux choses sérieuses. Il y avait des invités de marque ! Mon frère Jay, sa femme, la sœur de ma belle-sœur, le parrain de ma nièce et
son mari représentaient la famiglia Zanzi. Les special guest stars de cette soirée phénoménale étaient la sculpturale Queen of Sheba et la divine déesse Charlène
Lopez.
Quel honneur !!! Quel bonheur intersidéral !!! Je n’avais pas connu une telle joie depuis que j’ai retrouvé mon visage. Même Daniel, retenu dans son bled par des obligations familiales, a téléphoné pour participer à l’événement de
l’année du siècle. Ce coquin a donné mandat à TiFrère de m’embrasser sur la bouche et de me faire des papouilles embarrassantes devant tout le monde.
Photo gauche :
De la Romance... / Photo droite : ... de la Passion...
(c) Zanzi
Presque tous mes ex n’ont pu venir, mais je dois vous dire qu’il y avait quand même un comédien américain, un trendy boy, un grand rémois, un grand alsacien (tiens tiens, mais qui
donc ?) qui a eu la présence d’esprit d’amener avec lui une bombasse qui a fait le bonheur de Queeny qui ne s’en tenait plus d’excitation, un bel allemand habillé en rocker anglais, un
grand critique de cinéma, de vieux amis très chers (au moins 10.000 euros l’unité) et même des filles pour agrémenter cette soirée
multiculturelle ! Il y avait aussi l’un de mes chéris à qui je vais beaucoup manquer (et vice-Verseau). Charlène a fait sa truie et n’a pu s’empêcher de le draguer (entre autres). C’est
de ma faute : le dress-code était « petite cochonne sexy ».
Tous les ingrédients d’une bonne soirée étaient réunis pour en faire un grand succès : de l’alcool comme s’il en pleuvait, des invités
bourrés, du sexe, de l’exhibitionnisme dans les toilettes, du roulage de pelles, de la drague à deux balles, des voisins grincheux qui appellent la police à cause du tohu-bohu… sans oublier
la quiche et le gâteau au chocolat de TiF dont les heureux convives se sont régalés. Mais aussi de la romance, de la passion, et des adieux macbealiens. A must see !
Photo gauche : ... et de la Luxure ! / Photo droite : Des Stars en pleine lumière !
(c) Zanzi
Mission accomplie : de nouvelles amitiés se sont nouées durant la soirée, des salives se sont mélangées, des corps se sont touchés… Tout le monde m’a promis de venir me rendre visite
dans ma grande et sublime maison cariboulandaise qui pourra accueillir au moins cinq fois plus d’invités (samedi 25 août nous étions 28) pour des garden-party à répétition (même inside the
house, car il y a un jardin d’hiver). Goodbye Paris ! Au revoir mes chéris-chéries. Kiss y’all !
Pour lire le précédent épisode de Zanzi and the City, cliquez ici.
Par Zanzi
-
Publié dans : HUMEUR : Zanzi and the City
13
Mardi 28 août
2
28
/08
/Août
10:25
« Je suis pour le mariage homosexuel. Je ne vois pas pourquoi on devrait épargner quelqu'un parce qu'il est homo ! »
Michel Galabru, Pensées, répliques et anecdotes (2006)
Par Daniel C. Hall
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Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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