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Blog LGBT du rédac' chef :
Daniel Conrad

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Daniel Hall


secondé par :

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L'équipe des "piliers" en exclusivité
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Shangols, Boris Bastide, Stéphane Riethauser,
 
Niklas,
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 Jag1366, Hari3669, Maykel Stone,
Marc-Jean Filaire,
Isabelle B. Price, Psykokwak,
Rémi Lange
, Henry Victoire, Didier Roth-Bettoni
et
BBJane Hudson...

Mais aussi, depuis, Cyril Legann,
Gérard Coudougnan (Livres), Voisin Blogueur,
Nicolas Maille, Sullivan Le Postec, Vincy Thomas,
Jann Halexander, Tom Peeping
, Lucian Durden,
Papy Potter, Nico Bally, Marie Fritsch,
Sir Francisco, Laurent Fialaix
et Hugo Rozenberg.

Special Guest Star : Philippe Arino.

Un grand merci à Francis Moury,
Olivier Nicklaus et à
Yann Gonzalez.
Et en special guest star gay-friendly... Dr Orlof !


et bien d'autres depuis le début et d'autres à venir...

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Mardi 22 mai 2 22 /05 /Mai 23:09

Blogué par nos amis de
GayClic.com et reproduit avec leur autorisation :


Souvenez-vous...
Dans le Figaro du 31 janvier 2007, le candidat à la présidentielle Nicolas Sarkozy déclarait à propos du député Christian Vanneste : « Il ne sera pas réinvesti aux législatives. Je condamne fermement ce qu’il a dit. Je ne veux ni de près ni de loin être associé à des propos homophobes. »

À cette époque Gaylib (mouvement associé à l'UMP) se félicitait de cette déclaration dans un communiqué : « On ne peut imaginer une pire sanction et un désaveu plus fort pour un député sortant. GayLib tient à remercier Nicolas SARKOZY pour sa détermination et son écoute dans cette affaire. Enfin, nous saluons l’attachement profond qu’il porte au respect dû à chacun. »
Quelques mois plus tard... Nicolas Sarkozy est élu Président de la République et Christian Vanneste est investi aux législatives sous l'étiquette CNI-UMP. C'est officiel depuis jeudi dernier, le 17 mai... date de la journée mondiale de lutte contre l'homophobie. Nous vous laissons apprécier le symbole ! Quelle était l'une des promesses du candidat vainqueur pendant la campagne déjà ? Ah oui... « Tout ce que j'ai dit je le ferai. » Voilà voilà... Le député Christian Vanneste, condamné par la justice pour « injures homophobes » après avoir déclaré que l’homosexualité était « inférieure à l’hétérosexualité », a toutes les chances d'être réélu...
Par curiosité nous sommes allés sur le site de Gaylib, mais nous n'y avons pas (encore) trouvé de communiqué sur ce sujet... Nous l'attendons avec impatience.
Pour finir nous ne vous parlerons pas de l'entrée de Christine Boutin au gouvernement en tant que Ministre du logement et de la ville... Non non, n'insistez pas !

Par GayClic.com & Daniel C. Hall - Publié dans : URGENT : Gays, militants et résistants !
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Mardi 22 mai 2 22 /05 /Mai 19:04

« Mon homosexualité n'est pas un problème pour moi, par contre le regard de l'extérieur sur l'homosexualité en est un. » Jean-Yves, blogueur et collaborateur de Les Toiles Roses.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Mardi 22 mai 2 22 /05 /Mai 13:09
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Mardi 22 mai 2 22 /05 /Mai 13:06
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 12:56
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 12:54
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Samedi 19 mai 6 19 /05 /Mai 02:59

Je viens de recevoir un petit mot de notre ami Salim Kechiouche et m’empresse donc de le mettre en ligne. Toutes mes pensées t’accompagnent, Salim ! J’espère que vous serez nombreux(ses) à aller le voir et l’encourager !

Daniel

*****

Salut les amis,

À vos agendas !

Je remonte sur scène à partir du 20 Mai, au théâtre du petit Gymnase dans la comédie Rupture entre Amis de Frédéric Rondot.

Venez nombreux le 20, le 26 et le 27 mai à 17 heures (le 2 juin à 20h30, le 3 juin à 17h). Du succès des premières représentations dépendra la programmation de la pièce à partir de Septembre.

Voici le pitch de cette nouvelle comédie délirante dans laquelle je me dévoile sous un angle nouveau :

Difficile de rompre quand vos amis s’en mêlent ! Benji et Juliette vivent en couple pour quelques heures encore seulement… Benji, pour accélérer le départ de son "ex", décide de prendre un colocataire en formule express. Il ne va pas être déçu avec l'arrivée de Karim (Salim Kechiouche) avec qui l'entente va être difficile, surtout quand il va s'apercevoir que son nouveau coloc branche sa meuf dans son dos.

Avec l’arrivée de Cassandra, la meilleure copine dépressive, de JP, le fonctionnaire syndicaliste passionné de bonzaïs, et Diane, la commissaire aux Stups lesbienne, la rupture en cours tourne vite au cauchemar.

Durant 1h15, les révélations s’enchaînent et les masques tombent. Rupture entre Amis est une comédie actuelle servie par une galerie de personnages complètement décalés et portée par une dynamique comique redoutable.

L’Amour triomphera-t-il de cette Rupture entre Amis ?

Je compte sur votre soutien à tous. Je vous invite à vous rendre sur le site officiel de la pièce (www.rupturentreamis.com) ou sur mon site (www.salimkechiouche.com) pour des informations complémentaires.

Numéro de réservation: 01 42 46 79 79

Salim Kechiouche

Lire l’interview de Salim pour Afrik.com



Par Daniel C. Hall - Publié dans : Spécial SALIM KECHIOUCHE
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Vendredi 18 mai 5 18 /05 /Mai 10:42

Fiche technique :
Avec Brittany Murphy, Matthew Rhys, Santiago Cabrera, Samantha Bloom, Catherine Tate, Tony MacMurray, Stephanie Beacham, Elliot Cowan, Dawn French, Michael Lerner, Gwyneth Paltrow, Daniel Lobé et Orlando Bloom. Réalisateur : Alek Keshishian. Scénario : Alek Keshishian. Directeur de la photographie : Pierre Morel. Compositeur : Replicant.
Durée : 90 mn. Actuellement en salles en VO et VOST.


Résumé :
Emily Jackson, Jacks pour les intimes, est une jeune fashionista Américaine de 27 ans qui travaille en tant qu'assistante à la rédaction du Vogue à Londres.
À ses côtés ses meilleurs amis de toujours : Peter, son colocataire gay, et Tallulah, croqueuse d'hommes névrosée, deux amis fidèles auprès desquels Jacks passe son temps à jouer les conseillères et entremetteuses.
Romantiques et exigeants, tous rêvent de la parfaite love story comme dans les films.
Mais voilà, pour l'instant leur vie sentimentale peut être qualifiée en un seul mot : désastre !
Alors, l'amour comme dans les films, fantasme ou réalité ?

L’avis de Matoo :
C’est en lisant le billet « positif » de Patrick que je me suis décidé à aller voir ce film, dont je n’avais d’ailleurs pas du tout entendu parler. Eh bien, bien m’en a pris car j’ai passé un moment très agréable et hilare. Je suis vraiment content de ne pas être passé à côté d’une comédie romantique d’une telle facture : à la fois cocasse, bien sentie, romanticône mais aussi résolument gay ! Le pied quoi (pour une midinette comme moi) !
Je me demande pourquoi est-ce que je n’en ai pas plus entendu parler autour de moi, car c’est bien la première fois qu’une comédie de ce genre propose une histoire qui donne une importance à 50 % à une fille hétéro et 50 % à son coloc homo, et pas ce dernier en classique faire-valoir et personnage trop secondaire. Non là, nous avons une belle équité, et surtout un scénario qui flirte évidemment allègrement avec les clichés, mais tout en étant crédible et bien documenté (quelques copines ont dû, à coup sûr, participer à l’écriture !). Et puis dès que je dis à mes potes homos que c’est un film d’Alek Keshishian, on me répond « Aaaaaaaaaah géniââââââl le mec qui a réalisé In bed with Madonna !!!! » Néanmoins, ça n’a rien à voir avec la choucroute !
Brittany Murphy est « Jacks », elle est assistante rédac pour Vogue à Londres, terriblement bobo londonienne, et en gros un croisement entre Le Diable s’habille en Prada et Carrie Bradshaw. C’est une fille à pédé (FAP) de première, elle se dit avoir un gaydar infaillible et passe son temps à essayer de caser son meilleur ami et colocataire avec des types qu’elle rencontre dans son milieu. Évidemment c’est toujours un fiasco, et Peter (Matthew Rhys) essaie le plus possible d’éviter ces coups arrangés. Jacks prend l’assistant d’un grand photographe, Paolo (Santiago Cabrera, le peintre précog de la série Heroes), pour son petit ami alors qu’il est hétéro. S’ensuivent un classique quiproquo et des péripéties qui amèneront leur lot de cocasseries, calembours et bluettes amoureuses.
Le film a un scénario très classique et cousu de fil blanc, mais il est ostensiblement construit comme cela pour mieux déroger à la règle. L’auteur arrive à insuffler beaucoup d’originalité et de fraîcheur grâce à la fibre anglaise qui permet beaucoup plus d’excentricités, mais aussi un humour plus corrosif, et puis cette incursion de l’homosexualité qui a une importance vraiment pas négligeable. Ensuite, il présente son film lui-même comme s’il s’agissait d’un scénario d’une classique bluette à la Notting Hill ou bien Breakfast at Tiffany’s dont les références sont constantes (on lit de temps en temps à l’écran des indications scéniques comme s’il s’agissait d’un véritable script).
Brittany Murphy est vraiment une fille que je trouve d’une beauté troublante depuis 8 Mile, et là elle assure étonnamment bien dans ce registre comique, avec en plus quelques scènes où elle joue les Audrey Hepburn, ce qui lui va particulièrement bien. Et puis, cette comédie se signale surtout par son humour décapant à certains moments, grâce à des caricatures du milieu de la mode et de l’art contemporain bien acides et burlesques, à des dialogues bien écrits et qui font mouche, et aussi des personnages secondaires bien campés. Évidemment ça reste très bobo, mais la meilleure copine « poète » à fond eurotrash (et sa mère idem…) ou bien le pote galeriste pédé sont de très bons atouts. Il y a aussi quelques moments phares qui m’ont vraiment fait rire comme lorsque la copine lit son poème lors du vernissage d’une expo (TERRIBLE !), ou bien parce que le coloc homo va voir une psy. Et la psy c’est Dawn French (ce qui redonne une touche gay-friendly supplémentaire) !!!! Cette dernière lui explique sa théorie sur le couple en parlant de « pets », c’est délirant et totalement jouissif.
Ce n’est pas le film de l’année, mais en cette période de vache maigre cinématographique, c’est à ne pas rater. Et surtout dans ce genre tellement casse-gueule de la comédie romantique, il s’agit d’une œuvre au charme stupéfiant et qui distrait sans être débile ou mièvre. J’ai vraiment sincèrement bien ri, et on accroche très rapidement à tous ces personnages. (Pensez à emmener votre FAP avec vous.)

Pour plus d’informations :

Par Matoo - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Vendredi 18 mai 5 18 /05 /Mai 00:10

autorise la diffusion sur Les Toiles Roses de :


Les Toiles Roses remercient PowerPodcast.fr, pour son autorisation et les moyens mis à notre disposition pour diffuser sur votre blog préféré tous les podcasts de Gaypodcast.
Par Gaypodcast - Publié dans : WEBSERIE : GAYPODCAST.FR
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Jeudi 17 mai 4 17 /05 /Mai 12:51
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Mercredi 16 mai 3 16 /05 /Mai 12:49
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Mercredi 16 mai 3 16 /05 /Mai 09:40

Fiche technique :
Avec Philippe Vallois, Marie-Josée Béhar, Agathe Bodin, Jackson Elizando, Catherine d’Halluin, André Llévin, Eric Moncolin et Nicole Rondy. Réalisation, images et montage : Philippe Vallois. Son et mixage : Myriam René & Anne Louis. Conformation : Daniel Ricard, Michèle Boig et Christiane Kirik.
Durée : 90 mn. Disponible en VF.

Résumé :
Un illuminé vend à Philippe Vallois un caméscope dernier cri. Heureux de sa nouvelle acquisition, le cinéaste filme ses proches. Ils se mettent à exprimer de drôles d’idées qui contaminent bientôt le filmeur lui-même.
Il est bientôt persuadé, qu’à travers cet outil, il peut entrer en contact avec le monde de l’invisible. Il décide de s’adresser à Jean, son bel ami décédé. Éric, son ami du moment, le prend mal et lui fixe cet ultimatum : « C’est le caméscope ou c’est moi. » La réponse de Jean ne se fait pas attendre : une succession de galères, auxquelles le caméscope n’est pas étranger, éprouve l’imprudent cinéaste.
Malgré sa peur, il décide de soigner le mal par le mal. Il se surpasse dans son expérience ”vidéasque”. Il vit une aventure à laquelle le commun des mortels n’a jamais accès ; il a un véritable entretien avec Jean, mais il arrête de crainte de devenir fou. Philippe Vallois apprend que des caméscopes identiques auraient été introduits clandestinement sur le marché. Pour éviter des drames, il juge d’utilité publique de faire circuler une cassette, preuve de son aventure. C’est celle que nous regardons…


L’avis de Bernard Alapetite :
Cette auto-fiction expérimentale, pleine d’humour, constitue la réflexion d’un cinéaste pour qui la caméra est le sésame d’un au-delà des apparences.
Philippe Vallois, qui joue son propre rôle, achète à un curieux personnage un caméscope numérique. Le vendeur lui a laissé le mirobolant appareil après s’être longuement enquis des intentions et de la biographie de son acheteur. Émerveillé par son nouveau joujou, le cinéaste commence un journal, un peu à la Morder, un peu à la Alain Cavalier et beaucoup à la Rémi Lange, la technique en plus, façon Les Yeux brouillés, car comme dans ce film, le filmage du quotidien brise l’histoire d’amour qu’il vit avec son nouvel ami Éric, au look de C.R.S. avantageux, tout du moins si l’on considère encore, à ce moment du film, celui-ci comme un exercice de cinéma-vérité autobiographique. Bien vite le doute nous assaille sur la naïveté du propos quand le cinéaste croit percevoir des images et des bruits par l’intermédiaire de son caméscope que lui-même ne perçoit pas sans le truchement de son appareil. Le caméscope serait-il magique et n’ouvrirait-il pas un passage vers le monde parallèle des morts ? Nous nous apercevons que nous sommes en fait dans une auto-fiction, surtout lorsque Philippe Vallois cherche à entrer en contact avec son ami Jean, décédé du sida il y a quelques années, dont on a découvert l’image radieuse par l’intermédiaire d’un film projeté dans le film. Caméscope passe alors du farfelu humoristique à l’émotion. Mais bientôt celle-ci est dynamitée par l’enquête de notre réalisateur auprès de techniciens amis pour savoir si un caméscope numérique peut enregistrer l’au-delà ! Le film bifurque à nouveau, cette fois vers un burlesque épatant, un peu à la manière d’un Luc Moullet ou d’un Iosseliani. Car une des principales qualités de Caméscope est d’être drôle, à la fois drôlerie de situation et drôlerie dans les dialogues, d’un nonsense très inhabituel dans le cinéma français.
Philippe Vallois définit bien à la fois sa démarche et le cheminement de pensée de son spectateur : « Raconter une fiction en se servant de véritables événements qui surviennent durant le tournage. Pénétrer très profondément dans l’intimité de personnages en laissant parler leur naturel au maximum. Laisser planer le doute quand à l’authenticité des situations, et provoquer une sorte de vertige chez le spectateur qui a du mal à faire la part de la fiction et de la réalité. Les personnages jouent-ils leur vie ? Ou interprètent-ils un rôle ? Le spectateur apprécie-t-il des jeux d’acteur ? Ou devient-il un voyeur qui juge des êtres humains ? Autant de questions et de réflexions sur le véritable pouvoir du caméscope. »
Le film de Philippe Vallois, c’est le bel enfant que le dogme aurait fait à la comédie italienne des années 60-70.

Pour plus d’informations :

Par Bernard Alapetite - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Mardi 15 mai 2 15 /05 /Mai 12:46
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Mardi 15 mai 2 15 /05 /Mai 11:31

« Au point de vue physique, la pédérastrie me dégoûte à l'égal des excréments et au point de vue moral, je la condamne. » Pierre Unik, (1909-1945), surréaliste, poète, journaliste.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 12:43
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 11:21

« À toujours vouloir des droits, les homosexuels font de l'intégrisme et, au passage, font monter le Front National. » Anne Heinis, ancienne sénatrice de la Manche, Groupe des Républicains et Indépendants.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Dimanche 13 mai 7 13 /05 /Mai 12:36
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Dimanche 13 mai 7 13 /05 /Mai 11:44

« Il est rare que, pour des homophobes, leur attitude envers l'homosexualité soit le fait d'un raisonnement rationnel ou d'une argumentation intellectuelle. De tels efforts de rationalisation sont très souvent forgés a posteriori, dans le but de donner à l'homophobie une explication plus acceptable et plus respectable. Cependant, ces essais d'argumentation intellectuelle contre l'homosexualité sont de complets échecs. » Niclas Berggren, Docteur en Economie à l’Université de Stockholm, dans l'Independent Gay Forum.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Samedi 12 mai 6 12 /05 /Mai 12:31
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VISUELS : Les affiches et pubs roses
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Samedi 12 mai 6 12 /05 /Mai 11:40

« Je ne suis pas homophobe, pour reprendre cette expression idiote encore utilisée par tous ces homosexuels. Vous ne pouvez vous l'affirmer si rapidement ; le mot homophobe signifie, dans une acception populaire, « peur des homosexuels » ou « peur de devenir homosexuel ». Aucune des deux ne m'effraie. Ce qui, cependant, m'agace, c'est que ces personnes à sexualité déviante soient, dans ce pays [c'est-à-dire les États-Unis], tellement mises en valeur. L'homosexualité ne demande aucune compassion : elle est moralement incorrecte. » Jarrod Carter, activiste opposé aux droits des homosexuels (1995).

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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