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Un grand merci à Francis Moury,
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Mardi 10 juillet 2 10 /07 /Juil 09:13
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VIDEOS : La TV en folie
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Mardi 10 juillet 2 10 /07 /Juil 09:09
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VIDEOS : La TV en folie
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Dimanche 8 juillet 7 08 /07 /Juil 00:55


La bannière et la vidéo sont (c) Films entre potes
Les vidéos présentes et futures sont diffusées avec l'autorisation de Laurent himself.
Un grand merci à l'équipe de G !
Par Daniel C. Hall - Publié dans : WEBSERIE : G ! et FOUP
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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 01:34


La bannière et la vidéo sont (c) Les Dames de l'Immeuble
Les vidéos présentes et futures sont diffusées avec l'autorisation de Niko himself.
Un grand merci à toi, Niko !
Par Daniel C. Hall - Publié dans : WEBSERIE : Niko perd les pédales !
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 11:53
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VIDEOS : La TV en folie
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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 12:41

 

Toutes les photos sont (c) Zanzi


Mes adieux à Paris ont commencé avec le rituel du début de l’été. Cette année, la Gay Pride coïncidait avec le dernier jour de juin et, manque de bol, tombait aussi pendant le premier week-end de départ en vacances des juilletistes. Raison pour laquelle notre Daniel C. Hall national n’a pu faire le déplacement, les trains et les avions étant overbookés. Le pauvre, il aurait dû demander de l’aide à lastminute.com…

Cette édition 2007 a pour moi une saveur différente des autres. J’avais suivi la précédente avec un couple d’amis et, déjà, l’événement ne présentait plus un intérêt évident. Mon meilleur souvenir demeurera à jamais lié à la Gay Pride 2001. Depuis celle-ci, aucune ne m’a véritablement marqué. Cette année, j’avais décidé de retrouver TiFrère et un ami que je vois trop rarement : Wiredfrog. J’avais fixé rencard à TiF au Carré à 15h30, étant entendu que nous n’avions nullement l’intention de nous casser les oreilles et les orteils au beau milieu de la parade.

Au Carré, nous étions en terrasse. Avantage : ne pas subir la musique assourdissante que ce lieu a le mauvais goût de passer (je ne critique pas la musique mais les décibels). Inconvénient : une espèce d’épouvantail avec des cheveux de paille nous enfumait avec sa cigarette. Comme il avait un air stupide, je n’ai pas insisté. Sur la table, du faux gazon tentait désespérément de colorer l’endroit avec un peu de verdure. Était-ce pour se mettre au diapason de la place de l’Hôtel de Ville où se trouvait exposés des jardins bucoliques ? Un serveur un peu à l’ouest, venu prendre la commande, nous souhaita une « bonne fête ». Il nous gratifia pour l’occasion d’un sourire que les meilleurs dentistes cariboulandais se feraient sans doute un plaisir divin de corriger.


 


Un café viennois et un Pepsi plus loin, nous partîmes à la rencontre des enfilés du défilé de nos cousins et cousines et néanmoins frères et sœurs en Adam et Yves Éve, en prenant cependant le chemin des écoliers. Celui-ci nous conduisit à travers le marché aux fleurs de l’île de la Cité, l’île Saint-Louis, avant de nous amener aux marches de la place de la Bastille. Les premiers chars n’étant pas encore arrivés, nous prîmes place parmi les badauds et les touristes.

Les trompettes de la renommée sonnèrent bruyamment pour annoncer la tête du cortège, et là, ce fut l’horreur. Pendant un long moment de solitude, je me suis cru dans un film de Todd Browning. Entre momies exhumées, zombies excavés et statues de cire échappées du musée Grévin, je ne savais plus que penser des participants de cette « monstrueuse parade ». Une chose est sûre : si l’on en retranchait les syndicats et les partis politiques, celle-ci perdrait un bon tiers de ses « Freaks ». J’ai vainement cherché le char des trans’ mais ne l’ai pas trouvé. Étaient-elles toutes en salle d’op’ ? En revanche, celui de la SNCF reçut un franc succès. La compagnie aurait-elle promis des Prem’s ou des billets gratuits pour se faire escorter par un si grand nombre ? Quoi qu’il en soit, TiF et moi étions atterrés par ce que nous voyions. Pour TiF, les choses étaient toutefois différentes : il avait un compagnon qui l’attendait sagement à la maison. Mais moi, l’éternel célibataire, tout ce que je voyais agissait comme un repoussoir et me donnait l’envie de virer ma cuti !


En outre, le rendez-vous avec ma grenouille câblée était manqué. On ne pouvait faire mieux comme ratage. C’est alors que, sur le boulevard Henri IV que nous avions un peu remonté, TiF se mit à me parler d’homéomorphisme. Il me désigna un couple mixte sur le trottoir d’en face et me demanda si je trouvais qu’il entrait dans cette catégorie. Je vis un grand black enlacer un blanc-bec. Soudain, mes yeux multicolores s’écarquillèrent lorsque mon regard se posa sur la beauté guadeloupéenne qui souriait à pleines dents.
— Mais… c’est mon ex !
— Hein ? dit TiF
— Le black, c’est mon ex !

Je me suis précipité de l’autre côté de la rue et ce visage joyeux toujours aussi beau s’est illuminé d’un franc sourire en me voyant. Patrice me serra dans ses bras comme il a l’habitude de le faire, un gros câlin américain façon « free hug ». Il se tourna vers le garçon à côté de lui et me présenta son petit ami Pilou. En retour, je leur présentai TiFrère qui se comporte toujours comme un chat sauvage en présence de gens qu’il ne connaît pas : un peu primiTiF, un peu crainTiF… Heureusement, la bonne humeur de Pat’ et son exubérance tactile ont vite raison de toutes les inhibitions ! À présent, je vous laisse admirer ce splendide spécimen de mâle, la fine fleur des Antilles françaises.

Je vous confie un secret : Patrice fut, il y a des années de cela, mon premier amant. C’est la raison pour laquelle il est tout particulièrement cher à mon cœur. C’est toujours un bonheur, hélas trop rare, de le revoir. Il a sauvé ma journée en m’invitant à me joindre à lui et à ses amis au restaurant thaï « Blue Elephant ». De la cuisine exotique dans un décor féerique avec des amis fantastiques. Je lui dédie ce billet, ainsi qu’à Pilou, Anne-Christine, Ronan, Francisco et Martin.

 

Pour lire le précédent épisode de Zanzi and the City, cliquez ici.

 
 
Par Zanzi - Publié dans : HUMEUR : Zanzi and the City
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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 12:15

Vidéos de l'action militante :




La marche des fiertés a été volontairement interrompue par une centaine de militantEs d'Etudions Gayment, des Putes, d'Act-Up et des Panthères Roses qui ont bloqué le char de Gaylib - caution « homo » de l'UMP - avant son arrivée à Bastille.
Aux cris de :
« Sarko, Boutin, Vanneste ! On vous déteste ! »
« Racolage passif, répression active ! »
« Nos identités ne sont pas nationales ! »
« De l'air, de l'air, ouvrez les frontières ! »
« UMP c'est la guerre ! Transpédégouines en colère ! »
« Moins de CRS ! Plus de caresses ! »

Les militantEs entendaient dénoncer la grande mascarade d'une organisation « homosexuelle » qui soutient un gouvernement homophobe, lesbophobe, transphobe, putophobe, sexiste et raciste. SoutenuEs et rejointEs par beaucoup de participantEs à la marche, les activistes ont voulu s'opposer à une politique au service des plus riches qui précarise le reste de la société et en premier lieu les minorités (non-blanches, non-hétérosexuelles, malades, trans, putes).
Les militants de Gaylib dont le slogan était « Comptez sur nous ! » ont répondu : « Tolérance zéro ! » et « Rentrez chez vous ! ».


Vidéos amateures :


Par Daniel C. Hall - Publié dans : URGENT : Gays, militants et résistants !
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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 11:24

« Non, je ne suis pas gay. Je sais que des rumeurs circulent à ce sujet et leur existence ne me gêne pas. Tout ça, c'est du fantasme. Si certaines personnes veulent m'imaginer avec une femme, ou un homme, ou les deux à la fois, cela ne me pose pas de problème, tant qu'elles continuent à regarder la série. » Wentworth Miller, acteur de la série Prison Break, janvier 2007.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 06:57

Fiche technique :
Avec John-Michael Lander, David Vincent, Jay Corcoran, Paul Outlaw, Merle Perkins et Peter Bubriski. Réalisation : Roland Tec. Scénario : Roland Tec d'après sa pièce A Better Boy. Images : Gretchen Widmer. Montage : Jon Altshuler. Musique: Paul Outlaw & Roland Tec.
Durée : 104 mn. Disponible en VO et VOST.

Résumé :
À Boston où tous les hommes semblent gays, un couple de gays riches Dave (Paul Outlaw) et Tom (Peter Bubriski) inquiets de voir leur ami Christopher (John-Michael Lander), un avocat d’affaires, papillonner de mec en mec, organise un dîner pour le caser auprès de leur voisin du dessous, Stewart un éditeur... gay. Cela fonctionne, le prétendant, plutôt moche, plaît à Christopher alors qu’il ne tripe habituellement que sur les mâles aux corps parfaits. Mais au moment de conclure, Stewart ne fait pas entrer Christopher chez lui. Ce dernier va aussitôt lever un mec dans une boîte pour l’ajouter à la longue liste de ses amants de passage.
Quelques temps plus tard, Stewart retente une approche auprès Christopher ; s’ébauche alors une idylle romantique contraire aux habitudes de notre Casanova des pectoraux. Les deux tourtereaux finissent par se mettre en ménage mais le donjuanisme de Christopher reprend vite le dessus…


L’avis de Bernard Alapetite :
Une telle insignifiance ectoplasmique nous fait nous poser la question du bien fondé d’un cinéma gay (américain). En effet, une telle médiocrité ne peut voir le jour que dans un cinéma de niche (de genre) économique. Il faut y voir surtout l’effet pervers des innombrables festivals de cinéma gay sur le territoire nord américain qui offrent une visibilité inespérée à de nombreux films qui, sinon, ne seraient vus que par les familles des participants à la chose. Cette pléthore de manifestations, parfois dans des lieux improbables, mais parfois aussi au sein de prestigieuses universités, renforce le formatage des films américains gays : prédominance de la comédie, pas de scènes de sexe explicites, format assez court, esthétique de sitcom... Ce formatage n’est que l’un de ceux qui menace gravement le cinéma.
All the rage est le type même de ce genre de produit, il est seulement navrant que des éditeurs et (ou) des distributeurs européens cautionnent cette politique éditoriale aussi calamiteuse que suicidaire à moyen terme et qui n’a comme résultat que de déconsidérer, auprès du public et donc des acheteurs de billets et de DVD, le cinéma gay car il faut convenir que s’il s’agissait d’une histoire hétérosexuelle, personne n’aurait l’idée de perdre son temps devant une pareille nullité.


Les acteurs au physique assez quelconque, si l’on excepte John-Michael Lander jouant Christopher, font assaut de cabotinage et de minauderies insupportables. On ne s’étonnera pas qu’ils aient tous une filmographie étique. La réalisation ne dépasse pas celle d’une sitcom très médiocre à laquelle le film fait constamment penser par ses tunnels de conversations inintéressantes, accusant lourdement ses origines théâtrales. On ne voit rien de Boston, à part quelques plans de rues de nuit et une vue prise de la terrasse de l’appartement où la quasi totalité du film est tourné. L’incapacité de profiter du décor, pourtant il y a de quoi faire à Boston, est l’une des marques de ce cinéma
« vite fait, mal fait » pour les festivals gays.
Dans un sursaut de lucidité, le réalisateur (ou son producteur) a du avoir conscience du naufrage, c’est sans doute pour cela qu’il a entrelardé sa sitcom d’inter-scènes dans lesquelles Christopher commente l’action. Celles-ci sont tournées en noir et blanc avec un éclairage « Harcourt » mais elles pâtissent de cadrages lamentables et d’un bruit de moteur caméra d’un autre temps (peut-être rajouté pour faire « arty » ?!). La morale de ces interventions, comme de la dernière scène en complet décalage avec le reste du film, est qu’il est mal lorsque l’on a un amoureux, même s’il est moche, de succomber à la tentation d’un beau cul.
Roland Tec, avant All the rage, n’avait tourné qu’un court-métrage. Depuis il a réalisé We Pedal Uphill en 2007 : espérons que ces dix ans de réflexion entre ses deux films auront amélioré son cinéma.

All the rage se voudrait une comédie romantique mais ce n’est ni drôle ni romantique, c’est seulement indigent. Dans le genre, mieux vaut voir et revoir Culture boy.
Pour plus d’informations :

Par Bernard Alapetite - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 10:21

autorise la diffusion sur Les Toiles Roses de :


Les Toiles Roses remercient PowerPodcast.fr, pour son autorisation et les moyens mis à notre disposition pour diffuser sur votre blog préféré tous les podcasts de Gaypodcast.
Par Gaypodcast - Publié dans : WEBSERIE : GAYPODCAST.FR
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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 10:14
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VIDEOS : La TV en folie
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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 11:43

« Je n’avoue pas que je suis homosexuel, parce que je n’en ai pas honte. Je ne proclame pas que je suis homosexuel, parce que je n’en suis pas fier. Je dis que je suis homosexuel, parce que cela est ».

Jean-Louis Bory, dans Les Dossiers de l’écran, 1975.

Par Daniel C. Hall - Publié dans : MOTS : Citations philes et phobes
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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 10:25
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VIDEOS : La TV en folie
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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 09:05
Fiche technique :
Avec Jane Birkin, Maruschka Detmers, Philippe Léotard, Laure Marsac et Andrew Birkin. Réalisation : Jacques Doillon. Scénario : Jacques Doillon. Directeur de la photographie : Bruno Nuytten. Monteuse : Noëlle Boisson. Compositeur : Philippe Sarde.
Durée : 90 mn. Disponible en VF.


Résumé :
Alma est incapable de choisir entre l'amour qu'elle porte à son mari Andrew et la passion qu'elle nourrit envers Carol, son amie. Elle décide de partir loin d'eux afin de faire le point.
Mais cette fuite ne résout en rien ses problèmes de cœur car un autre homme est amoureux d'elle. Cet homme est dénommé "numéro 5" par une jeune fille qui accompagne toujours Carol – puisque, effectivement, cet homme est le cinquième personnage de l'histoire.
"Numéro 5" est aussi une sorte de gardien engagé par Andrew pour surveiller sa femme. Et il s'ensuit un véritable ballet tragique, par lequel Andrew rattrape un moment Alma et la reprend en mains, avant de la perdre au profit de Carol, qui la perd à son tour... Mais "numéro 5" et la jeune fille tirent aussi les ficelles, dans la coulisse, chacun de son côté...
Tout va se jouer et se dénouer lors d'un voyage vers le Nord. Alma et Andrew prennent le bateau à Dunkerque, vers l'Angleterre. Carol, "numéro 5" et la jeune fille suivent de très près et embarquent eux aussi in extremis.
Sur ce navire froid et désert, l'affreux ballet va reprendre. Les cinq protagonistes continuent à se déchirer. Et Alma est toujours l'enjeu de cette sombre fête. À tel point qu'elle finit par ne plus avoir la volonté de vivre. Mais elle n'a pas non plus le courage de mourir, ou tout au moins de se donner la mort... Ce qu'elle ignore, c'est que la jeune fille qui accompagne Carol porte sur elle un pistolet. Et, à un moment où Alma est encore écartelée entre Andrew, Carol et "numéro 5", la jeune fille va lui tirer une balle en plein cœur, la délivrant ainsi à jamais de ses tourments. C'est peut-être elle, cette adolescente irréelle, surgie on ne sait d'où, qui a le mieux compris Alma...
Résumé tiré du site du Ciné-club de Caen
L’avis de Jean Yves :
Malgré parfois un certain ridicule dans les dialogues, sinon une certaine prétention,
La Pirate est un peu la réponse féminine, un an après, à L'Homme blessé, film qui lui avait aussi provoqué un certain nombre de remous.

L'histoire que nous raconte Jacques Doillon n'a, à la limite, aucune importance : on pourrait se passer de tout fil conducteur ; le canevas n'est que prétexte. La haute tension psychologique et passionnelle que le réalisateur impose pendant quatre-vingt-dix minutes prend aux tripes et bouleverse, pour peu qu'on soit encore capable d'être bouleversé.
Je ne crois pas que la relation entre Alma [Jane Birkin] et Carol [Maruschka Detmers] soit représentative de l'amour entre femmes, pas plus que celle entre Henri [Jean-Hugues Anglade] et Vittorio Mezzogiorno [Jean] ne prétendait donner le reflet de l'homosexualité masculine, dans le film de Patrice Chereau.
Il faut simplement dépasser les apparences pour partager l'intensité des luttes et des névroses dont sont porteurs les protagonistes.
Si l'on s'en tient au premier degré, des phrases comme « je ne suis pas venue pour t'embrasser, je suis venue pour te cogner les dents » (Alma) ou encore « on finira bien par se débarrasser des hommes » (la jeune fille qui tire les ficelles du drame), on peut effectivement ricaner. Et il faut être bien prude, hypocrite ou les deux à la fois pour ne voir dans les ébats d'Alma et Carol qu'une provocation pornographique, car franchement, il n'y a pas de quoi fouetter un chat !
Philippe Léotard ("numéro 5") nous fait un pathétique numéro de poivrot déchiré, et Jane Birkin a un rôle à la mesure de sa sensibilité.
Pour plus d’informations :
Par Daniel C. Hall - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 00:55


La bannière et la vidéo sont (c) Films entre potes
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Un grand merci à l'équipe de G !
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 01:34


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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 00:00

Fiche technique :
Avec Nathalie Press, Emily Blunt, Paddy Considine et Dean Andrews. Réalisé par Pawel Pawlikovsky. Scénario de Pawel Pawlikovsky. Directeur de la photographie : Ryszard Lenczewski. Compositeurs : Alison Goldfrapp et Will Gregory.
Durée : 86 mn. Disponible prochainement en dvd.


Résumé :
Mona, 16 ans, vit seule avec son frère aîné Phil dans un village du Yorkshire. Entre ses aventures sans lendemain et ce frère en pleine crise mystique, elle s'ennuie ferme. Les choses changent le jour où elle rencontre Tamsin, une jolie jeune fille de bonne famille, un peu sombre et rebelle. Celle-ci fascine aussitôt Mona qui, troublée, entrevoit immédiatement de nouvelles perspectives d'avenir.
L'avis de Matoo :
Voilà une excellente surprise, certainement vue juste avant sa déprogrammation, que ce petit film de la BBC qui raconte une banale histoire d’ados. On est dans le Yorkshire, ou bien dans le trou du cul du monde, c’est l’été, les vacances, il y a Mona, une jeune fille de 16 ans à l’existence un peu précaire et prolo. Elle vit avec son frangin qui tenait un pub, mais qui vient juste de le convertir en temple à la gloire de Jésus après que ce dernier l’ait convaincu de racheter son passé de voyou. Le frère est donc bien gentil mais complètement enlisé dans sa nouvelle vocation et foncièrement impliqué dans son groupe de grenouilles de bénitiers du coin.
Elle croise un jour, par hasard, Tamsin, un peu son opposée puisqu’elle est une magnifique et bourgeoise jeune fille qui passe ses vacances dans la propriété de ses parents à faire du cheval. Etrangement, Tamsin s’entiche de Mona, et les deux jeunes filles, aux antipodes sociales, se rapprochent de plus en plus.
Le film montre bien les affres de l’adolescence et expose en particulier ces rencontres et aventures de vacances qui bouleversent une existence, ou du moins en donnent l’impression à l’adolescent. J’ai beaucoup aimé la manière dont le scénario met en valeur les souffrances des deux filles selon des schémas bien distincts et liés à leur niveau social : Mona a perdu ses deux parents et est larguée dans ce coin de péquenots, elle se fait trombinée dans une bagnole par un looser et n’a pas vraiment de perspectives, tandis que Tamsin, malgré son aisance financière, ne se remet pas vraiment de la lente agonie de sa sœur morte d’anorexie.
Elles ne tardent pas à succomber l’une à l’autre, et à la Beautiful Thing version goudou, le film montre avec beaucoup de sensibilité et de fraîcheur cette relation amoureuse qui s’instaure entre les deux adolescentes. Relation en forme de bulle de vacances, un moment comme suspendu dans le temps où la jeunesse expérimente et idéalise à tour de bras sans réaliser qu’il y aura une fin à cela. On rentre avec facilité dans l’univers amoureux où elles se réfugient, et même le frère cul béni ne peut lutter contre.
Si ce n’était que cela, un film qui ne fait qu’exhiber une aventure entre deux filles ados qui découvrent l’amour et leur orientation sexuelle, ce ne serait pas très original ni percutant. Mais justement ce film recèle plus que cela, notamment grâce à un retournement de situation habile et judicieux. La fin de l’été, la fin des vacances, le retour à la réalité et l’éclatement brutal de cette bulle révèlent le fin mot de l’histoire et donnent tout son intérêt au film. Et La Foule d’Edith Piaf pour curieusement traduire ces émois avec une rare justesse !

Pour plus d’informations :
Le site officiel du film
Bande annonce

Par Matoo - Publié dans : FILMS : Les Toiles Roses
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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 12:42
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VIDEOS : La TV en folie
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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 12:39
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VIDEOS : La TV en folie
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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 12:36
Par Daniel C. Hall - Publié dans : VIDEOS : La TV en folie
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